Le Silence des armes

athée, libre penseur 2- amoureux des plaisirs charnels multipliés Lecture : Tonalité de confidence ; ton neutre ; peu de sentiments Analyse : L1 à 5 : « fille encore » : non mariée, pas de statut « vouée au silence et à l’inaction » ne joue aucun rôle important, statut d’enfant Première étape : « observer et réfléchir » apprentissage dans la solitude «  Tandis qu’on me voyait étourdie ou distraite »  elle trompe déjà son entourage Elle va au-delà des

Travail d’actrice. Le regard. La physionomie gestes discours. Antithèse : deux choses qui s’oppose. Souffrance/joie. b) La revanche d’une libertine sur la société du XVIIe S • Silence/inaction • Face à cela : indignation • Elle entre en guerre ct société. ( Talent politique « munie de ces armes) • Orgueil démesuré Ce qui importe à la marquise, c’est de rester maîtresse de sa vie, de garder son autonomie et son indépendance. III. Puissance et faiblesse de l’héroïne

17 - Méditation 18 - Nature, espace 19 - Religion, Eglise, Secte 20 - Respect, tolérance 21 - Richesse 22 - Sagesse 23 - Santé 24 - Silence 25 - Spiritualité 26 - Travail 27 - Vérité, authenticité, sincérité 28 - Vie, mort - Action, Résistance Il faut regarder le néant en face pour savoir en triompher.

concerne la période étudiée, nous débuterons notre propos en 1956 qui correspond à une aggravation du conflit en Algérie et donc un engagement soutenu des intellectuels français. Nous irons jusqu’à la fin des années 1980 où se pose la question du silence des intellectuels. Notre but est donc d’étudier l’évolution de l’engagement intellectuel en France durant cette période. C’est pourquoi notre problématique est la suivante : en quoi peut-dire que la période allant de 1956 à la fin des années 1980

ce moment un régime politique totalitaire qui tue des millions de personnes parmi sa population en organisant la famine, dispose d’un vaste réseau de camps de concentration pour ses opposants politiques dans lesquels entre autres sont testées des armes chimiques sur des détenus dans des chambres à gaz. Pourtant on ne voit personne descendre dans les rues pour s’insurger contre cette horreur qui n’a plus sa place au début du 21ème siècle. On a vu des Français se mobiliser pour arrêter une guerre en

incontestable. Une fois forgé et trempé, il surpassait tous les autres matériaux utilisés pour les armes. Cette vocation martiale d'instrument de mort fait du fer un symbole de force dure, sombre et impure. De nombreuses traditions le considèrent ainsi : Les druides n'avaient pas le droit d'utiliser ce métal pour couper le gui. Pour Platon, les habitants de l’Atlantide - civilisation élevée – chassaient sans armes de fer. L’Égypte ancienne identifiait ce métal aux os de Seth, divinité des ténèbres : de

Le réalisme : - Description minutieuse des étapes : « d’abord, puis, et, puis, puis, ensuite » presque scientifique (naturalisme ??) - Détails précis et réaliste « portefeuille protecteur » =/= récit héroïque + tout le vocabulaire des armes « canons, gâchette, … » Dramatisation et suspens : - Suspens : o Plusieurs pages ont été traitées sur ses angoisses = attente fébrile o Temporalité : deux temps : temps de l’attente et temps de l’action : on attend longtemps le

Point de soldats au port, point aux murs de la ville. Notre profond silence abusant leurs esprits, Ils n'osent plus douter de nous avoir surpris ; Ils abordent sans peur, ils ancrent, ils descendent, Et courent se livrer aux maisn qui les attendent. Nous nous levons alors, et tous en même temps Poussons jusques au ciel mille cris éclatants. Les nôtres, à ces cris, de nos vaisseaux répondent ; Ils paraissent armés, les Maures se confondent, L'épouvante les prend à demi descendus ;

bon pour les femmes ; être dans le besoin, vil ; être vaincu, honteux et indigne de celui qui permet à peine aux plus grands rois de baiser ses pieds bienheureux ; enfin mourir est désagréable ; être crucifié, infamant. Il ne leur reste que les armes et les douces bénédictions dont parle Paul et dont ils sont réellement prodigues, les interdits, suspensions, aggravations, redaggravations[2], anathèmes[3], peintures vengeresses[4] et cette foudre terrifiante[5] qu’il leur suffit de brandir pour

fraîches lueurs de l'été. De grands branchages s'y dressaient affreusement. Des buissons chétifs et difformes sifflaient dans les clairières. Les hautes herbes fourmillaient sous la bise comme des anguilles. Les ronces se tordaient comme de longs bras armés de griffes cherchant à prendre des proies; quelques bruyères sèches, chassées par le vent, passaient rapidement et avaient l'air de s'enfuir avec épouvante devant quelque chose qui arrivait. De tous les côtés il y avait des étendues lugubres. L'obscurité