Les Amants réguliers

le Mendiant vient lui conseiller de partir dès l’aurore, ce qu’elle ne fait pas. On apprend ensuite qu’Agathe a des amants réguliers. Agathe est la femme du Président du Tribunal, celui là même qui s’oppose à Egisthe concernant le mariage d’Electre avec le Jardinier. C’est ensuite au tour d’Oreste de se réveiller et de découvrir qu’Agamemnon a été tué et que Clytemnestre a un amant, vraisemblablement l’auteur du meurtre du roi. Electre questionne sa mère mais n’obtient la réponse qu’au bout de la

qui nous donne de suite une image péjorative, nous avons Tristan qui est décrit de façon positive comme courageux car il “s’expose sans hésiter au tourment et à la mort” vers 19-20 et “loyal, triste, affligé” (dolenz) vers 22-23 d’être séparé de son amante, la reine mal marié, qui est le dernier personnage. Tristan, éploré de ne pouvoir être avec sa bien-aimée, tiraillé entre le sentiment de fuir ou de rester, de prêter allégeance à son oncle (le terme “loyal” est employé ici pour qualifier l’amour

était hors d'elle, tremblante de fureur. Lui riait bruyamment, ajoutait des galanteries, offrait de coucher, pour le reste. » → Dans la ville: - l'Eglise influence les amants: - tout d'abord, le fait de savoir que Dieu les observe, les oblige à garder une certaine distance. Entre les amants, il règne donc une certaine pudeur.( La double famille) (=p 97 : « - Et s’ils étaient criminels, s’écria la comtesse avec feu, fallait- il donc perdre mon âme pour vous plaire ? – C’eût

Le Cid, Acte III, scène III « C’est peu de dire aimer, Elvire, je l’adore ; Ma passion s’oppose à mon ressentiment ; Dedans mon ennemi je trouve mon amant ; Et je sens qu’en dépit de toute ma colère, Rodrigue dans mon cœur combat encor mon père. Il l’attaque, il le presse, il cède, il se défend, Tantôt fort, tantôt faible, et tantôt triomphant : Mais en ce dur combat de colère et de flamme, Il déchire mon cœur sans partager mon âme ; Et quoi que mon amour ait sur moi de pouvoir, Je ne

1/ STRUCTURE DU TEXTE : 3 paragraphes séparés par 3 courts refrains =ressemble à chanson couplet-refrain 2/ L ENONCIATION (qui parle de qui ?) l auteur parle à son amante 3/ LE LEXIQUE : champs lexical de l amour, de l environnement, des sentiments 4/ THEME : Voyage 5/ LA SYNTAXE : 6 phrases / 3 phrases longues/2 points d’exclamations 6/ VERSIFICATION = vers embrassés 7/ LES FIGURES DE STYLE PROBLEMATIQUE : COMMENT CE TEXTE EST IL UNE INVITATION VERS L IDEAL ?

Candidose Le désir fit irruption. La Terre trembla, et l’Ordre sur ses frêles arrangements : un ciel apparut, dans sa pauvreté essentielle. Il y eut des étoiles et des vagues, et des flots réguliers. Des fruits enfin s’offrirent aux sexes béants des fleurs ; la Lumière fut, sans que leur chair qui gisait nue s’émeuve de sa crudité. Ils eurent faim. Puis ils s’endormirent. S’éveillèrent corps à corps, se dévorèrent encore, soir et matin, dans l’ombre accueillante du jardin. Elle était

fut connu dans Yonville, et madame Tuvache, la femme du maire, déclara devant sa servante que madame Bovary se compromettait" . 2 La vie, se poursuit, monotone. Emma guette chaque jour, de sa maison, le passage de Léon. Les Bovary sont invités réguli rement, le dimanche, avec Léon, chez Homais, le pharmacien : On y joue au trente et un, et aux dominos. Puis Homais et Bovary s'endorment. Léon et Emma feuillettent alors ensemble L'illustration et go tent cette "solitude" :" Ils se parlaient voix

cinquante ans écrit à une amie pour lui raconter sa vie. (Lettres de deux amants habitants d’une petite ville au pied des Alpes,Jean-Jacques Rousseau : Julie et Saint-Preux sont amants mais le père de la jeune fille refuse leur mariage et leur fait promettre de ne plus se revoir. Pour communiquer, ils doivent donc s’envoyer des missives. (La Nouvelle Héloïse, Jean-Jacques Rousseau : raconte l’histoire des deux amants Héloïse et Abélard (au XIIè siècle) qui, séparés par l’oncle de celle-ci,

des personnages : le rouge de la robe de cardinal vient s'associer au noir de l’habit de la nonne. En soulignant ainsi l'appartenance des amants au corps religieux. Schiele provoque ouvertement le pouvoir clérical. Il donne aussi une autre dimension : il s'agit d'une étreinte interdite, qui brave la crainte de Dieu. Le rayon de lumière qui entoure les amants n'est plus un écrin qui les isoles du monde ; au contraire ce demi-jour expose le couple enlacé et coupable au regard du spectateur. Des

meurtrir ton sein pardonné, Et faire à ton flanc étonné Une blessure large et creuse, Et, vertigineuse douceur! À travers ces lèvres nouvelles, Plus éclatantes et plus belles, T'infuser mon venin, ma soeur! Confrontation des amants et fantasmes d’agression sexuelle, physique. Idée du serpent qui rampe, et qui infuse son venin : sensualité, satanisme, dangerosité. — Charles Baudelaire En quoi consiste la fascination pour le mal dans ce poème ? Quelle est