Leibniz Ph00

Lecture suivie 59 - Le jardin 62 - Lecture méthodique 65 Candide - Aspect de la critique 67 - Enchaînement des chapitres 72 - Général 76 - Général 80 - Théorie de Leibniz 84 - CANDIDE OU LE PESSIMISME 86 CHAPITRE I PRÉSENTATION DU TEXTE Le chapitre I de Candide joue un rôle d'exposition (présentation). L'incipit du conte a pour fonction de présenter un contexte

qu’il apporte aux apparences, l’hypocrisie dont il fait preuve est décrite ici de façon réaliste. Enfin, un autre élément de réalité apparaît dans le discours de Pangloss, qui ne se réfère pas aux légendes des contes, mais à la métaphysique de Leibniz, auquel il emprunte bon nombre de ses expressions.

anonymement en 1759. Candide est un roman d'apprentissage dont le héros éponyme porte un regard naïf sur le Monde qui l'entoure. A travers ces personnages Voltaire formule des critiques contre les principales idées développées par les Optimistes, comme Leibniz, qui disent que ''tout est bien dans le meilleur des mondes''. De plus, Voltaire porte un regard ironique sur la société qui l'entoure. Candide et Cacambo rentre dans le palais → Voyage initiatique. Il vont y découvrirent un endroit miraculeux.

auteurs tels que Voltaire ou Montesquieu. Voltaire retrace cette réalité à travers Candide où il dénonce les méfaits de la civilisation. Dans cet ouvrage, l’auteur soulève aussi des débats philosophiques. Des le sous titre, il critique l’optimisme de Leibniz. Par ailleurs, il oppose Nature et Civilisation. Voltaire apprécie conter ses voyages et entretient le mythe du mauvais sauvage cannibale, zoophile. II. Biographie de l’auteur Né sous le nom de François-Marie Arouet en 1964, issue d’une famille

L état Final du personnage Finalement le long et périlleux parcours de Candide va transformer progressivement les idées toutes faites du héros. Sa naïveté face à la théorie Panglosienne va petit à petit être remise en question. A la fin de l’histoire quand il retrouve tous ses amis et qu’il se marie à Cunégonde sa vision du monde n’est plus la même qu’à son départ du château de Thunder-ten-tronckh. Le meilleur des mondes et la vision optimiste que Pangloss a imprégné dans l’esprit de Candide vont

comportent une page de garde dans laquelle il y a un avertissement ironique. C’est une publication dite « anonyme » à Amsterdam. Le Traité sur la tolérance est la suite logique Candide dans lequel s’engage Voltaire. On se fonde sur la philosophie de Leibniz (optimiste) « Dieu est parfait et a créé le meilleur des mondes possibles ». De tout mal découle un bien. Le mal ne pourrait être compris que si on pouvait voir tout l’ensemble des causes à effet. Or ce n’est pas possible car nous ne sommes pas Dieu

par accumulation La théorie de Leibniz apparaît tout de suite comme insensée, irréel à travers 2 superlatifs, 2 utilisations de « meilleur » L33 à 44 Style direct : dérision de la théorie de l’optimisme à travers des exemples ridicules : lunettes, chausses, cochons et le baron au milieu… En plus : - Focalisation zéro, un narrateur omniscient qui se permet d’intervenir « je crois » l.5 et qui se permet aussi des commentaires. Seule la théorie de Leibniz est exposée au style direct, peut-être

sous la courbe d’une hyperbole et le nombre e puis le suisse Jakob Bernoulli (1654 ; 1705) proposera par un calcul de limite une première estimation pour les besoins de la finance. Il trouvera 2 < e < 3. En 1690, l’allemand Gottfried Wilhelm von Leibniz (1646 ; 1716) définit le nombre e et propose de le nommer b (le nom actuel n’existe pas encore). 4 sur 6 18/08/2013 18:30 Le nombre e http://www.maths-et-tiques.fr/index.php/histoire-des-maths/nombres/le... Leonhard Euler Le premier

la satire de Voltaire passe par l’humour noir et le comique. D’abord, l’auteur décrit les atrocités comme si elles étaient tout à fait normales. Le sentiment d’horreur fait naître l’émotion du lecteur. L’exemple de la guerre à laquelle Candide assiste est frappant et bouleverse le lecteur : « Ici des vieillards criblés de coups regardaient mourir leurs femmes égorgées, qui tenaient leurs enfants à leurs mamelles sanglantes ; là des filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques

L'optimisme au XVIII° siècle Dans les années 1730, on crée le mot optimisme (du latin optimus, « le meilleur ») pour rendre compte d'une théorie philosophique de Leibniz. Elle a pour objectif de répondre au problème du bien et du mal : pourquoi le mal existe-t-il si le monde a été créé par un dieu juste et bon ? De nombreuses interrogations tournent autour de la Genèse et de la notion de péché originel (cf. la Bible). En 1681, Bossuet, homme d'église catholique, écrit, dans son Histoire