Les Amants réguliers

pouvoir sacré de la femme. Lyrisme renouvelé. Mais marques d’un lyrisme traditionnel : énonciation lyrique : »je/tu/présent ». Thèmes lyriques : amour, sentiments amoureux, éloge de la femme. 3 strophes : harmonie visuelle, certains vers sont réguliers : alexandrins vers 1,3,4, octosyllabe V.2. Modernité : forme hétérométrique, vers libres. Associations sonores, liberté des images, surprenantes : surréalisme. Respect de la poésie lyrique : musicalité du texte. Cl de la rondeur et des courbes

une petit café en France qui s’appelle « Café de deux Moulins ». Les autres qui travaillent-là ont leurs problèmes sérieux aussi. Par exemple, une autre serveuse, Gina, a une ex petit ami, Joseph, qui lui traque a la café tous les jours. Il est une régulier a la café. Georgette est le nom de la femme qui vend les cigarettes, et elle est une hypochondriaque. Elle pense qu’elle a les migraines, dyspepsie, etc. Amélie a décidé de les aider. Ensuite, l’ex de Gina, Joseph est avec Georgette, et elle se

dont la magie onirique atténue la rigueur. La destination du voyage est, elle aussi, du domaine du rêve. Elle est éloignée par un « là-bas » qui tranche implicitement et absolument avec un ici aux durs contours. La contrée où doivent se rendre les amants est indéterminée, Baudelaire la désigne métaphoriquement par le « pays qui te ressemble3 ». En effet sa caractéristique est d'être moins un lieu qu'un état, celui du couple fusionnel. C'est le pays du « vivre ensemble », le paradis de l'amour. La

espoir : »Je ne vous parle point d’un heureux hyménée » vers 1127. Elle veut sauver leur amour et fait des concessions. Telle que, accepter l’impossibilité de leur mariage. Bérénice explique qu’elle ne désire plus un mariage, mais juste devenir son amante. Titus aime toujours Bérénice : »Vous fera confesser que vous étiez aimée » vers 1124. Titus est face à un dilemme tragique et chacun des deux a sa solution : »M’ordonnât elle-même une absence éternelle » Vers 1108. Mais aussi : »Je n’écoute plus

miroirs troublent les certitudes). Écrivains baroques Corneille : honneur, gloire, sens du devoir, héroïsme, sacrifice De Viau : anticonformistes, libertains. Il est indifférent aux règles et aux modèles, il exprime librement ce qu’il ressent St-Amant : recherche l’originalité dans la variété des thèmes : paysages merveilleux, visions fantastiques,… Thèmes privilégiés des écrivains baroques -modernité plutôt que l’héritage classique -sensualité, hédonisme -solitude (tête-à-tête avec soi) -nature

que même l’abdication ne doit pas être pour lui un moyen de salut. La main d’Æmilie doit être le prix de la mort d’Auguste. Maxime vient de l’apprendre, et comme il aime aussi Æmilie en secret, il voit que le succès de la conjuration livrera son amante à son rival. Alors la jalousie lui inspire l’idée de révéler la conjuration à l’empereur. Cependant Cinna, revenu de sa première fureur, et ayant réfléchi à la confiance et à la bonté qu’Auguste vient de lui témoigner, hésite à poursuivre son entreprise

poèmes les confidents de ses amertumes et de ses déceptions, en particulier dans Le Coffret de santal, œuvre qui préfigure le symbolisme et le surréalisme et recueil saisissant par la diversité de ses formes et de ses tons. Parmi les sonnets, le poème régulier « Plainte » est composé de quatre quatrains d’alexandrins, forme habituelle dans la deuxième moitié du 19ème siècle. Adressé à une citadine « fière », c’est une invitation vaine à abandonner le tumulte de la ville et à céder à un amour plus naturel

idée générale, thèmes du texte Grâce à une comparaison qui évoque les ressemblances mais aussi les différences entre la mer et l'amour, le poète développe le thème de l'amour malheureux. 4ème étape : la composition du texte formelle sonnet régulier si l'on tient compte de la rime normande entre "mer " (vers 3) et "aimer" (vers 6) : rimes ABBA ABBA CCD EED celle du fond ou plan du texte : 2 plans possibles : le premier plan oppose traditionnellement les quatrains aux tercets (comparaison

agitée ; l'autre, de ruse colorée en bonne foi, de cette ruse de dévots, sophistique et redoutable ; le dernier enfin, de canaillerie charmante, de tromperie exquise, de délicieuse perfidie, de toutes ces perverses qualités qui poussent au suicide les amants imbécilement crédules, mais ravissent les autres. Celle dont je veux dire l'aventure était une petite provinciale, platement honnête jusque-là. Sa vie, calme en apparence, s'écoulait dans son ménage, entre un mari très occupé et deux enfants

enfin, il ne supportait plus cette situation. » ou « Elle est morte ! Adieu, Perdican. » L'hyperbate : poursuite d'une phrase qui semblait terminée : « Tout ceci est à moi, et les domaines qui palpitent là-dessus ». L'enjambement : dans un poème régulier, la construction de la phrase doit correspondre aux vers. Dans l'enjambement, il y a un décalage puisqu'une phrase commencée dans un premier vers va déborder sur un second vers sans qu'il soit possible de marquer une pause ou un arrêt : « Ma seule