Le Sentiment D Injustice

pièces de théâtre. Il était un représentant de la philosophie des Lumières: il été contre le fanatisme religieux et l’intolérance. Voltaire s’est battu pour la tolérance contre le fanatisme religieux et pour la liberté. Il est contre les injustices et il a écrit « Traité sur la tolérance » (ouvre contre le fanatisme religieux) où il raconte du cas de Jean Calas. Voltaire a défendu Jean Calas. Calas (protestant) a été accusé d’avoir assassiné son fils car il

explications sur tout ce qui n’est pas clair. Déclarer la guerre à tous types de formalismes » CHE GUEVARA Citation CHE n° 5 (lettre d’adieu à ses enfants) « Soyez surtout capables de ressentir, au plus profond de vous-mêmes, toute injustice commise contre quiconque en quelque partie du monde. C’est la plus belle vertu d’un révolutionnaire. A toujours, mes enfants, j’espère vous voir encore. Un grand et fort baiser de papa » CHE GUEVARA

Figaro. Chérubin, surpris chez Fanchette est chassé. Mais il courtise aussi Suzanne. Ils sont surpris par le Comte venu faire sa cour : Chérubin se dissimule et lorsque le Comte entend entrer quelqu’un, se cache aussi. C’est Bazile. Une allusion aux sentiments de Chérubin pour la Comtesse provoque la colère du Comte, qui se dresse puis découvre par hasard Chérubin. La Comtesse accompagnée de Figaro, demande la grâce de son filleul qui partira pour l’armée. Acte II = Chez la Comtesse avec Suzanne, arrive

crise. Nous devons agir en responsables».( Ibi, p.100.) Dans La lettre sous la langue Castera établit une relation de communication entre un « je » et un « tu ». Contrairement à la poésie lyrique où le « je » est la marque d’une manifestation d’un sentiment, dans « le poème épistolaire », le « je » et le « tu » du poète sont des morphèmes de valeurs plurielles, pluriel, parce que d’abord ce « je » est un « je » qui se déploie pour un « nous » effrayé, et ensuite, le « tu » dont il s’agit ici correspond

qui brillait dans les affaires et qui est devenu misérable. Il loge d’ailleurs à la pension Vauquer, lieu misérable.Succession de questions du narrateur : « Quel travail avait pu le ratatiner ainsi ? », …Cela pousse le lecteur à réfléchir sur les injustices sociales : tout le monde peut devenir pauvre et donc il faudrait plus d’aide… Ici : Poiret était un homme noble et est devenu pauvre et misérable. Poiret fréquentait donc la haute société et la richesse et il loge désormais dans l’endroit le plus

se bruler avec ses enfants pour que cela soit une espèce de punition à lui. - Théâtre de parole : l’action corporelle n’a presque rien d’importance. - Évolution des personnages, sentimentale : amour- rupture, séparation- méprise et mort. Le sentiment amoureux, entre l’amour et l’haine. - Souffrance, tragédie : perte d’amour et la fin avec la mort. - L’humeur ou comique : transformation de la tragédie du mythe, langage vers la nourrice - Autonomie : jusqu’à la solitude radicale. - Quotidien

qu’éprouve le peuple. Les bras tendus, on peut prendre ce geste pour un appel à la communauté internationale. Conclusion : Par cette œuvre, Picasso fait part de son sentiment d’horreur. Mais cette œuvre engagée est aussi la dénonciation de la violence nazie et franquiste. Pour moi cette œuvre permet aussi de montrer les injustices qu’il y a entre les peuples.

mener un individu, à exister par des actes de délinquance. Exister par le regard des autres est vital pour l'être humain. Et si la vie, pour diverses raisons (sociales, psychologique, parcours personnel.), n'a pas donné à un homme ou une femme ce sentiment d'être regardé et entendu avec bienveillance, alors pour survivre il cherchera d'autres moyens, quitte à s'engager dans la violence. La création artistique permet à ceux qui s'y investissent d'être regardés, entendus et en fin de compte d'exister

car il connait les sentiments du personnage, le lecteur voit et ressent, ce que le personnage voit et ressent. « intérieurement» illustre parfaitement cette idée. Or on peut aussi dire que le point de vue est externe. Le narrateur montre le personnage de l’extérieur, le lecteur n’accède pas à ses pensées. Il ne peut donc le connaître que par ses actes. Par exemple « effarouché ». Pour ainsi dire, ce passage ne révèle pas toutes les pensées de madame Leroux. Ses sentiments face à cet évènement

la pâleur ↳ «Aussi quelle pâleur !» v.12 : modalité exclamative → sentiments du poète la tristesse ↳ v.1 «tous» ≠ «seul» → insiste sur la tristesse, sentiment de pitié la solitude ↳ v.3 «cheminer seules» → renforce le sentiment de pitié les enfants sont présentés comme des innocents, des victimes ↳ «ils ne comprennent rien à leur destin» v.14 ↳ v.14-15 : ils parlent, prière à Dieu → le poète interprète leurs sentiments b) Description des conditions de travail : un travail