Le Vieux Fusil

Le vieux qui lisait des romans d'amour  LUIS SEPÚLVEDA LE VIEUX QUI LISAIT DES ROMANS D’AMOUR   Traduit de l’espagnol (Chili) par François Maspero           Éditions Métailié       TITRE ORIGINAL Un viejo que leía novelas de amor © by Luis Sepûlveda, by arrangement with Dr Ray-GIIde Mertin, Literarische Agentur ISBN 978-2-02-023930-1 (ISBN 2-86424-127-7, 1° publication brochée ISBN 2-02-020116— X, 1° publication poche)   pour la traduction française © Éditions Métailié, 1992. Présentation   Le vieil

'LE VIEUX QUI LISAIT DES ROMANS D ' A M O U R Luis Sepûlveda est né au Chili en 1949. Outre Un nom de torero, il est également l'auteur du Vieux qui lisait des romans d'amour, du Monde du bout du monde et du Neveu d'Amérique. Best-sellers mondiaux, ses romans sont traduits dans de très nombreux pays. Il est également scénariste, réalisateur, producteur et même acteur pour le cinéma. Luis Sepûlveda LE V I E U X QUI LISAIT DES ROMANS D'AMOUR R O M A N Traduit par de l'espagnol

Le vieux qui lisait des romans d'amour LUIS SEPÚLVEDA LE VIEUX QUI LISAIT DES ROMANS D’AMOUR Traduit de l’espagnol (Chili) par François Maspero Éditions Métailié TITRE ORIGINAL Un viejo que leía novelas de amor © by Luis Sepûlveda, by arrangement with Dr Ray-GIIde Mertin, Literarische Agentur ISBN 978-2-02-023930-1 (ISBN 2-86424-127-7, 1° publication brochée ISBN 2-02-020116— X, 1° publication poche) pour la traduction française © Éditions Métailié, 1992. Présentation Le vieil

Le Bécasse : Le vieux baron des Ravots est maintenant paralysé et ne peut plus chasser. Quand il fait beau on le mène sur un fauteuil sur le perron avec un domestique pour charger les fusils et un autre pour lâcher des pigeons. C’est ainsi qu’il passe ses journées. Quand vient la saison de la chasse, tous les chasseurs des environs sont invités au « conte de la Bécasse » c’est un rituel, chaque convive mange une bécasse, donne la tête au baron, celui-ci la met sur le goulot d’une bouteille, la fait

(voir page **) Introduction : La fleur au fusil est la suite d’Adieu Brindavoine. Brindavoine est un personnage crée par Tardi, Adieu Brindavoine est publié en feuilleton dans Pilote (qui est un journal hebdomadaire) en 1792. La fleur au fusil a été éditée à la suite d’Adieu Brindavoine en 1979. Elles sont reliées par une page de transition où un vieux narrateur (qui est Tardi) nous apprend la suite des évènements de Brindavoine avant La fleur au fusil. Je vais maintenant vous parler de la 1ère

des animaux qui avaient et ont dû être reconstituées. Il avait amené avec lui deux des travailleurs les plus dignes de confiance pour l'aider. Rosalio arriva au galop à signaler qu'une troupe s'approcha du ranch. Mama Elena a immédiatement pris son fusil tout en le nettoyant et la pensée de cacher la cupidité et le désir de ces hommes les objets les plus précieux qu'il possédait. Les références a été donné de les révolutionnaires ont été rien de bon, rien n'était clair que ne sont pas fiables parce

comme souvenir, étaient légués quelques meubles. La dernière clause me concernait. La voici : "A mon neveu Pierre, je laisse un manuscrit de quelques feuillets qu'on trouvera dans le tiroir gauche de mon secrétaire ; plus 500 francs pour acheter un fusil de chasse, et 100 francs qu'il voudra bien remettre de ma part au premier marchand de coco qu'il rencontrera !..."      Ce fut une stupéfaction générale. Le manuscrit qui me fut remis m'expliqua ce legs surprenant.      Je le copie textuellement :

La Becasse : Le vieux baron des Ravots est maintenant paralysé et ne peut plus chasser. Quand il fait beau, on le mène sur un fauteuil sur le perron avec un domestique pour charger les fusils et un autre pour lâcher des pigeons. C’est ainsi qu’il passe ses journées.! Quand vient la saison de la chasse, tous les chasseurs des environs sont invités au « conte de la Bécasse », c’est un rituel. Chaque convive mange une bécasse et donne la tête au baron. Celui-ci la met sur le goulot d’une bouteille

lui aussi, décrit les situations et les événements de façons remarquables. J'ai choisis d'ajouter le poème de Boris Vian, Le Déserteur, car cet acte était présent pendant la guerre, mais il était durement punis, souvent le déserteur était fusillé. Les fusillés, titre d'un poème de Victor Hugo, est présent dans cette anthologie, il suit le poème de Boris Vian. Pour finir, on retrouve un poème de Hugo, Bêtises de la guerre, qui résume parfaitement la pensée que je veux faire passée, à travers cette

Plusieurs jours d’affilée, des brebis sont retrouvées égorgées ou à demi dévorées dans leurs enclos. Les villageois pensent immédiatement qu’il s’agit d’un loup et les journalistes accourent pour se saisir de l’histoire. 2) Augustus est un vieux loup du parc du Mercantour. Lawrence s’est pris d’affection pour lui et, bien que les règles du parc l’interdise, chasse du gibier pour le nourri car il est trop faible pour le faire tout seul. 3) La grosse Suzanne soupçonne Massart, un homme