Lecon Implicite Le Nez De Voltaire

SUJET 1 SUJET NATIONAL, SEPTEMBRE 2011, SÉRIES S, ES Texte 1 Le narrateur rencontre Carmen pour la première fois et en fait le portrait à une de ses connaissances. J’étais donc le nez sur ma chaîne, quand j’entends des bourgeois qui disaient : « Voilà la gitanilla ! » Je levai les yeux, et je la vis. C’était un vendredi, et je ne l’oublierai jamais. Je vis cette Carmen que vous connaissez, chez qui je vous ai rencontré il y a quelques mois. Elle avait un jupon rouge fort court qui laissait voir

France durant tout le XVIIe siècle : exportée en VO, l’oeuvre fut ignorée (par Louis XIV, non anglophone et par sa cour) • Redécouvert par Voltaire (1728) lors de son « exil » anglais, Shakespeare est raillé par les penseurs du XVIIIe : trop loin des règles, on le trouve grossier, sans grâce, barbare (« histrion barbare » dixit Voltaire). Pourtant, Voltaire, par ses critiques, intrigue sur son oeuvre et donne envie de s’y intéresser. (doc 1). Quelques traductions apparaissent fin XVIIIe (P. Le

positions ecclésiastiques. À Valladolid, la colonisation retrouvait sa vocation missionnaire : nul doute que la pratique du cannibalisme fut sans doute l’un des éléments qui frappaient le plus les contemporains. 3. Les empires ibériques (XV-XVIe s) Cette leçon répond à trois objectifs : – montrer la naissance des empires coloniaux avec le partage du monde lors du traité de Tordesillas, et la mise en place d’une économie coloniale basée sur l’exploitation des richesses (mines et plantations), et l’asservissement

de monographies sur des points qui m’apparaissaient décisifs, mais que je n’avais ni le temps ni les moyens de creuser : certains aspects ou notions de la méthodologie (les références à la « méthode naturelle» tout au long de son histoire, ou la « leçon de choses » dans la méthodologie directe, par exemple), certains moments clés (ainsi la « révolution directe » de 1901-1902 ou l’éclatement de la méthodologie officielle dans l’Enseignement secondaire français au cours des années 60), certains cours

monographies sur des points qui m’apparaissaient décisifs, mais que je n’avais ni le temps ni les moyens de creuser : certains aspects ou notions de la méthodologie (les références à la « méthode naturelle» tout au long de son histoire, ou la « leçon de choses » dans la méthodologie directe, par exemple), certains moments clés (ainsi la « révolution directe » de 1901-1902 ou l’éclatement de la méthodologie officielle dans l’Enseignement secondaire français au cours des années 60), certains cours

des lèvres une espèce de sifflement continu. L’air sérieux de Pécuchet frappa Bouvard. On aurait dit qu’il portait une perruque, tant les mèches garnissant son crâne élevé étaient plates et noires. Sa figure semblait tout en profil, à cause du nez qui descendait très bas. Ses jambes prises dans des tuyaux de lasting manquaient de proportion avec la longueur du buste ; et il avait une voix forte, caverneuse. Cette exclamation lui échappa : — « Comme on serait bien à la campagne ! » Mais la

bout des lèvres une espèce de sifflement continu. L’air sérieux de Pécuchet frappa Bouvard. On aurait dit qu’il portait une perruque, tant les mèches garnissant son crâne élevé étaient plates et noires. Sa figure semblait tout en profil, à cause du nez qui descendait très bas. Ses jambes prises dans des tuyaux de lasting manquaient de proportion avec la longueur du buste ; et il avait une voix forte, caverneuse. Cette exclamation lui échappa : – Comme on serait bien à la campagne ! –4– Mais

moment des adieux, l’auteur n’est plus que cette souffrance à laquelle il semble s’identifier. Rutebeuf s’adresse quant à lui directement à son destinataire (le roi Philippe III le Hardi), auquel il dépeint sa situation de dénuement avec l’objectif implicite d’obtenir son aide en l’apitoyant. La traduction conserve le caractère intime et le ton de sincérité du poème, daté de l’hiver 1276-1277. L’Épitaphe de Villon, composée alors que, condamné à mort, son auteur s’attend à être pendu, a successivement

fiches lexicales présentent, à propos d’une notion, des mots organisés en arborescence. Les participants ont d’autre part eu connaissance d’une liste des questions linguistiques proposées traditionnellement dans les manuels et de quelques éléments de leçons et d’exercices empruntés à ces mêmes manuels. Faire acquérir du vocabulaire Analyse critique des fiches lexicales Le principe d’un tel document et de la démarche didactique qui le sous-tend a été jugé particulièrement intéressant pour une classe

retrouvé). Il faut reconnaître que la lecture des grands textes constitue un contrepoids, nécessaire de nos jours, au bombardement informationnel des médias qui procurent notre lest quotidien de clichés. Lire, c’est faire paraître son école, ses leçons, sa formation, d’où la responsabilité qui pèse sur les épaules de l’enseignant de qui dépend également la qualité du lecteur post-scolarité. 4. Comment lire ? Y a-t-il une technique ou bien un art de lire ? Quels seraient les dangers