Le Schéma Narratif Compte Rendu

plume de Charles Perrault au 17ème siècle. Depuis le début de notre travail de recherche, notre démarche et nos questionnements ont beaucoup évolué, et particulièrement depuis notre travail remis au mois de Janvier. En effet, nous nous sommes rendus compte que nous étions trop ambitieuses et que notre corpus d'étude relevait de la gageure. Au départ, notre corpus de textes sources comprenait en plus de la version de Charles Perrault et des frères Grimm, L'Ourse de Basile Giambattista, ainsi que

produire une argumentation basée sur deux ou trois arguments personnels. A l’écrit/compréhension : - analyser un récit pour en construire le sens, - différencier les genres de récits, - prendre des notes et les organiser, - lire à haute voix un texte narratif devant un public. A l’écrit/production : - résumer un récit, - se positionner en tant que scripteur, - structurer un récit, - produire un récit. A l’écrit/compréhension : - analyser un texte argumentatif (retrouver le point de vue de l’auteur, des

depuis l’antiquité jusqu’à ce jour. I- Dimension historique L’émergence de l’audit interne est intimement liée à celle de la science de la comptabilité qui remonte à la plus haute antiquité. Le recueil des impôts exigeait en effet une tenue des comptes, d’où la nécessité d’une comptabilité certes très simpliste par rapport à l’état de cette science aujourd’hui mais extrêmement utile et efficace à l’époque2. - Les Sumériens : Au 2ème millénaire avant Jésus-Christ, les Sumériens avaient déjà compris

des textes résolument contempo- rains, tant dans leur forme graphique et stylistique que dans leur contenu, qui enquêtent sur le sens de l’ordinaire en mettant des mots là où il n’y en a pas […] Ces textes questionneront […] les différents modes narratifs, pourront à l’occa- sion se saisir du reportage et autres jeux avec le réel. »2 Entre le conforme, c’est- à-dire « ce qui avait été prévu, stipulé » et l’exploration formelle, le premier contact avec La Base se situe donc précisément sur un point

sens qui permettent de faire surgir une personnalité représentative. En délaissant les limites imposées par une représentation fidèle de la réalité ainsi qu'en proposant des récits qui ne respectent pas la chronologie et qui présentent un schéma temporel plus complexe, l'auteur de fictions biographiques s'éloigne fortement du rôle traditionnel de biographe et explore les libertés qu'offre la fiction. Toutefois, il faut mentionner que ces œuvres, malgré leur contenu à caractère

petits bourgeois… Les milieux sociaux et professionnels sont précisément décrits pour donner l’illusion du vrai. Souvent, les dialogues rendent compte des sentiments et des caractères des personnages. Et les figures de style précisent des attitudes, des comportements ou des particularités physiques (ex. : la comparaison « comme ceux des forgerons » rend compte de la force des canotiers). Le narrateur est extérieur à l’histoire et adopte tantôt un point de vue externe, tantôt un point de vue omniscient

accompagné, l’évaluation de celui-ci et de son milieu de travail, la communication du résultat de l’évaluation à l’accompagné, l’établissement d’un plan de développement, la mise en œuvre des compétences à acquérir et l’évaluation du progrès réalisé (schéma 1). Certains auteurs estiment que le coaching de gestionnai­ res permet d’éviter les écueils des processus sophistiqués d’évaluation de la performance comme l’évaluation multi­ source (Goodstone et Diamante, 1998; Luthans et Peterson, 2003). De plus

Rabatel, L’effacement énonciatif dans les discours représentés et ses effets 35 pragmatiques de sous- et de sur-énonciation traiter du DR comme d'un domaine susceptible d'accueillir des phénomènes relevant de l'EE provoque d'emblée des objections, compte tenu du fait que les formes les plus communes du DR relèvent de l'énonciation personnelle. A quoi on objectera que le DR représente aussi des paroles et/ou des pensées dans des énoncés non embrayés, tels le DIL, le discours narrativisé ou le point

001-166 COLAS-BLAISE14 L’énonciation énoncée dans l’image 1 Maria Giulia DONDERO Fonds National de la Recherche Scientifique / Université de Liège Introduction Ce texte vise à rendre compte des développements de la théorie de l’énonciation à la suite de la question posée par Benveniste sur la possibilité d’étendre ce concept à la musique et à d’autres langages non verbaux (1974 : 43-78). Si les sémioticiens héritiers de Saussure qui se sont consacrés à la théorisation et aux

accordent beaucoup d’importance à la construction. Il s’agit d’associer un certain nombre de fragments indépendants pour élaborer un espace plus ou moins hétérogène. Parmi ces grands courants, et bien qu’ils ne puissent être réduits à cela, on peut compter le cubisme, le dadaïsme, le futurisme et le constructivisme. • En ce qui concerne le cubisme, on peut penser aux collages de Braque et aux fragments de lettres disposés dans certaines œuvres de Picasso (les uns et les autres autour de 1912). • Avec