Leclerc Integration Nouveau Salariés

négociation collective sur la pénibilité 22 30 3 5. Évolutions des négociations collectives de branche et d’entreprise (notamment sur les mises en retraite) et initiatives dans le secteur public 6. Les comportements des employeurs et des salariés III - Evolution des revenus des actifs et des retraités 1. Les niveaux de vie 2. Les pensions de vieillesse IV - Les contraintes des finances publiques 1. La Conférence des finances publiques et l’engagement national de désendettement 2. Les objectifs

(ouvrage collectif), Encyclopédie du management, chap. « Le management de la performance », Retz, octobre 2007. PRUVOST J.-M., SIMON F.-X., Investir en bourse pour sa retraite, Dunod, 2007. SIMON F.-X. (ouvrage collectif), Guide de l’Actionnaire salarié, CMM, 2007. SIMON F.-X. (ouvrage collectif), « La maîtrise des risques : une approche innovante à la portée de toutes les entreprises », Cahiers de l’Académie, 2006. BOUIN X., SIMON F.-X., Tous gestionnaires, 2e éd., Dunod, 2006. SIMON F.-X, TRABELSI

domaine de la Responsabilité sociale de l’entreprise. La contingence des concepts d’audit social et de RSE a été soulignée par de nombreux intervenants venus de divers horizons. Il était nécessaire de faire le point et la réalisation à Dakar, dans un nouveau contexte national, de notre 8e université de printemps, la 31e de nos universités, imposait ce thème. Le succès des universités précédentes a conduit à retenir pour l'université de printemps 2006 un thème qui prolonge et amplifie les débats initiés

AUTEURS : Olivier BAUDRY, Xavier BOUIN, Laurent CAPPELLETTI, Eric CAUVIN, Claire CIAMPI, Francis CUISINIER, Loïc DACHY, Catherine DUBAN DOYARD, Dominique FERNANDEZ POISSON, Jean FIÉVEZ, Pascal KEREBEL, Olivier DE LAGARDE, Caroline LAMBERT, Gérald LECLERC, Yves LEVANT, Pascal LEVIEUX, Hélène LÖNING, François MEYSSONNIER, Denis MOLHO, Anne-Catherine MOQUET, Damien MOUREY, Gérald NARO, Jean-Jacques PLUCHART, Pierre RAGUIDEAU, Marc SALEZ, Alain SCHATT, Caroline SELMER, Marion SOULEROT, Samuel SPONEM,

crédibilité des communications d’entreprises traditionnelles : « La cause de cette mort est Internet. L’explosion de l’information signifie que les con- © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit 9 LE PLAN DE COMMUNICATION sommateurs, salariés et journalistes peuvent trouver plus d’informations sur les organisations que les directions de la communication n’ont jamais voulu révéler. »1 ➤ Le plan dans la communication La représentation d’un plan varie considérablement selon la conception

La loi du souvenir dépend d'un coefficient unique que l'on mesure au 1° contact avec le message. En moyenne la mémorisation par support est de 5 % pour la radio, 10 % pour une annonce magazine, 15 % pour la TV, 70 % pour le cinéma. A chaque nouveau contact, une fraction constante de mémorisés, appliquée à ceux qui n'avaient pas encore retenu le message, s'ajoute à ceux qui l'avait déjà retenu. Par exemple en appliquant cette règle dans la presse magazine, si au premier contact on touche 100

de qualité. L’exemple le plus représentatif reste Jardiland. * jardineries intégrées, sont rattachées à des magasins dont l’activité principale n’est pas le jardinage (alimentaire, et bricolage), exemple avec Castorama, Leroy Merlin ou jardi-leclerc * les LISA : il s’ouvrent de plus en plus au segment des particuliers. Leur activité est plus diversifiée : animalerie, motoculture bricolage (Gamm vert). On peut donc observer le schéma suivant : Qu’est ce que le Développement Durable ?

Clamart - Rapprochement avec le cabinet DUNOYER et DVA (La Rochelle) - Rapprochement avec le cabinet Guy FONTAINE (Rennes) et création de Strego Rennes - Rapprochement avec le cabinet SOCECO (Tours, Bourgueil, Chinon, Loudun) - Construction d’un nouveau bâtiment à Angers (siège, Strego et Oratio Angers) - Création de Strego Rambouillet - Prise de participation avec ECL Direct - Nouvelle offre de service aux entreprises : gestion de patrimoine, cession et acquisition, recherche de financement, en

Spécialisation  Domination par les coûts (ex : Décathlon le plus gros, le moins cher)  Différenciation (ex : Darty et son SAV)  Focalisation (ex : LVMH sur le luxe, Poujoulat dans les conduits de cheminée en acier inox, Heuliez…) 2 – Intégration Ex : Lapeyre 3 – Diversification Ex : AGF dans les activités bancaires 4 – Internationalisation Ex : Groupe NRJ II – STRATEGIE DE MARCHE : SEGMENTATION, CIBLAGE Une entreprise qui décide d’intervenir sur le marché admet

de la valeur et pour qui : pour les clients (impératif: il faut que la valeur d’usage du produit dépasse le prix à payer)  pour les actionnaires (bénéfice supérieur à la rémunération minimale exigée)  pour les préteurs («surprimes»)  pour les salariés (intéressement, stock-options,..)  pour les fournisseurs (marges ..)   une stratégie qui met en œuvre cette proposition à travers le temps en articulant les orientations contradictoires IFAG SME 2A FINEXPLUS 1 Premier volet: un