Le Réalisme Naturalisme Symbolisme Et Surréalisme

ou vertueux et son seul but est la beauté. - Le réalisme est un courant littéraire qui donna pour mission au roman d'exprimer le plus fidèlement possible la réalité, de peindre le réel. Les histoires réelles (vécues) sont privilégiées, les personnages ont des sentiments vraisemblables et le milieu ainsi que le physique des personnages sont évoqués avec minutie et objectivité. - Le naturalisme est un mouvement littéraire qui prolonge le réalisme et qui s’attache à peindre la réalité en s’appuyant

commence le 21 mars à Shanghai par le meurtre d'un trafiquant d'arme afin de les récupéré pour les révolutionnaires Par la suite de nombres action de dé-communisation vont être tenté mais en vain. le réalisme : Le réalisme est un courant littéraire apparu en Europe dans la première moitié du 19eme siècle, vers 1830 notamment en Italie et en Allemagne. Il cherche à dépeindre la réalité telle qu’elle est, sans artifice et sans idéalisation

siècle. La poésie au XIXe est un moyen de s'échapper des règles de la littérature classique et des formes fixes de la poésie. En effet la modernité littéraire est mouvementée avec des courants marquants tels que le romantisme, le réalisme, le naturalisme ou encore le symbolisme. • Théodore de Banville (1823 - 1891) est un poète, dramaturge et critique français. Il est surnommé « le poète du bonheur ». Ami de Théophile Gautier et autres grands auteurs, il est de suite considéré comme l’un des plus

(1894) ; Le Dindon (1896) (vaudeville) • G. Courteline. Boubouroche (1895) (comédie de mœurs) • E. Rostand. Cyrano de Bergerac (1897) (comédie néo-romantique) 14.4 LE XIX SIÈCLE : LE SIÈCLE DES RÉVOLUTIONS Le romantisme (1800-1850) Le réalisme et le naturalisme (1850-1890) Reproduction autorisée © 2007 Groupe Beauchemin, Éditeur Ltée Guide littéraire, 2e édition Courants, auteurs et titres 6 Les courants littéraires Époques/courants e Principaux auteurs/titres Littérature poétique

lecteur. Se souvenir également que le choix par un auteur d’un registre exprime sa sensibilité ou son attitude devant le réel. ➢ Les mouvements littéraires : humanisme, baroque, classicisme, philosophie des Lumières, romantisme, réalisme, naturalisme, symbolisme, surréalisme… ➢ Les buts de l’auteur : - informer, analyser, expliquer, faire une synthèse, vulgariser, transmettre des informations avec objectivité… - argumenter : démontrer, convaincre, persuader, délibérer, débattre, critiquer

transposition, la parodie. Le genre le plus fécond, qui perdurera jusqu'au XVIIème siècle, sera la farce, intermède bouffon dont en "farcit"' le drame religieux. Tournant en ridicule maris bernés, moines paillards ou trompeurs trompés, elle plaît pu son réalisme et sa causticité. En Italie, le mouvement humaniste permet, dès la fin du xive siècle, la redécouverte du théâtre antique et de la Poétique d’Aristote. Séduits par cette nouvelle mode, les grands seigneurs financent désormais les représentations

se défie de l'imagination, « cette puissance trompeuse », selon Pascal, et accorde à la raison une place prépondérante. L'imitation de la nature que prônent les classiques, ~c'est-àdire de la nature humaine, loin de se faire l'écho d'un désir de réalisme, est à interpréter comme une volonté de transformation artistique du réel. S'il faut imiter les anciens, c'est ~qu'ils ont parfaitement imité la nature. Le Grand Siècle est profondément marqué par l'héritage antique. Depuis la Renaissance qui

réfléchir aux mouvements littéraires, en effet, nous avons l’habitude qu’on raconte l’histoire de la littérature belge avec les mêmes mots qu’on utilise pour raconter l’histoire de la littérature française. Il y a en Belgique du romantisme, du réalisme, du naturalisme. Tous ces mots sont des étiquettes avec lesquelles on décrit le champ littéraire français. Ce qui nous intéresse c’est de savoir si ces étiquettes ont le même sens partout dans le champ culturel français ou si le fait d’être repris dans un

universelle catholique. – Jacob & Wilhelm Grimm: Kinder- und Hausmärchen (1812 ff.). – Joseph von Eichendorff (1788-1857): Aus dem Leben eines Taugenichts (1826) ; poète rom. le plus populaire (>Lieder!). – E.T.A. Hoffmann (1776-1822): précurseur du surréalisme; nouvelles: Der Sandmann, Die Elixiere des Teufels, das Fräulein von Scudéry etc. – Karoline von Günderode (1780-1806): elle se suicide, faute d’avoir été reconnue comme poétesse. – Heinrich von Kleist (1777-1811): rejeté par Gœthe et une société

grands romanciers du 20ème siècle ont, pour la plupart, « écrit contre » une certaine idée du roman et ont sciemment créé des personnages dérogeant aux « modèles hérités » du roman réaliste du 19ème siècle. Contre des « poétiques » celle du réalisme et du naturalisme- identifiées à une vision du monde qu’ils jugeaient périmée, les écrivains du Modernisme ont élaboré des dispositifs romanesques privilégiant l’instabilité, la fluidité, la déconstruction des points de vue unifiants susceptibles de garantir