Le Silence De La Mer

la côte ouest du Péloponnèse (l’Elide) jusqu’à la pointe sud (le Ténare) et va jusqu’à la partie la plus orientale de la mer Egée (la mer Icarienne qui borde l’Asie Mineure). L’allusion à l’Achéron n’est peut-être pas innocente : elle prépare la vraie destination atteinte par Thésée et celle vers laquelle se dirige Hippolyte… Il en va de même pour la chute d’Icare, mort par la mer, tout comme le sera Hippolyte. Racine soigne ses effets… La fin de la tirade évoque l’autre partie du mythe de Thésée

particuliers de la ville puis autour de Carthage : opposition terre (montagnes, banc de sables..) et mer (golfe, lac, brume, lagune..), impression d’espaces avec les pluriels, vaste horizons. Dernière phrase longue → panorama, écrin au temple d’Eschmoun, beaucoup d’éléments souvent juxtaposés. 2. Auditives Absence de bruit, la nuit, le silence qui règne, calme. Pas d’activités humaines. Silence mais murmures des cyprès, des flots → bruit doux, régulier, en harmonie avec le paysage.

« Paysage Belge » de Paul Verlaine, datant de 1874. Le recueil dans lequel apparait ce poème date de 1874, il appartient donc au 19° siècle. Il est donc issus du symbolisme. La date d’écrit du recueil est inconnue. Ce poème est écrit en vers. « Voyage en silence » de Paul Eluard. Le recueil dans lequel apparait ce poème a été rédigé en 1929. Il appartient au 20 ieme siècle et au mouvement du surréalisme. Ce poème est écrit « Le beau voyage » de Henry Bataille, datant 1904. Il appartient au 20° siècle. Son

jamais trop. Ma France, mon ancienne et nouvelle querelle, Sol semé de héros, ciel plein de passereaux… Je vous salue, ma France, où les vents se calmèrent ! Ma France de toujours, que la géographie Ouvre comme une paume aux souffles de la mer Pour que l’oiseau du large y vienne et se confie. Patrie également à la colombe ou l’aigle, De l’audace et du chant doublement habitée ! Je vous salue, ma France, où les blés et les seigles Mûrissent au soleil de la diversité… Je vous

par l'interjection « Zut ! » : accroche l'attention du lecteur. -L'aspect soudain accentué par « tout à coup » et par les passées simples. -Utilisation du dialogue rend le début plus vivant. -Changement situation passée et situation présente, le silence et la parole, l'immobilité et la mise en action.

Instinct La houle l'embarquait au loin. Le silence l'avait réveillée, il piétinait ses rêves, écartelait ses pensées, déchiquetait son sommeil. Elle avait crié si fort qu'elle s'empoignait désormais brutalement, se balançant d'avant en arrière. Elle se berçait, une commissure paume ouverte plaquée contre sa bouche gluante et enivrée. La bile lui collait à la peau, la souillait. Elle ne se souvenait plus très bien, peut-être qu'elle s'était sommée de se coucher, ou bien s'était-elle forcée à

mot accroche l'attention du lecteur. L'aspect soudain est encore accentué par " tout à coup " et par les passées simples. L'utilisation du dialogue rend le début plus vivant. => changement entre une situation passée et une situation présente, le silence et la parole, l'immobilité et la mise en action ; le champ lexical du sommeil rappelle l'état antérieur. De même, on note chez le père Roland des expressions négatives tant dans le dialogue que dans le récit. II-L'alternance récit-dialogue

accroche l'attention du lecteur. L'aspect soudain est encore accentué par "tout à coup" et par les passées simples. L'utilisation du dialogue rend le début plus vivant. => changement entre une situation passée et une situation présente, le silence et la parole, l'immobilité et la mise en action ; le champ lexical du sommeil rappelle l'état antérieur. De même, on note chez le père Roland des expressions négatives tant dans le dialogue que dans le récit. * L’alternance Récit-Dialogue :

Edward Hopper (1882-1967) est le peintre d'une Amérique profonde qui s'interroge sur les mutations du monde moderne et sur les angoisses profondes des hommes de son époque. Il nous représente les images de la solitude et de l'absence, du silence et l'attente, comme autant d'énigmes de l'existence et du désir, du temps et de la mort. Ses oeuvres sont probablement parmi les représentations les plus fortes de l'angoisse humaine dans l'art contemporain. Edward Hopper est un peintre réaliste, mais

nuages, le silence et la nuit; la mer immense et verte; l'eau uniforme et multiforme; le lieu où tu ne seras pas; l'amant que tu ne connaîtras pas; les fleurs monstrueuses; les parfums qui font délirer; les chats qui se pâment sur les pianos et qui gémissent comme les femmes, d'une voix rauque et douce!"Et tu seras aimée de mes amants, courtisée par mes courtisans. Tu seras la reine des hommes aux yeux verts dont j'ai serré aussi la gorge dans mes caresses nocturnes; de ceux-là qui aiment la mer, la mer