Le Réalisme Balzacien

Père Goriot est un roman d’Honoré de Balzac, écrit en 1834. Ce roman fait partie des Scènes de la vie privée de la Comédie humaine. Ce roman mets en place les bases du cycle littéraire " La Comédie Humaine". Le Père Goriot, comme beaucoup de romans balzaciens, fut publie a l'origine en feuilleton dans le journal La revue de Paris. I L’œuvre A) L’auteur Honoré Balzac (1799-1750) nait dans un milieu bourgeois à Tours. A partir de 1819, il suit des études

sous tension entre « type » et « caractère » Balzacs Romanfiguren im Spannungsfeld zwischen Typus und Charakter von Thorsten Wetzenstein November 2003 T a b l e 1.0 Introduction 4 1.1 L’intérêt de la thèse 7 1.2 Théorie du personnage balzacien entre « type » et « caractère » 10 2.0 Le Père Goriot dans la Comédie humaine 16 3.0 Les personnages dans Splendeurs et misères des courtisanes 25 4.0 Les personnages entre « type » et « caractère » 35 4.1 Remarques analytiques sur les

Destinataires "limités" : caricature du lecteur bourgeois vivant à Paris 2°) Vers un roman total : Balzac veut également élargir les limites du genre ; le roman devient un drame romantique ; référence à Shakespear ("All is true") 3°) Le réalisme balzacien : Intention d'intégrer des éléments du réel ; dimension visionnaire ; passion destructrice ; champ lexical religieux où les prêtres sont Mme Vauquer et Mme de Nucingen et le martyr Goriot ¤ Conclusion : Incipit novateur qui annonce le

FRANÇAIS SOMMAIRE GENERAL 1ère PARTIE : LE ROMAN ET SES PERSONNAGES 1ère série ETUDE D’UNE ŒUVRE INTEGRALE, EUGENIE GRANDET DE BALZAC 1ère leçon 2ème leçon 3ème leçon 4ème leçon 5ème leçon 6ème leçon Présentation générale Réalisme et représentation du monde Balzac et la représentation du monde Etude d’une œuvre intégrale : Eugénie Grandet Le personnage de Grandet La peinture de l’amour 2ème série REPRESENTER LE HEROS DE ROMAN 1ère leçon 2ème leçon 3ème leçon La Princesse de Clèves

une description tres realiste= “une misère sans poesie”Balzac refuse la grandeur, la dimension donnee a la misère (≠ Victor Hugo) car avarice, pretention de Mme Vauquer (aucune poesie) Moyens utilises -description tres detaillee et precise = realisme -l’auteur parle directement au lecteur: ‘” si vous la compareriez a la salle a manger”, “vous y verriez un barometre” -emploi d’une serie d’adjectifs: vieux, crevasse, pourri…” qui en disent deja long sur l’allure du mobilier  personnification

oraison funèbre . Ses œuvres principales : 1829 : Les Chouans , entre 1832 et 1837 : Les Contes drolatiques , entre 1834 et 1835 : Le Père Goriot , entre 1837 et 1843 : Illusions perdues , 1846 : La cousine Bette , 1847 : Le cousin Pons. Le réalisme Balzacien :

courant prend plus de libertés et à tendance à fuir les réalités. Il est l'expression du " je " et des sentiments. La réaction à ce mouvement sera le réalisme, qui, lui se veut l'expression de la réalité. Flaubert et Balzac appartiennent à ce courant. Maupassant, de même que Zola, appartient au naturalisme : ce courant, prolongeant le réalisme, a duré de 1865 à 1890. Ce courant veut calquer le réel et être impersonnel : l'important pour Maupassant est de donner la sensation du réel plutôt que

II- Œuvres de Flaubert: 1. Entre romantisme et réalisme: Flaubert, même s’il rejette le titre réducteur de chef de l'école réaliste, s’est bien donné pour objet d'étude la réalité sociale et historique. Soucieux de «montrer la nature telle qu'elle est », il nourrit son œuvre d'une érudition imposante et se documente énormément comme pour Salammbô. Les romans de Flaubert sont influencés par le romantisme et lyrique, mais aussi par le réalisme le plus absolu. À la veine réaliste se rattachent

troisième et dernier numéro se trouve le grand texte qui fait du roman de Stendhal le chef-d'œuvre senti comme classique dès sa parution, comme l'archétype du genre « roman ». Refondu en 1842 peu avant la mort de Stendhal, il prit de fait un tour plus « balzacien » : mais c'est le texte d’origine, plus purement stendhalien, qui s'est imposé de nos jours. Stendhal est surtout connu pour ses récit réalistes et romantiques, il insiste beaucoup sur les sentiments des personnages. Dans cet extrait, Stendhal

sortilèges de l’électricité. Ce regard fatigué est encore capable de débordements d’énergie, « colère ou enthousiasme ». Observons un instant les qualificatifs qui rattachent ce personnage à la source commune des héros balzaciens, à savoir l’énergie. En effet, le héros balzacien est, comme son créateur, un passionné qui brûle sa vie dans une débauche d’activité. En même temps, Balzac corrige la première impression « diabolique » ressentie par Nicolas en retenant aussi l’enthousiasme qui ouvre des