Le Salut Au Moyen Age

Introduction : Alors que les XIe-XIIIe siècles sont souvent décrits comme un « beau Moyen Age » et une période d'essor démographique, on voit se développer dans un même temps de nombreuses représentations originales de la mort (comme le tympan de Sainte-Foy de Conques ou La Divine Comédie de Dante). En effet, si les XIe-XIIIe siècles se caractérisent par un calme relatif – les invasions normandes et hongroises ont pris fin, la Guerre de Cent ans n'a pas encore commencé – comme en témoignent les

le naturel. Cette approche souligne le poids des habitudes, le poids de l’histoire dans la mentalité classique. Le futur est censé être meilleur que le passé. En revanche, pour les classiques, l’étude des comportements passés était conçue comme un moyen pour approcher l’harmonie naturelle des choses. Voilà pourquoi Aristote commence ses études par une analyse des anciennes constitutions. Ce qui n’est pas conforme à l’ordre naturel des choses ne peut durer longtemps. Lorsque l’homme travestit une coutume

Celle-ci est de majorité rurale (paysans). Les villes commencent à se développer. Ces villes abritent quelques bourgeois. Dans cette Europe, les gens sont de majorité chrétienne et ils confient leur salut à l’Eglise). Salut : bien être de l'âme après la mort A travers cette recherche du salut, l’Église encadre toute la société et rentre dans la vie quotidienne : par le paysage, par le temps, par les règles de comportement. Le XI siècle voit l'affirmation de la chrétienté sur les populations

que le soleil plutôt que la terre était au centre du système planétaire, ce qui change radicalement la vision du monde cosmique qui avait dominé l'Antiquité et le Moyen Age. Dans la religion, Martin Luther (1483-1546) remis en question et ont finalement provoqué la division de l'une des grandes institutions qui ont uni l'Europe au Moyen Age - l'Église. En fait, penseurs de la Renaissance souvent pensé d'eux-mêmes comme marquant le début de l'âge moderne, à la différence des époques antiques et médiévales

CM MEDIEVALE CM 1 : Temps de transition. Le second moyen-age. Le moyen age est une construction d'historien. Vers 1330 Petrarque qualifie l'epoque préchrétienne d'antiqua (ancienne) et la periode chetienne de nova. 313 la chretienté est reconnu a Rome. En 1442 Leonard Bruni dans son Histoire des Florentins il envisage un découpage en 3 périodes. Giorgio Vasari oppose l'art gothique (pejoratif a l'epoque) a l'art de la renaissance. Le moyen-age n'est pas defaut, il nait entre l'antiquité et la renaissance

La Réforme XVI ° siècle Nous voyons apparaître, dès le début du christianisme, la doctrine officielle et des variantes qui seront nommées des hérésies. L’Église romaine finit par s'imposer et ces hérésies s'évanouissent. Mais, à la fin du Moyen Age, une volonté de réformer l'Église resurgit, ses partisans la trouvant éloignée de l'esprit évangélique des débuts. Certains de ces mouvements réformateurs restent dans une structure ecclésiastique, d'autres n'hésitent à se mettre en rupture avec

HISTOIRE MODERNE.docxEXPOSÉ LEÇON HISTOIRE MODERNE : La première génération des réformateurs, au temps de Luther et Zwingli « Ils seront éternellement damnés avec ceux qui les enseignent, ceux qui pensent que des lettres d'indulgences leur assurent le salut. » dit Martin Luther dans ses 95 thèses qu’il affiche sur la porte du château de Wittenberg en Saxe le 31 octobre 1517. Considéré comme l’un des pères fondateurs du protestantisme, Martin Luther y dénonce les pratiques de l’Eglise catholique du 16ème

l’Eglise. * Selon lui, un chrétien n’a besoin d’aucune œuvre pour se justifier, il lui suffit d’avoir la foi. Il ne peut donc pas acheter la rémission de ses péchés. Les réponses apportées par lui-même sont : * Selon lui, pour assurer le salut de son âme, un chrétien doit suivre l’Evangile et montrer le bon chemin à son prochain en l’empêchant de se ruiner à acheter des indulgences. * Ses adeptes mettent en avant certains rites religieux, comme le baptême, l’eucharistie, le mariage,

Histoire DSTHISTOIRE HUMANISME, RENAISSANCE et RÉFORMES RELIGIEUSES. Dates importantes : 1455 : Gutenberg invente l’imprimerie ( Allemagne ). 1508 : Michel-Ange débute la voûte de la chapelle Sixtine. 1516 : Érasme publie une traduction en latin du Nouveau Testament 1517 : Début des réformes de Luther. 1545-1563 : Concile de Trente. 1562 - 1598 : Guerre de religions en France. 1598 : Édit de Nantes. XVIème siècle
LES HUMANISTES : UNE NOUVELLE VISION DE L’HOMME. L’ANTIQUITÉ POUR MODÈLE

son goût pour les Humanités (lecture des textes anciens, de l'Antiquité païenne, lecture de la Bible, contemplation) et naît en lui l'envie de rendre accessible les textes bibliques, noyés dans les commentaires de la scolastique, pratique reine du Moyen Age qui consiste à expliquer et à "éclairer" les textes sacrés. Or, rédigés en latin (non compris par tous) et sujets de querelles interminables, ces commentaires selon Erasme freine l'accès à la Vérité des Ecritures, et sont un obstacle à la foi véritable