Les Animaux Sont Ils Plus Libre Que Les Hommes

“je ne sais qu’une seule chose, c’est que je ne sais rien” , c’est la fameuse docte ignorance de Socrate qui fait de lui un questionneur avide de définitions, de saisir l’essence des choses. - “Nul n’est méchant volontairement”, c’est parce que les hommes se trompent sur le Bien, confondent le bon et l’agréable qu’ils commettent le mal Platon (427-347 av.JC) : Platon se détourne de sa carrière politique à la mort de Socrate car il considère que le monde qui condamne son maître à mort est injuste

Essai La littérature à plusieurs fonctions en plus de nous divertir, elle permet également de nous instruire en nous permettant de nous informer afin de prendre conscience des problèmes de nos sociétés. Ainsi elle nous permet de changer nos mentalités dans l’optique de changements quels qu’ils soient. Nous verrons comment la littérature et les autres moyens de communication permettent de rendre la société plus juste. Le XVIIIème siècle a permis aux auteurs des Lumières de diffuser des

Par exemple un esclave na pas la capacité d'etre libre comme un autre individu car il en est empéché par une force exterieur. La liberté peut prendre plusieurs formes, liberté physique, liberté morale, liberté politique... De nombreux auteurs se sont penchés sur la question de liberté comme Isaiah Berlin par exemple qui voit le sens de la liberté dans la liberation de tout lien. Ou encore Jean Jacques Rousseau qui lui dit que "'homme est née libre et que partout il est dans les fers". La liberté

réflexion du poète « me prenant à penser. Début de la 3ème partie début avec le verbe penser, il y a une gradation : récit, réflexion sur la liberté et le courage des loups puis réflexion plus élevée sur le paradoxe que les hommes sont moins intéressants que les animaux (débiles que nous sommes, sublimes animaux) Réflexion très pessimiste de la destinée et de la condition humaine. Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse. L’homme est

L'homme est-il fait pour vivre en société ? « Les hommes errants jusqu'ici dans les bois, (…) se rapprochent lentement, se réunissent en divers troupes, et forment enfin dans chaque contrée une nation particulière, unie de mœurs et de caractères (…). », c'est ainsi que Rousseau décrit les premières sociétés dans le Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes. Le sujet nous invite à nous demander ce que représente la société pour l'homme, lui est-elle essentielle :

negres et moins d'americain donc extermination d'eux. (il se met a la place des colonies) « on du » = obligation de prendre des esclaves ARGUMENT 2 l'esclavage c'est bien parce que le sucre est pas chere. Le sucre n'est pas vital, mais des hommes sont morts pour ca (= exploitation pour un privilege) ARGUMENT 3 L'esclavage c'est bien parce que les noirs sont moche ; critere subjectif/ raciste. l.8 « nez si ecrasé » 1 - le « si » demonte tout. -Justifie un crime

s’impose. En effet, la « liberté » des animaux est très imparfaite car ils ne font que suivrent leurs tendances naturelles ou leurs désirs. Certes, ils agissent en fonction de « raisons » qui leurs sont « intérieures » ou immanentes mais ils n’en demeurent pas moins soumis aux lois de la nature. L’animal n’a pas le pouvoir de choisir de suivre ou de ne pas suivre ses instincts ; c’est pourquoi on dit souvent qu’il agit par instinct. Pour être véritablement libre, il faut disposer d’une volonté qui nous

Extrait de l’Essai sur le Libre Arbitre, de SCHOPENHAUER La conscience est le propre de l’homme, ce qui par exemple le différencie des animaux : c’est la « fierté des hommes » selon Rousseau : la connaissance qu’a l’homme des ses pensées, de ses sentiments, mais aussi et surtout de ses actes. En effet, on pense souvent être seul maître de ses actes, de son comportement, on pense être la cause directe de nos actes : c’est le libre arbitre. Mais il semblerait que le libre arbitre de l’homme n’est

pas une contrainte. Si tel était le cas, il serait impossible de ne pas accomplir le devoir ; il serait impossible d’agir contre lui et même de lui résister ; Dire « je dois » reviendrait à dire « je fais » (contre ma volonté). Le devoir ne pourrait plus être source d’évaluation des actions. 1/ La question du bien : « Rien n'empêche, même si les plaisirs sont parfois mauvais qu'un plaisir soit le souverain bien; de même, rien ne s'oppose à ce qu'une science soit excellente, quand bien même d'autres

travail c’est à dire d’une transformation d’une nature hostile en une nature domestique estampillée et répondant aux besoins des hommes, à la médiation du désir humain et du langage. La culture sera donc une re-formulation radicale du rapport de l’homme à la nature. La tradition biblique est loin de s’épuiser par le seul mythe du jardin d'Eden puisqu’elle enjoint les hommes de faire fructifier la création (« Croissez et multipliez »). Si le travail est souffrance il est aussi le seul moyen par lequel