Le Vieux Fusil

oublier.  Pour clôturer cette anthologie, j’ai trouvé important d’ajouter un poème sur le souvenir de guerre et de toutes les personnes mortes pour la France. Louis Aragon nous permet de ne jamais oublier le groupe Manouchian, résistants étrangers fusillés par la Gestapo en 1944 pendant la seconde guerre mondiale.  « Voyez partir l’hirondelle, Elle fuit à tire d’aile, Mais revient toujours fidèle, A son nid » Cette peinture représente bien l’image de l’homme donnée par le poète.

mourir ! je suis prêt et j'attends... J'attends, j'attends encore... Ah ! suprême ironie ! Le rêve du néant, même, est un faux espoir ! Car voici que, soudain, là-bas, dans le fond noir Tressaille, radieuse, ardente, rajeunie, La fleur des vieux matins, comme un rouge ostensoir ! ......................................… Puisque la vie est là, cruelle, mais certaine, Dans l'ivresse d'agir il faut bien oublier ! J'ai les bras, j'ai le coeur d'un vaillant ouvrier ; Je ne veux m'endormir

Cimourdain, mandaté par le Comité de salut public, va donc retrouver en Vendée Gauvain, son élève et son fils d'adoption. L'insurrection a pris de l’ampleur, grâce au marquis de Lantenac ; les petites colonnes républicaines se sont fait écraser. On fusille deux femmes, dont l'une a trois enfants ; les chouans gardent ceux-ci en otage.   L'épopée se poursuit au milieu des sacs de villages, fermes incendiées, femmes éventrées ou fusillées, horreurs commises de part et d'autre. À la reprise de la ville

qu'il sagissait d'un calibrage de 6mm donc il en deduisait que le projectile sur marie provenait d'un fusil snyper ak-23 qui provenait de la decheterie. Peu de temps après Jaquard entra dans la decheterie et l'inspecta.Un agent de jaquad remarqua qu'il y avait un passage entre les ordures,ils suivirent le chemin et ils remarquèrent qu'il y avait un trou a moitié bouché dans la terre.Jaquard pri un vieux bout de ferraille qui ressemblait a une pelle et creusa le trou .En creusant ils'apercut qu'il y avait

Le vieux qui lisait des romans d’amourLuis SepulvedaIntro : Bonjour, aujourd’hui je vais vous parler du célèbre auteur Luis Sepulveda et de son œuvre intitulée Le vieil homme qui lisait des romans d’amour. Pour commencer je vous parlerai de la vie de l’auteur, ensuite je vais continuer avec le courant dans lequel il a vécu, je vous parlerai de la pièce en elle-même, je ferai une petite analyse de texte et je terminerai avec une petite conclusion. Biographie :

bleu et une veste courte. Slim a une trache d’âge qui de trente cinquante ans. Ses mains sont grandes et minces , il a une grande autorité . Slim accueille george et Lennie dans un regard bienveillant, et en ayant une voix douce . candy : Il est vieux et a comme animal de compagnie un chien aveugle et puant. Candy est réceptionnaire sa catégorie sociale est moyenne. Candy acceuille George et Lennie en les avertissants que le patron est en rogne parce qu’ils ne les a pas vu ce matin . Curley :

Mais si tu restes, tu cours un grand danger et je risquerai de te perdre. - Si quelqu’un doit rester ici à Noël ce sera moi. - Bon, alors je resterai avec toi. Quelques jours plus tard, le soir de Noël, tout était calme et puis Lineik demanda au vieux Jon : - Est-ce que tu as peur ? - Un peu, car j’ai peur de mourir. Mais, toi, pourquoi as-tu voulu rester ? - Si je devais t’expliquer, tu ne me comprendrais pas. J’ai quelques choses en plus que tout le monde, d’inimaginables. Soudain, à minuit

discrètement un vieux chasseur d’allure simplet, accompagné de la grand-mère dynamique, vive, en pleine forme.ils étaient à la recherche d’un animal sournois. A cet instant ce chaperon blanc bondit en retirant le masque qu’elle portait, voulant dévorer le petit chaperon vert sans défense. La gueule grande ouverte, un loup aux ridicules petit crocs tentait de mordre son repas. Le chasseur réagit en tirant plusieurs coups de fusil sur l’animal, loupant sa cible, car son fusil était pourvu

1854-1891 Waterloo avant la bataille J.Cl. Brinette Waterloo après la bataille J.Cl. Brinette Poème sur la guerre Brandon McGee 7e année, St. Pius X London (Ontario) La Lettre Didier Venturini Le cauchemar Jules Delavigne Le jeu Esther Granek Les fusillés Victor Hugo Poème sur la guerre 1914-1918 Maurice de Vlaminck Après la bataille Victor Hugo Mon père, ce héros au sourire si doux, Suivi d'un seul housard qu'il aimait entre tous Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille,

couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque, baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête A regardé le sable, attendant, à genoux, Qu'une étoile jetât quelque lueur sur nous; Puis, tout bas, a juré que ces marques récentes Annonçaient la démarche et les griffes puissantes De deux grands Loups-cerviers et de deux Louveteaux. Nous avons tous alors préparé nos couteaux Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches, Nous allions, pas à pas, en écartant les