Le Réalisme Subjectif

résumer ici notre volonté tout en expliquant nos choix, notamment au vus de la mise en page et de l’organisation. En premier lieu, je renonce dés ces lignes à l’obligation littéraire de l’emploie d’un « nous » qui anéantirait l’aspect personnel et subjectif voulu par l’exercice de lecture à laquelle je me suis soumis. J’essaierais donc dans les pages qui suivent de rendre compte de ma lecture de Qu’est ce que le cinéma ? d’André Bazin. Je vous propose, en une première partie, la rapide schématisation

I 1.1. Introduction CARACTERISTIQUES DES DESSINS D'ENFANTS 1.1.1 L'évolution du graphisme et le «réalisme intellectuel» J. Royer, dans son livre «que nous disent les dessins d'enfants ? » 3 estime que la progression du graphisme est assez semblable dans tous les pays du monde au cours des premières années de vie. Entre cinq et douze ans, l'enfant atteint le stade du «réalisme intellectuel ». « II cherche à reproduire "ce qu 'il sait" des choses et non "ce qu'il voit" »4. Selon cet auteur

de C. *relation maître/valet, sifflet: marque d’autorité. *rire bref annonce conflits. *  « se tourne vers le public » p.13 = inversion des rapports, C: metteur en scène, H dépend de lui. 2/ Nouvelle conception du théâtre. => abandon du réalisme. *mimesis: imitation du réel, le théâtre n’est plus qu’une reproduction vraisemblable du réel. *Picasso: « l’art est un mensonge qui nous fait comprendre la vérité ». => Artaud et le Théâtre de la cruauté. *pour lui: cruauté psychologique nécessaire

à nouveau : "Le Pain", Le Parti Pris des Choses de Ponge.          II. L'inspiration poétique puise dans des univers totalement déconnectés du réel.                    A/ Puiser dans le rêve, dans l'inconscient. L'acte de création est totalement subjectif et dépendant du poète. - Puiser dans le rêve pour le retranscrire : "Mon rêve familier" de Verlaine - Retranscrire l'inconscient : les cadavres exquis des Surréalistes.                      B/ Retranscrire un monde irréel (qui n'appartient pas à

Ces informations valent aussi lorsque l’on vous demande simplement de changer « le point de vue » dans un texte narratif : il est à réécrire en fonction de celui qui voit (narrateur interne – omniscient – externe). 2) D’un registre à l’autre - Du réalisme au fantastique : Champs lexicaux du doute et de la peur Partir d’un cadre réaliste et créer peu à peu une atmosphère inquiétante : description d’un lieu reculé, cadre temporel nocturne, … Utiliser les thèmes fantastiques : le double, l’être diabolique

une hiérarchie, etc…) Reformuler clairement ce qui fait la particularité de ce portrait (subjectif/ négatif/ ironique) C) Problématique et axes En quoi le personnage dépeint ici est-il médiocre, ordinaire, « réaliste » ? Un portrait en partie subjectif Un portrait négatif Un portrait de petit-bourgeois, engeance haïe des artistes… ( la satire sociale) D) Lecture analytique 1) Un portrait en partie subjectif : repérage du point de vue - l1-13 : narrateur omniscient « sa réputation était établie

Table des matières Introduction…………………………………………………………………p.3 Chapitre I – Le Realisme.......................................................................p.4 A. Commentaire sur Madame Bovary.......................................p.5 B. Contenu.................................................................................p.7 Chapitre II – Madame Bovary..............................................................p.8 A. Madame Bovary vue par Baudelaire..................

En dépit de l’abondante littérature disponible sur cette question, nous nous évertuerons encore à montrer, dans le cadre de cette réflexion, que sous certains rapports, raison et croyance religieuse s’opposent aussi comme le font l’objectif et le subjectif, le rationnel et l’irrationnel. Ce rapport devient davantage conflictuel lorsqu’une instance transgresse les frontières de l’autre ou cherche à s’en affranchir. I. CROYANCE RELIGIEUSE ET FOI Avant de comparer raison et croyance religieuse, il nous

objective. Le réalisme est défini par une doctrine et une esthétique surtout grâce à Louis Duranty qui avait créé une revue, Le Réalisme, et Jules Champfleury qui a écrit un manifest sous le même titre. Les idées générales n’ont rien de bien neuf: il s’agit de demander à l’oeuvre d’être attentive à la vie sociale, aux moeurs, aux mécanisme politiques et sociaux, aux sciences nouvelles. C’étaient l’ambiance positiviste et l’extension du journalisme qui orientaient la forme de réalisme. Le réalisme est surtout

première conquête de l’école du romantisme se situe vers 1819 et ce fut Théodore Géricault, qui en eut le mérite avec l’exposition de son “Radeau de la Méduse”. Les chantres du classicisme dirent leur dégoût pour cet « amas de cadavres », dont le réalisme leur paraît si éloi-gné du beau idéal cher aux davidiens. Dès le Salon de 1824, on peut dire que deux camps étaient d’égale force : les Davidiens (l’ancienne école classique) et les pre-miers romantiques, Delacroix en tête. Ingres, quant à lui, demeurait