Le Vieux Fusil

famille deviennent précaires. René Char se lie vers 1921 avec Louis Curel, qu'il dépeindra sous le nom d'Auguste Abondance dans Le Soleil des eaux, mais aussi avec son fils Francis, élagueur, Jean-Pancrace Nougier dit l'Armurier (il répare les vieux fusils) qu'il évoquera dans Le Poème pulvérisé ( il sera lui aussi l'un des personnages du Soleil des eaux), et les pêcheurs de la Sorguet (quelques vagabonds au parler poétique qu'il nommera plus tard les Transparents). Interne à partir de 1918 au

réalisateur trompe le spectateur en prenant le point de vue des fantômes (Grace, les enfants et les domestiques) qui se pensent hantés, alors que c’est le contraire. En fait, Grace et ses enfants sont morts, elle les a étouffés puis s’est suicider avec un fusil. Les Autres sont vivants et vivent maintenant dans le manoir, mais la présence de Grace et les autres fantômes n’est pas appréciée. C’est pourquoi ils font appelle à une médium/exorciste qui est en fait la vieille dame afin de contacter les revenants

L’analyse des éléments narratifs des chasses faites par Antonio José Bolivar démontre que l’auteur Sepúlveda a voulu faire de son roman, Le vieux qui lisait des romans d’amour, un roman fortement écologique. Les particularités du dernier jaguar qu’Antonio José Bolivar a tué est développé avec un champ lexical des attributs de l’animal qui est formé des mots « force », « intelligence » et « savait attendre ». Son apparence est mise en évidence par le champ lexical de la splendeur qui est constitué

De toute évidence, dans l'extrait du roman Le vieux qui lisait des romans d'amour de Luis Sepulveda, l'auteur vise à montrer la relation remarquable existant entre les personnages et les lieux de l'histoire. Il met en évidence la grande connaissance de la forêt d' El idilio et des animaux sauvages que possède Antonio José Bolivar, le personnage principal. En effet, cet homme a vécu toute sa vie à chasser dans cette forêt d'Amazonie où les bêtes sauvages règnent . Dans sa jeunesse, principalement

MILTON et lui c'est Lennie SMALL , c'est mon cousin, il a reçu un coup de pied de cheval dans la tête en étant petit et il est pas très intelligent. Le patron lui donne le travail à faire et sort, le vieux revient avec son chien. Curley le fils du patron entre et s'en prend à Lennie, le vieux explique une fois qu'il est sorti qu'il n'aime pas les plus grands que lui. George explique à Lennie d'éviter Curley pour ne pas avoir d'ennui. Ils font la connaissance de la femme de Curley et Lennie

écrivait à Paris pour décommander l’appartement qui devait le recevoir, et fit marché avec le patron d’une goélette corse qui allait faire voile pour Ajaccio. Il y avait deux chambres telles quelles. On embarqua des provisions ; le patron jura qu’un vieux sien matelot était un cuisinier estimable et n’avait pas son pareil pour la bouillabaisse ; il promit que mademoiselle serait convenablement, qu’elle aurait bon vent, belle mer. En outre, d’après les volontés de sa fille, le colonel stipula que

personne, et crever au coin d’un champ, tandis que vos vieux parents, votre femme et vos enfants meurent de faim ; voilà ce qu’on appelle ne pas tomber dans le plus hideux matérialisme. Nous l’avons vue, la guerre. Nous avons vu les hommes, redevenus des brutes, affolés, tuer par plaisir, par terreur, par bravade, par ostentation. Alors que le droit n’existe plus, que la loi est morte, que toute notion du juste disparaît, nous avons vu fusiller des innocents trouvés sur une route et devenus suspects

couchés.
 Rien ne bruissait donc, lorsque, baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
 A regardé le sable en s'y couchant ; bientôt, Lui que jamais ici l'on ne vit en défaut, A déclaré tout bas que ces marques récentes
 Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
 De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
 Nous avons tous alors préparé nos couteaux, Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches, Nous allions pas à pas en écartant les

LUIS SEPULVEDA – LE VIEUX QUI LISAIT DES ROMANS D’AMOUR Biographie de Luis Sepulveda Luis Sepúlveda est un écrivain chilien né le 4 octobre 1949 à Ovalle. Son premier roman, Le Vieux qui lisait des romans d'amour, traduit en trente-cinq langues et adapté au grand écran en 2001, lui a apporté une renommée internationale. Son œuvre, fortement marquée par l'engagement politique et écologique ainsi que par la répression des dictatures des années 70, mêle le goût du voyage et son intérêt pour les

certaines choses. J’ai enfin porté mon choix sur trois autres poèmes s’inscrivant dans des thèmes différents de la poésie engagée, comme Nelly Sachs qui nous fais ressentir la douleur des orphelins ou René Guy Cadou qui s’attarde sur la douleur des fusillés ou Prévert qui fait une prière a la beauté du monde. Il ne nous reste plus qu’à nous laisser porter par la magie de ces textes. Arthur RIMBAUD, Le mal Tandis que les crachats rouges de la mitraille Sifflent tout le jour