Les Anges

a l’eau. 1)Cimabue, La Vierge et l'Enfant en majesté entourés de six anges (vers 1280) Par sa monumentalité, la somptuosité du fond, le Louvre donne du thème de la Maestà, c’est-à-dire la Vierge avec l’Enfant sur un trône soutenu par des anges, glorifiée comme reine des cieux, une illustration particulièrement saisissante. Sur le cadre original, vingt-six médaillons peints représentent en haut le Christ et quatre anges, puis des saints et des prophètes. Ici CIMADUE, commence par les fonds

embrassée. L’extrait des Contemplations lui est composé de 2 quintiles, les vers sont aussi écris en alexandrin. Le procédé d’allitérations est aussi utilisé : en « S » aux vers 8 : « Mais que ce saphir sombre est un abîme obscur ! » ; et ver 10 : « Des anges frissonnants qui glissent dans l’azur. » Le premier texte est écrit au présent de l’indicatif, a l’imparfait hypothétique et au présent de l’impératif. Les modalités sont interrogatives, exclamatives et déclaratives. Le second texte est écris au

l'abstrait, jardin de la paresse, fleuve de l'oubli - mettant en scène des créatures mystérieuses ambiguës, troubles, fantasmatiques: chair fraîche où l'on ne peut aimer, anges charmants, tout chargés de mystère, des Hercules, des Christs, des fantômes, faune, forçats, des cœurs illustres, des fœtus, des vieilles, des démons, des mauvais anges - le bruit ou la musique, des éléments sonores : murmures, pleurs, fanfares étranges, soupir étouffé de Weber - l'ombre et la lumière - la conjonction entre la

folle. Elle se sentait privilégiée. Tous les soirs, elle faisait une petite prière mais, au lieu de prier au Dieu comme tout le monde, elle priait au nom des fées, elle faisait des vœux et bizarrement tous s’exauçaient. Elles étaient un peu comme ses anges gardiens. Le soir, elle faisait souvent semblant de dormir afin d’apercevoir ces petites fées s’arrêter à sa fenêtre. Mais, elle n’eut jamais cette chance car elle s’endormait avant. Elle se réveillait triste le lendemain matin et s’en voulait de

évoque des couleurs pâles dans une exclamation au vers 12 « aussi qu’elle pâleur ! » pour décrire la peau blanche de ces enfants malades. Leur état mental est lui aussi très affecté car le champ lexical du malheur est également omniprésent. De ces « anges », Hugo nous dit juste que (vers 1) « pas un seul ne rit » et vers 3 qu’ils vont « cheminer seuls ». Il met donc en évidence la tristesse de leur vie, leur solitude et ainsi, le malheur grandissant de ces pauvres enfants. Encore une fois, l’auteur

Le ciel : La symbolique est pratiquement toujours religieuse. Le paradis : le bien être, la perfection, la pureté Le ciel c’est l’habitat des dieux (ex : le caprice des dieux) emballage bleu avec des petits anges … La puissance cosmique C’est Dieu lui même Eclair= Mauvais présage, chamboulement Le ciel c’est l’aspiration le plus élevé de l’homme C’est la perfection spirituelle L’air C’est le souffle vitale, c’est ce qui porte la vie. « il manque pas d’air » La ou il devrait s’étouffer

perd pas un instant. Au ver n°6, l'auteur parle d'une « prison », cela signifie littéralement que les enfants sont emprisonnés. Dans le ver suivant, Hugo parle de ces « innocents dans un bagne, anges dans un enfer », on relève ici deux antithèses, il contraste l'enfer que les enfants vivent avec les anges qu'ils sont. Ver n°11 : « Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue », ce ver relève sans conteste le cauchemar que les enfants vivent, on sait tous qu'il est important pour la santé morale d'un

que Minerve se trouve à droite, tous deux protecteurs des arts et de la philosophie. La voûte abrite plusieurs médaillons dont l'un représentant une femme semblable à l'Artémis d'Éphèse - allégorie de la Philosophie - et deux petits anges sans aile (alors que les anges dans « la dispute du Saint Sacrement » ont des ailes immenses). Le médaillon abrite aussi la formule latine Causarum cognitio (« la connaissance des causes ») qui évoque la citation de Virgile, Felix, qui potuit rerum cognoscere causas

faire ici, et pourquoi... -Je te l'ai dit, je suis Mion, ange gardienne. Et désormais assignée à ta garde, c'est pour ça que je connais ton prénom. -Ma garde ? Mais je n'en ai pas besoin... Enfin, peut être un peu. Mais je sais me défendre. -Les anges gardiens ne font pas que protéger les humains. Ils peuvent les aider à régler un problème, leur faire reprendre confiance et parfois guider un futur ange. Normalement, ils ne sont pas sensés se montrer. Mais vu ton cas, j'en ai le droit. Ma mission

il est dans une impasse et donc pour lui il est impossible de le faire, on peut notamment relever à la ligne 69 un phrase interrogative qui nous confirme cela : « Essayer ce que peut le repentir ? ». Il en appelle aussi aux anges pour l’aider dans ses choix « Au secours, anges, faites un effort ! », le point d’exclamation nous montre qu’il le clame, il supplie le ciel de l’aider. Pour finir sur cette idée, on relève à la fin de son monologue qu’il se met à genoux, les lecteurs le voient avec la didascalie