Le Sac Des Tuileries

devant lui, lui prit une main, et vit qu’elle était chaude. – Eh ! l’homme ! dit-elle doucement. Mais les charretiers s’impatientaient. Celui qui était agenouillé dans ses légumes reprit de sa voix enrouée : Fouettez donc, la mère !… Il en a plein son sac, le sacré porc ! Poussez-moi ça dans le ruisseau ! Cependant, l’homme avait ouvert les yeux. Il regardait madame François d’un air effaré, sans bouger. Elle pensa qu’il devait être ivre, en effet. – Il ne faut pas rester là, vous allez vous faire écraser

devant lui, lui prit une main, et vit qu’elle était chaude. – Eh ! l’homme ! dit-elle doucement. Mais les charretiers s’impatientaient. Celui qui était agenouillé dans ses légumes reprit de sa voix enrouée : – Fouettez donc, la mère !… Il en a plein son sac, le sacré porc ! Poussez-moi ça dans le ruisseau ! Cependant, l’homme avait ouvert les yeux. Il regardait madame François d’un air effaré, sans bouger. Elle pensa qu’il devait être ivre, en effet. – Il ne faut pas rester là, vous allez vous faire écraser

 Arrivée à l’angle de l’avenueTrudaine, sur la placette arborée, elle pousse la porte de son immeuble,grimpe les quatre étages, entre dans son appartement. Tout est rangé, le sacde voyage trône au centre du tapis. Claire prend ses lunettes de soleil, avaleune gorgée de Coca, prend le sac et repart. Arrivée en bas, elle se dit qu’elleaurait dû passer à la librairie d’abord, qu’elle est un peu encombrée, là. Tantpis, elle y va quand même. Choisir de quoi lire pendant les vacances. Ellepousse la porte de L’Atelier. La libraire la reconnaît

les appelle « les touristes ». Enfin, si l’on veut que cette peinture soit complète, il faut chercher un coin pour nous poser, volatiles aux ailes rompues, perroquets sans voix, oiseaux de malheur qui avons fait notre nid dans un couloir en cul-de-sac du service de neurologie. Bien sûr, nous déparons dans le paysage. Je sais trop bien le léger malaise que nous provoquons en traversant, raides et silencieux, un cercle de malades moins défavorisés. Pour l’observation de ce phénomène, le meilleur

Saint-Louis. Ébranlé dans sa résolution par ces grâces successives qu’il crut devoir au souvenir du monarque, il ne se contenta plus de mener sa famille, comme il l’avait pieusement fait chaque dimanche, crier vive le Roi dans la salle des Maréchaux aux Tuileries quand les princes se rendaient à la chapelle, il sollicita la faveur d’une entrevue particulière. Cette audience, très-promptement accordée, n’eut rien de particulier. Le salon royal était plein de vieux serviteurs dont les têtes poudrées, vues d’une

Saint-Louis. Ébranlé dans sa résolution par ces grâces successives qu’il crut devoir au souvenir du monarque, il ne se contenta plus de mener sa famille, comme il l’avait pieusement fait chaque dimanche, crier vive le Roi dans la salle des Maréchaux aux Tuileries quand les princes se rendaient à la chapelle, il sollicita la faveur d’une entrevue particulière. Cette audience, très promptement accordée, n’eut rien de particulier. Le salon royal était plein de vieux serviteurs dont les têtes poudrées, vues d’une

les appelle « les touristes ». Enfin, si l’on veut que cette peinture soit complète, il faut chercher un coin pour nous poser, volatiles aux ailes rompues, perroquets sans voix, oiseaux de malheur qui avons fait notre nid dans un couloir en cul-de-sac du service de neurologie. Bien sûr, nous déparons dans le paysage. Je sais trop bien le léger malaise que nous provoquons en traversant, raides et silencieux, un cercle de malades moins défavorisés. Pour l’observation de ce phénomène, le meilleur

lanarchie. De plus le Roi de Prusse envoie ses troupes sur Paris vraisemblablement pour sauver le Roi et met de lhuile sur le feu ( avec les SANS CULOTTES le peuple se rvolte et marche vers la prison dore des Tuileries en rameutant chaque personne. Le peuple envahit les Tuileries et le Palais est mis sac. Le roi et sa famille ont peur et se rfugient dans la salle de lAN o l-bas cest aussi lanarchie avec le tiers des dputs qui partent. ( en mme temps lAssemble Nationale qui sige dcide la SUSPENSION DU ROI

Saint-Louis. Ébranlé dans sa résolution par ces grâces successives qu’il crut devoir au souvenir du monarque, il ne se contenta plus de mener sa famille, comme il l’avait pieusement fait chaque dimanche, crier vive le Roi dans la salle des Maréchaux aux Tuileries quand les princes se rendaient à la chapelle, il sollicita la faveur d’une entrevue particulière. Cette audience, très promptement accordée, n’eut rien de particulier. Le salon royal était plein de vieux serviteurs dont les têtes poudrées, vues d’une

a convaincus de rappeler Napoléon. Ils l'instrumentalisent pou pourvoir chasser les Bourbons. B) Le gouvernement civil, un Empire libéral Les Cent-Jours commencent le 20 mars 1815, date de l'installation de Napoléon à Paris, au palais des Tuileries. (palais où Louis XVI avait été emmené, pour qu'on ait l’œil sur ses actions) Les Cent-Jours sont radicalement différents du Premier Empire (1804-1814), qui était très autoritaire et très despotique. C'est un Empire libéral qui est instauré. Il