Le Secret Est De Plaire Et De Toucher

des Contes en 1669, démontre son appartenance à ce courant, en y précisant cependant sa vision particulière et son propre but dans cette citation. La citation est la suivante « Le secret de plaire ne consiste pas toujours en l’ajustement, ni même en la régularité : il faut du piquant et de l’agréable sil l’on veut toucher » Ainsi nous nous demandons de quelle manière La Fontaine considère la littérature, et s’il en est de même pour tous les auteurs ? C’est à dire que nous nous interrogeons sur le

simple est répandue, c'est-à-dire couché sur du papier, ou monté en représentation, conserve ses mêmes fonctions et ses mêmes buts. Selon la thèse de Boileau, qu’il a exploité dans son « Art Poétique », cet art à un secret, celui d’impérativement « plaire et toucher ». Pour exploiter cette citation, nous allons tout d’abord voir qu’elles sont les façons utilisées par les auteurs ou les metteurs en scène pour répondre aux attentes de Boileau, pour poursuivre et terminer en montrant

Dissertation Consigne : Selon Boileau*, au théâtre « le secret est d'abord de plaire et de toucher ». Selon vous le succès d'une représentation est-il uniquement dépendant du respect de cette règle classique ? Vous prendrez appui sur les oeuvres et les textes que vous avez étudiés en classe, vos lectures personnelles et votre expérience de spectateur. *Art Poétique, III, 1674 Introduction : Le théâtre classique a surtout été présent durant la seconde moitié du XVIIème siècle. Il suit

scènes du corpus répondent ou non aux principes d’art dramatiques énoncés par Boileau dans son « Art Poétique ». En premier lieu, Boileau dans son extrait « Art poétique » énonce que chaque pièce doit toucher et plaire le spectateur « le secret est d’abord de plaire et toucher » (vers.1) notamment avec de l’originalité « inventez des ressorts qui puissent m’attacher (vers.2), et être également simple et clair pour le spectateur « Sans peine du sujet aplanisse l’entrée […] d’un divertissement

Les pièces classiques, en particulier les tragédies, mettent en scène des personnages proches du pouvoir, ce qui permet aux nobles de s’identifier à ceux-ci. Comme le dit Boileau : ‘‘le secret est d’abord de plaire et de toucher’’. En permettant au spectateur de s’identifier au personnage, l’auteur le touche bien plus qu’en mettant en scène un personnage sans réel élément familier à celui qui assiste à la pièce. Dans le Cid de Corneille, par exemple, les personnages sont nobles, ce qui permet

pour mieux peindre les caractéres , Molière peint aussi les milieux : une famille , un salon , une maison . Il les peint comme ils sont et pour amuser le public. Le but Molière, comme de tous les classiques ,nous le savons déjà , est d'abord de plaire . Molière se moque pas mal des régles . IL illustre mieux que personne cette liberté des classiques qu'incarnent aussi , à leurs façon , un Descartes qui s'oppose au sacro-saint Aristote ou un S aint-Simon qui écrit à la diable pour l'immrtalité

que Rhinocéros de Eugène Ionesco 1871. Dans art poétique, Nicolas Boileau a une conception bien définie de la représentation théâtrale. En effet pour lui la grande règle « le secret » est de « plaire et de toucher » (v. 1) : c’est-à-dire qu’il faut non seulement distraire le spectateur (« plaire », v. 1), mais aussi l’émouvoir (« toucher », v. 1). Afin d’y parvenir Boileau nous explique que la pièce doit posséder des situations et des péripéties qui captive le spectateur. Cette première condition est respectée

Chant III, 17 Il n'est point de serpent ni de monstre odieux,Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux :D'un pinceau délicat l'artifice agréableDu plus affreux objet fait un objet aimable.Ainsi, pour nous charmer, la Tragédie en pleursD'Œdipe tout sanglant fit parler les douleurs ,D'Oreste parricide exprima les alarmes ,Et, pour nous divertir, nous arracha des larmes,Vous donc, qui d'un beau feu pour le théâtre épris,Venez en vers pompeux y disputer le prix,Voulez-vous sur la scène étaler

nobles. Les pièces classiques, en particulier les tragédies, mettent en scène des personnages proches du pouvoir, ce qui permet aux nobles de s’identifier à ceux-ci. Comme le dit Boileau : ‘‘le secret est d’abord de plaire et de toucher’’. En permettant au spectateur de s’identifier au personnage, l’auteur le touche bien plus qu’en mettant en scène un personnage sans réel élément familier à celui qui assiste à la pièce. Dans le Cid de Corneille, par exemple, les personnages sont nobles, ce qui permet à

de rue. J'aimerais que l'amour n'ai plus de secret pour personne. Comme il est souvent dit, il existe 40 âmes-soeurs à notre insue, alors pourquoi nous n'en trouverons pas une dans toute notre vie? Peut-être se trouve t-elle à l'autre bout du monde? Il faut savoir aller au-delà de ses limites, il faut savoir aller chercher l'âme soeur là où ne penserait jamais qu'elle soit ou alors la laisser venir à vous. Un livre qui s'ouvre à tout le monde, qui touche tout le monde, qui répond aux questions de