Le Vote Comme Rituel

citoyens décident, qui s'assujettissent à la loi en contrepartie qu'ils ont eux-mêmes contribués à son élaboration. Du coup puisque la loi procède de la volonté commune des citoyens, elle exprime la volonté générale or rien ne peut y être supérieur tout comme rien ne peut limiter cette volonté générale. Puisque la loi est l'expression de cette volonté, rien ne peut y être supérieur et ne peut la limiter. Ça s'est définitivement installé sous la IIIème république. Elle emprunte aussi à la théorie de la souveraineté

pouvoir public ou la puissance publique. Il y a en effet une sorte de magie par rapport au pouvoir: on parle de caractère théocratique du pouvoir politique qui se manifestait par exemple dans l'Égypte ancienne, avec le pharaon qui était considéré comme une divinité. Mais on peut prendre aussi l'exemple de Rome puisque l'empereur connaissait une sorte de religiosité lorsqu'il disparaissait. B/ Les mutations au cours des siècles 1. L'évolution de l'Antiquité à la Révolution Il y a incontestablement

1- JOUER LE JEU Pour tout jeu, pour toute pratique, comme pour tout exercice, des règles sont à installer, des règles qui impliquent des exigences et des contraintes spécifiques, règles qui pour cela font appel à des compétences spécifiques. Un jeu n'est pas un simple défoulement : il met au défi au travers de règles. Règles qu'il s'agit d'articuler, de proposer, de définir, de faire comprendre, d'utiliser, d'imposer, sans oublier de les revoir en permanence. En effet, les règles ne valent que ce

ou même de conduire une affaire en justice. * Droit de vote, droit de suffrage : il est réservé aux seuls citoyens, c’est le droit de siéger dans différentes assemblées pour voter, pour élire des magistrats, approuver des déclarations de guerre ainsi que des traités de paix et de voter des lois. Ce droit ne fait pas la démocratie romaine. Car le vote n’est pas individuel, le vote de chaque citoyen est pris en compte dans le vote de sa tribu ou de sa centurie, qui possède elle, une seule voix

3000 av JC sur le territoire de l'Irak actuel. En 2400 av JC, le roi URUKANIGA décide de rassembler les règles de droit dans un code. C'est la première fois que le droit est rassemblé dans un même texte. C'est aussi la première naissance du droit comme un droit divin qui est censé avoir été dicté par les dieux.   Mésopotamie, HAMMOURABI, roi de Babylone : 1750 av JC : décision de rassembler le droit dans le code d'Hammourabi gravé sur pierre, retrouvé en 1901 en 3 morceaux et exposé au Louvre.

dans l’âme. Le Coran est la parole véritable et intangible et ils suivent mot pour mot ce qui est dit, ne permettant aucune intérpretation. Ils respectent donc les cinq pilliers de l’Islam. Prier cinq fois par jours en direction de la Mecque selon le rituel demandé, jeûner pendant le mois de Ramadan en période de travail, exiger des dispenses de cours de biologie, d’éducation sexuelle ou de piscine peuvent freiner leur intégration. V. L’intégration sociale La langue nationale L’intégration des

particulier la France de Vichy. La défaite de 1940 a été effacée par la victoire des armées de la France Libre et le rôle des résistants de l’intérieur et de l’extérieur est largement mis en avant. La France de Vichy n’est considérée que comme une parenthèse, un régime de fait mais n’est pas la République. C’est pourquoi, le 9 août 1944, le GPRF (Gouvernement Provisoire de la République Française) décide l’annulation de tous les actes de Vichy et refuse de proclamer la République

imposées et ceci limiterait alors sa liberté individuelle, dans le sens où il ne pourrait agir totalement selon son propre souhait dans la mesure où il doit se restreindre à une puissance étrangère et supérieure. Ainsi, l’État pourrait alors être vu comme un mal car il serait une limite, un inconvénient qui perturberait et porterait en quelque sorte préjudice à notre volonté singulière. Toutefois, si chacun devait agir selon bon lui semble, il régnerait alors bien vite un chaos résultant de l'opposition

souhaiterait qu’elle soit à l’abri des discussions, en position absolue : il n’a pas sollicité le pouvoir (384), mais il est seulement tyrannos délégué, et non basileus légitime. Il présente son savoir (la ruse qui lui a permis de triompher de la sphynge) comme supérieur à la science "officielle" – la technique divinatoire de Tirésias – (380). Et cette revendication le conduit à deux excès : la condamnation de l’ami fidèle, Créon (384), qu’il soupçonne maintenant de comploter contre lui, et la récusation

LE CENTRE DE L’ETOILE V M, lorsque vous demandez à un Frère s'il est Apprenti celui-ci vous répond «mes Frères me reconnaissent comme tel». Il a besoin de la reconnaissance de ses Frères, il ne prend aucun risque. Il n'en va pas de même avec un Frère Compagnon. .’. «Etes-vous Compagnon?», Celui-ci vous répond «j’ai vu l’Etoile flamboyante et je connais la lettre G». Le Compagnon pense par lui-même, il a déjà une expérience personnelle. Rappelons-nous les Constitutions de 1723 et le chapitre