Le Silence De La Mer

Lecture analytique : Support : « Et la mer, et l’amour ». Introduction : Epoque > Courant > L’auteur > L’œuvre > Le texte (titre, forme, thème, situation du texte dans l’œuvre) > Lecture du texte > Problématique > Annonce de plan Etude du document : Le texte est un texte baroque du XVIIème siècle écrit par Marbeuf. Il publie en 1628 un recueil qu’il a appelé recueil de vers dans lequel on trouve le sonnet « Et l’amour et la mer » qui évoque les douleurs causées par l’amour

me l'ait proposé. J'ai vécu jusqu'à présent avec un frère plus âgé, William, qui va bientôt se marier. Sa future femme est jeune et énergique. J'ai toujours aimé vivre au bord de la mer mais, à l’heure actuelle, je dois aller voir ailleurs, et la vérité est que je ne pourrai aller plus à l'est, au-delà de la mer. Mon choix, comme vous pouvez le constater, est limité. Cela ne doit pas vous offenser. Je suis forte, je travaille dur et je suis prête à voyager. Mais je n'ai pas des manières raffinées

m’asseoir sur cette pierreOù tu la vis s’asseoir !Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,10   Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondesSur ses pieds adorés.Un soir, t’en souvient-il ? nous voguions en silence ;On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux,Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadenceTes flots harmonieux.Tout à coup des accents inconnus à la terreDu rivage charmé frappèrent les échos ;Le flot fut attentif, et la voix qui m’est

favorise le retour des mots. La rime en « i », se poursuivant jusqu'au vers 6, accentue cet effet. La femme est associée aux quatre éléments : l’eau, la terre, l'air, le feu (la flamme). Tout le poème est construit sur ce mouvement de ressac : la mer qui monte, enfle et se retire. Mouvement ascendant : Strophe un : distique : octosyllabes Strophe deux : tercet : décasyllabes. Strophe trois : tercet : 15 syllabes. Mouvement descendant : Strophe quatre : tercet : alexandrin. Strophe cinq

permet au spectateur d’imaginer un autre environnement car c’est ici en général que l’on voit des différents paysages. C’est par ce cinéma typique des années 50 que nous prenons la mer grâce à l’imaginaire. L’écran de cinéma permettait de voir les ombres dtu capitaine ou de la baleine, il était parfois éclairé en bleu mer pour qu’on se projette encore plus dans l’histoire. L’éclairage est moyen que veux-tu dire ? Caractérise le mieux, il s’agit d’une lumière tamisée de cinéma de l’époque… on ne dispose

me poussa à reprendre la route des Indes Orientales. Je pratis donc de Bagdad avec de riches marchandises du pays et me rendis au port de Balsora. Là, j'embarquai avec d'autre marchands, pendant que nous naviguâmes au beau milieu de la mer nous vîmes soudainement apparaître une étrange créature autour du navire. Plus personnes ne bougea, nous n'entendîmes plus aucun bruit quand tout à coup une baleine à tête d'aigle s'écrasa sur le navire. Ses yeux étaient orange comme le sable du désert

réalise : « voici les trois sentiers ». Le Vallon a les caractéristiques de l’intimité : adjectifs « étroit, obscure, épais », la nature est proche : « courbant sur mon front, me couvre tout entier ». Cet ensevelissement n’a rien d’hostile : il procure silence et paix, c’est-à-dire l’oubli du monde. On peut également penser aux enfers grecs par la présence de la musique : ce poème est une forme de victoire sur la mort. Dans la dernière strophe, le vallon prend une figure maternelle (enfant, bercé, chant

d’être reçu licencié en droit. En vacances. Désire s’établir avocat dans la région. Blond. Gérôme Roland : Le père de famille. Ancien bijoutier parisien, modeste rentier retiré au Havre. A une passion pour la mer et la pêche. Maréchal : L’absent, le mort. Fonctionnaire, il n’aimait pas la mer. Plus riche que les Roland. Laisse sa fortune à Jean. Les femmes : Louise Roland : La mère de famille. Quarante-huit ans. Mère de Pierre vers dix-huit ans et de Jean cinq ans après. Est devenue "une femme d’ordre

Texte 3 : Extrait du chapitre 6 (fin de la 1ère partie) “Le meurtre de l’Arabe” : le soleil comme destin tragique. Au bout d’un moment, je suis retourné vers la plage et je me suis mis à marcher. C’était le même éclatement rouge. Sur le sable, la mer haletait de toute la respiration rapide et étouffée de ses petites vagues. Je marchais lentement vers les rochers et je sentais mon front se gonfler sous le soleil. Toute cette chaleur s’appuyait sur moi et s’opposait à mon avance. Et chaque fois que

à l’autre de l’échiquier. Clov le déplace comme on déplace sur un échiquier (en le poussant) mais Hamm le considère comme sa dame, son pion “Ne reste pas la tu me fais peur!” Il mène le dialogue: il pose des questions, donne des ordres « Regarde la mer. » l18 « Les flots, comment sont les flots ? »l38. Comme il est en fauteuil, il ne peut pas faire beaucoup de chose, il passe donc l’essentiel de ses journées à parler a Clov (souvent durement) et a l’envoyer chercher une chose ou une autre. Hamm est