Les Apports Des Religions Monothéistes

article ou cette section doit être recyclé. Une réorganisation et une clarification du contenu sont nécessaires. Discutez des points à améliorer en page de discussion. Le christianisme est une religion abrahamique fondée sur la vie et les enseignements de Jésus de Nazareth et qui se définit comme monothéiste. Il regroupe entre 2,1 milliards[1] et 2,2 milliards[2] de croyants dans près de 33 000 confessions différentes[3]. Les premières de ces confessions sont apparues au sein du judaïsme après la

idolâtre8. Il est alors inconcevable de rire d’une image, ce n’est d’ailleurs pas sa fonction. Aussi, alors que les religions polythéistes regardent l’icône comme une incarnation magique de la religion, toute représentation du divin est rejetée par les religions monothéistes, avec des écarts plus ou moins important les croyances. Par ailleurs, Dieu n’est il pas invisible dans la religion chrétienne ? Les querelles iconoclastes des VIIIe et IXe siècles démontrent que la matérialisation du sacrée est

Comme le précise le BO n°43 du 21 novembre 2013 (extrait): « Le candidat doit mettre en œuvre les démarches de l’analyse de document en histoire. Il doit faire la preuve de sa capacité à comprendre le contenu du ou des document(s), à dégager les apports et les limites pour la compréhension de la situation historique abordée. Lorsque deux documents  sont proposés, on attend du candidat qu’il les mette en relation en montrant l’intérêt de cette confrontation. ».   Sujet proposé ici : le Moyen Orient

ou mariage homosexuel et qui fait l’objet de grand débat de nos jours. D’où notre dissertation à ce sujet où une question se pose : « Est-il légitime de parler de mariage pour tous au XXIe siècle ? ». Pour essayer de mieux comprendre ce sujet et apporter une réponse à cette question, tout d’abord nous définirons ce qu’est le mariage entre deux personnes de sexes différents; ensuite, nous verrons, que le ce mariage se base sur le principe fondamental du respect l’égalité, de la liberté et de l’identité

Paul * Gaius * Ulpien * Papinien * Modestin C’est l’empereur qui choisit ces 5 jurisprudents. * La coutume existe différemment. On la trouve surtout dans les provinces. Ces peuples n’étaient pas citoyens romains et gardent leur religion, organisation,… En 212, décision de Caracalla : « tout habitants de l’empire est citoyen romain » * Les lois comiciales sont disparues. Le mot loi est récupéré par l’empereur (constitution impériale) Gaius : « Ce que le prince constitue est

La méditerranée au XIIème siècle 1095-1204 Introduction Dans la seconde moitié du moyen âge 3 civilisations dominent la méditerranée :L'Empire Byzantin, Occident chrétien, Monde musulman. Ces 3 civilisations sont distinctes par leurs religions et leur organisations politique. Elles rentrent en conflit mais elles multiplient les contacts commerciaux et culturels. Au XIIème siècle l'Occident est en plein essor; son dynamisme politique, économique et religieux bouleversent des rapport de force

“ Je suis en contradiction avec vous lorsque, poursuivant vos déductions, vous dites que l’homme ne saurait absolument pas se passer de la consolation que lui apporte l’illusion religieuse […] Le stade de l’infantilisme n’est-il pas destiné à être dépassé ? L’homme ne peut éternellement demeurer un enfant, il lui faut s’aventurer dans l’univers hostile. “ Dans cet extrait tiré de L’avenir d’une illusion“ , Freud attribue la croyance religieuse à de l’infantilisme

reçue. Le pardon vient du latin dono, « tenir quitte de » et du préfixe « per » qui renforce l'action. Le pardon met un terme à un confit, il permet d’absoudre une somme de souffrance. D’autre part, le pardon est une valeur fondamentale des religions monothéistes. « Père, je remets ma vie entre tes mains, pardonne leurs, ils ne savent pas ce qu’ils font ». Les dernières paroles du Christ avant sa crucifixion caractérisent le pardon comme rémission d’une faute. Ainsi, au sens biblique du terme, le pardon

que le désir est l’essence même de la vie et que personne sans lui n’avancerait. Le désir est ici vu comme un plaisir sans fin qui renait à chaque nouvelle attirance et qui apporte le plus grand des bonheurs. Le désir revêt pourtant une valeur ambigüe dans notre société. Traditionnellement considéré comme néfaste par les religions et longuement étudié par les philosophes, il est pourtant l'un des piliers de notre société de consommation : pour consommer un produit, il faut le désirer plus qu'un autre

Nations Unies pour l'Education, la Science, et la Culture) depuis 1981 (et au patrimoine en péril depuis 1982), en raison de son lien fort avec les 3 religions monothéistes (judaïsme, christianisme, islam), mais également parce qu'elle est le témoin d'échanges d'influences culturelles fortes sur l'architecture (musulmane et chrétienne) et qu'elle apporte un témoignage exceptionnel sur des civilisations disparues. La ville de Jérusalem illustre bien la notion de patrimoine dans la mesure où celui-ci