Lecteur Co Auteur

Le lecteur, un co-auteur? Au 20e siècle, la déchéance de l’auteur par la critique et la déchéance de l’idée même de sens favorisent l'idée selon laquelle le lecteur a une place importante dans la littérature. D'après Michel Tournier, par exemple, le lecteur est le co-auteur du livre. D'après lui, donc, le lecteur aurait sa place dans le processus de création. Il serait une condition de l’existence de l’œuvre. Cette conception de la collaboration entre auteur et lecteur est fondée contre celle

études formelles de la littérature. Il poursuit l’étude théorique amorcée par Roland Barthes. Il étudie le sens du discours et les aspects du langage. Il travaille également sur la « narratologie », évoquant les structures littéraires variables d’un auteur à l’autre, ainsi que la question des points de vue, du rythme du récit, des genres, etc. COURANT STRUCTURALISTE : Courant de pensée des années 1960 qui tire son origine du Cours de linguistique générale de Ferdinand de SAUSSURE (1916). Il envisage

On en revient toujours au lecteur, comme l’indispensable collaborateur de l’écrivain. Un livre n’a pas un auteur mais un nombre indéfini d’auteurs. Car à celui qui l’a écrit s’ajoute de plein droit dans l’acte créateur l’ensemble de ceux qui l’ont lu, le lisent ou le liront. Un livre écrit, mais non lu, n’existe pas pleinement. » Michel Tournier, Le Vol du vampire 1981Tournier ne dit pas en quoi consiste acte de collaboration ms plus du coté de l’éthique : le lecteur a aussi le droit légitimement

d’Alcofribas Nasier », Rabelais 1534, 2nd roman de R, après Pantagruel : ø ordre chronologique Q° de la parole du narrateur : dit-il toujours la vérité ? Captatio benevolentia : proximité du lecteur : « tu », complicité d’ivrognerie, « mes bons disciples », « mes amours » => comique => connivence avec le lecteur => « réjouissez-vous » annonce la futur lecture et interprétation Prologue d’un érudit : références culture antique (//Platon, Socrate, Homère, Ovide…) => 1ère ambiguitéDénonciation

l’auteur et le lecteur réels, l’institution de la littérature, descriptible, entre autres, en termes de contrats littéraires entre un auteur et un lecteur modèles ou abstraits Umberto Eco,1991: 80), l’univers textuel, lieu de manifestation des figures textuelles de l’auteur et du lecteur réels (le narrateur et le narrataire du texte narratif), et l’univers représenté ou le monde intra textuel, dont les instances énonciatives sont les personnages eux-mêmes. Le texte est donc le produit d’un auteur réel qui

particulière sera accordée à l’appareil critique (III.). 1 2 3 4 Voir l’art. 13 du Règlement d'études du 15 octobre 2004, ainsi que le Règlement sur les exercices de rédaction juridique du 15 décembre 2004 (annexés). Les termes "étudiant", "auteur" et "professeur" s'entendent aussi bien au féminin qu'au masculin. La page de couverture indique le prénom et le nom de l’étudiant, l’intitulé de l’exercice, la date, l’enseignement dans le cadre duquel l’exercice est proposé et le nom du professeur

I.2 / Variations narrativesCorpus : récits fictionnels modifiant dans l’ incipit la structure prototypique du récit fictionnel : pronoms représentants + passé simple tiroir temporel passé d’aspect global. * Passé composé (accompli du présent) se substituant au passé simple d’aspect global : altération de la continuité narrative (Camus, La Peste ). Notions complémentaires  : repérage déictique

davantage mise au service de cette réflexion. La fascination, celle de F, est pointée du doigt co malsaine. N’a pas permis/peut-être : jugement et reproche de Jeanne sous-jacent ici. Pt de vue de J qui sera sa victime. Elle ne l’a pas encore vu de près et n’est pas encore marquée par le sang qui a « tourné ». --} Ironie de l’auteur : indices sur son propre suicide, le destin qui l’attend+ mort mystérieuse, co par une main divine, de l’abbé qui sera tué au moment d’être pardonné par la population et

l’abs de larmes ce qui provoque l’horreur du lecteur. On perçoit donc ici, l’intention satirique de J de LF à l’égard des abus du pvr royal.LF fait aussi ds ce passage la satire des courtisans. Ces derniers st nn-seulement délateurs mais aussi menteurs, c’est ce qui prouve les v. 28 et 29. - Tte cette péripétie est narrée sur le ton de la conv. Ce qui contribue à rendre le récit + vivant. Ainsi ds la formule du v24 il créer un lieu de proximité avec le lecteur grâce au det possessif « notre ». Ds son

l'homme Meursault parait décalé, une succession de hasard le pousse a commettre un meurtre. Le roman s'ouvre sur l'annonce de la mort de la mère du narrateur et ses répercussions sur celui-ci. En quoi l'incipit de L'Etranger est-il déconcertant pour le lecteur? I/ Un incipit surprenant. 1) Remise en cause des codes romanesques traditionnels. - début in medias res, pas de présentation du narrateur personnage, ni des autres personnages. Récit à la 1ere personne, le texte se limite à la perception des choses