Mais je me lassai de ma vie de rêve et une soif d'aventure me poussa à reprendre la route des Indes Orientales. Je pratis donc de Bagdad avec de riches marchandises du pays et me rendis au port de Balsora. Là, j'embarquai avec d'autre marchands, pendant que nous naviguâmes au beau milieu de la mer nous vîmes soudainement apparaître une étrange créature autour du navire. Plus personnes ne bougea, nous n'entendîmes plus aucun bruit quand tout à coup une baleine à tête d'aigle s'écrasa sur le navire. Ses yeux étaient orange comme le sable du désert, son nez ressemblait à celui d'un buffle de taureau, elle avait une bouche si petite qu'elle ressemblait à celle d'une souris, ses oreilles étaient aussi belles que celles d'un lynx, …afficher plus de contenu…

Le navire fût fracassé en mille morceaux, les mâts craquaient dans cette mer en furie, les voiles tournoyaient dans le ciel tels des oiseaux enivrés par la tempête puis en un éclair la carcasse toute entière coula dans un silence assourdissant. Je me retrouvai seul au beau milieu de l'océan. Pendant de longues journées, seul dans l'océan je découvris une terre inondée par le soleil pleine de verdure dont le cœur était un volcan. Je puisai dans mes dernières forces, puis poussai par une vague, j'échouai au bord de la plage. L'île était entièrement recouverte de palmiers et de fleurs exotiques de mille couleurs. Je restai coucher au sol pendant quelques jours. Je commençai à faire le tour de l'île pour chercher de la