Le Secret Du Bonheur

 La terre est bleue comme une orange Jamais une erreur les mots ne mentent pas Ils ne vous donnent plus à chanter Au tour des baisers de s’entendre Les fous et les amours Elle sa bouche d’alliance Tous les secrets tous les sourires Et quels vêtements d’indulgence À la croire toute nue. Les guêpes fleurissent vert L’aube se passe autour du cou Un collier de fenêtres Des ailes couvrent les feuilles Tu as toutes les joies solaires Tout le soleil sur la terre Sur les chemins de

Une raie sous la porte dit que je suis habité. On est heureux. Il y fait chaud. On y partage le pain, la vie, la mort. Jean MALRIEU, Le nom secret (1968) TEXTE 2 Regardez les gens courir affairés, dans les rues. Ils ne regardent ni à droite, ni à gauche, l'air préoccupé, les yeux fixés à terre, comme des chiens. Ils foncent tout droit, mais toujours sans regarder devant

impressionnistes (dont Cézanne, son ami d'enfance aixois). En 1868 il entame Les Rougon-Macquart. Voulant rivaliser avec La Comédie Humaine, il explore tous les milieux : petit et grand commerce (Le Ventre de Paris, 1873 ; L'Assommoir, 1877 ; Au bonheur des Dames, 1883), mineurs (Germinal,1885), prostituées (Nana, 1880), etc. Après l'immense succès de L'Assommoir, il organise des soirées à Médan où il expose sa conception scientifique du naturalisme, sans jamais renoncer à la peinture épique et mythique

jamais vu. Le père tressaillit en entendant ces paroles, car sa fille avait des larmes dans la voix ; il la regarda, et crut remarquer sous ses paupières abaissées quelques pleurs causés moins par le dépit que par un de ces premiers chagrins dont le secret est facile à deviner pour un vieux père. Tout à coup Julie rougit, et jeta une exclamation dont le sens ne fut compris ni par les sentinelles, ni par le vieillard. À ce cri, un officier qui s’élançait de la cour vers –7– l’escalier se retourna

Elle aimait la musique.... Tant que sa mère était là, elle restait dans un coin de la chambre, penchée sur son ouvrage, et elle semblait absorbée dans son travail ; mais son âme était attachée aux sons qui venaient de là-haut. Aussitôt que, par bonheur, Amalia sortait, pour une course dans le voisinage, Rosa se levait d’un bond, jetait l’ouvrage, et grimpait le cœur battant, jusqu’au seuil de la mansarde. Elle retenait son souffle et appliquait son oreille contre la porte. Elle restait ainsi jusqu’à

Barbey d’Aurevilly Le bonheur dans le crime : Un vieux médecin voyant à Paris un couple formé de deux êtres magnifiques raconte leur histoire. Fille d'un ancien soldat de Napoléon, maître d'armes dans une petite ville de Normandie, Haute-Claire faisait de l'escrime avec les aristocrates de l'endroit, dont le comte de Savigny, puis elle disparut mystérieusement. Le médecin la retrouva, sous le nom d'Eulalie, servante de la comtesse de Savigny et découvrit l'amour secret qui l'unissait au comte

la vie comme elle vient, serait le secret du bonheur, l’allègement du malheur. En effet mieux que le plaisir, le bonheur. En vérité on ne recherche pas les plaisirs mais la vie heureuse. Certes il n’y a que le plaisir qui compte mais pas dans la totalité de la vie, car le bonheur est le vrai but de nos actions. Finalement c’est dans la tempérance et en vivant au jour le jour que le plaisir pourra nous permettre d’atteindre le bonheur. Mais le bonheur est-il durable ainsi?

par l'aspect visuel du passage, porté notamment par les décors. Victor Hugo les décrit dans les didascalies présentes au début des actes. Pour les actes IV et V, il ancre l'action dans "une petite chambre somptueuse et sombre" traduisant l'amour secret que Ruy Blas partage avec la Reine mais aussi et surtout le caractère inquiétant de Don Salluste. La didascalie, "Une seule fenêtre à gauche, placée très haut et garnie de barreaux et d'un auvent inférieur, comme les croisées d'une prison", installe

artifices. Ces rencontre avec les amérindiens lui ont permis de développer un concept du bonheur basé sur la nature. Caractérisation La pensé de Montaigne est basé sur la recherche du bonheur. Il a divisé sa conception de l’être humain en trois thèmes principale ; savoir être a soi, savoir vivre a propos et savoir mourir. Tout d’abord Montaigne dit qu’il faut se connaitre soi même pour atteindre le bonheur. Il a conclu que se sont les actes que tu accomplie qui construise qui tu es. Par contre

pleines de secrets (l’une a un amant, l’autre, cache la grossesse de sa fille, ou a tué une mère et sa fille lors d’un accident de voiture) qui doivent sous aucun prétexte. Pour cela elles mentent à leurs amies, cachent leur sentiments (Bree met un masque pour cacher ce qu’elle ressent). Et elles continuent à se dire de grandes amies alors qu’en fait elle ne cherche qu’à trouver quelqu’un pour parler, pour ne pas se sentir seule. De plus, toutes ces femmes sont à la recherche désespérée du bonheur. Quand