Les Approches Théoriques De La Monnaie

malgré un grand nombre de théories. Analyse positive et analyse normative L’analyse positive cherche à expliquer le monde tel qu’il est. L’analyse normative tente de définir le monde tel qu’il devrait être. L’analyse positive permet une approche plus scientifique de l’économie, et est donc par sa rigueur plus apte à expliquer les phénomènes. Les écoles de pensée Deux principaux courants de pensée : ⇨ le courant classique (= libéral). Il fait confiance au mécanisme des prix

1 La demande de biens (politique publique) Cette demande peut être analysée à travers les situations dans lesquelles l'intervention de l'Etat est indispensable dans l'économie au moins 4 situations peuvent êtres retenus aussi bien sur le plan théorique que sur le plan pratique. 1-1 Les biens collectifs: Le bien collectif est un bien qui est consommé par plusieurs personnes sans que la quantité consommé par l'une des personnes diminue les quantité disponibles pour les autres. Par conséquent

lecture théorique de la pertinence des nombres comptables recule pour essayer de véhiculer une efficacité  Un challenge, pourquoi ? L’information est source de pouvoir, de conflit entre groupes de pression La comptabilité a une dimension sociale et politique Notre analyse par : Une lecture contextuelle des informations financières  Deux visions :  Des nombres comptables, objets rationnellement conçus  … à des nombre comptables, construits sociaux I. LECTURE THÉORIQUE DES NOMBRES

organisme appelé intermédiaire financier qui a pour fonction de recueillir des fonds des agents à excèdent de ressources et les transforment auprès des agents à déficit de financement. -Les agents à déficit de financement remettent en échange de la monnaie perçue sous forme d'emprunt ou d'avance, des reconnaissances des dettes, ou titres de la dette primaire (valeurs mobilières, hypothèques, cautions, etc....). -Les prêteurs initiaux (déposants, épargnants) reçoivent des intermédiaires financiers

faits historiques, les échanges ont aussi été théorisés par de nombreux auteurs. Mais qu'en est-il de la réalité des échanges dans le XVIIIe et XIXe siècle et de ses théories ? Dans une première partie nous définirons les échanges par une approche théorique puis, dans une seconde partie, nous étudierons les échanges autour de différents pays, entre le XVIII et le XIXe siècle. I. LES ÉCHANGES DANS LA THÉORIE 1) Les échanges et la société industrielle Pour F. BRAUDEL, le capitalisme

INTRODUCTION : Définir et mesurer la monnaie est une entreprise difficile , sans doute même impossible ; comme le montrent les débats entre les théoriciens de la demande de la monnaie et les discussions entre les statisticiens pour quantification chiffrée. Il existe plusieurs approches quant à la définition de la monnaie . - l’approche fonctionnelle de la monnaie : les formes que prennent la monnaie sont nombreuses et changeantes, il est donc commode de définir la monnaie par l’usage qui l’on en fait

activité, la couverture du risque d’exportation (en France, c’est le rôle de la COFACE), à une politique de dumping (exporter un produit à un prix inférieur à son coût de production), une politique de dévaluation compétitive (action sur la parité de la monnaie nationale pour rendre les produits nationaux plus compétitifs), et à la participation à une organisation économique régionale. 3. Le libre échange : ses limites. Depuis cinquante ans, la libéralisation progressive des échanges est incontestable

n’étaient pas faite pour. On fabrique donc marchandises fictives qui sont au nombre de 3 : travail, terre, monnaie (facteurs de productions tels qu’ils sont envisagés dans la théorie Libérale). Ces trois choses ne peuvent donc pas être de vraies marchandises car elles ne sont pas produites pour être vendues. Par exemple, l’être humain n’est pas conçu pour vendre sa force de travail. De plus, la monnaie ne se résume pas à l’échange marchand comme elle a été construite de manière artificielle. Cette construction

fluctuation observé a court terme. La croissance est la finalité de l’éco. Elle entraîne une progression du niveau de vie, le plein emploi … ( théorie de la croissance. • Le pouvoir d’achat de la monnaie reste-t-il constant ou bien est-il amputé par l’inflation ? >> étude du rythme d’émission de la monnaie compatible avec la croissance et la stabilité des prix. Après la 2nd guerre mondiale: croissance et inflation, après 74, plus faible croissance et forte inflation. On parle de STAGFLATION. ( théorie

la recherche d’une voie nouvelle »). Chargé par Lloyd George de démontrer le bien-fondé d’une politique de grands travaux, Keynes va se trouver prisonnier de l’orthodoxie et s’engager ainsi sur la voie d’une nouvelle théorie dont le Traité de la monnaie (TM) constitue une étape clef. Motifs et circonstances. 1924 : Face à l’aggravation du chômage, Lloyd George, chef de l’aile gauche du parti libéral, envisage une politique de grands travaux. Keynes doit démontrer son bien-fondé.