Le Roi Et Ses Sujets

une vive admiration. Marie de Champagne est donc la fille de cette femme influente et l’épouse d’Henri Ier de Champagne, qui fut le patronage sous lequel Chrétien de Troyes se plaça. C’est 1165 que Marie de Champagne propose à Chrétien de Troyes le sujet de Lancelot, le chevalier à la charrette. L’auteur fait un véritable éloge de la comtesse dans les premières lignes de son roman en la comparant à « un bijou », « la brise », « un parfum ». Il lui déclare son entier dévouement et va jusqu’à faire preuve

siècle est Voltaire (Candide, Micromégas, Zadig, Memnon, L’Ingénu,…) Dans l’Ingénu, Voltaire dénonce plusieurs choses : les préjugés des religieux, les jésuites, les jansénistes,…. Ce passage se situe lorsque l’Ingénu se rend à Versailles pour voir le roi. Il s’arrête, trouve une hôtellerie où il a une conversation avec un protestant. [Cette rencontre donne lieu à une scène réaliste qui vient compléter/parfaire l’éducation de l’Ingénu. + Cette conversation soutient une critique de la politique

"Petite épître au Roi" (1518) INTRODUCTION: Le texte étudié est un épître, car un poème adressé, ici au roi, François 1e, écrit par C. Marot. Marot est né en 1496 et mort en 1544 en exil car plusieurs fois soupçonné de sympathie avec la Réforme. C'est un poète de cour, cour à laquelle il exerce une fonction : il est valet de chambre, il écrit un certain nombre de pièces de circonstance, obéit le plus souvent aux formes traditionnelles et rédige plusieurs épîtres, notamment au roi pour demander

le pronom personnel «vous» (V.34-37) lors de l’exposé du renard, l’auteur identifie ce félidé comme étant le roi du règne animal. Quand il est placé en début de phrase et de discours, ce type de déterminant indique souvent une possession de l’ordre de la domination d’autrui. Dans ce cas-ci, ce procédé montre que le lion s’approprie son auditoire de la même façon qu’un Roi possède ses sujets. Cet animal se distingue des autres par sa façon de discourir; elle se différencie par la présence d’un déterminant

français : vis-à-vis du roi, ils sont soumis : " la vanité de ses sujets " Lignes 20 et 21 cf. achat des charges qui confèrent la noblesse. " titres d’honneurs à vendre ", " prodige de l’orgueil humain " Ligne 23, " ils le croient " Ligne 27 " ils en sont aussitôt convaincus " Ligne 29. b/ La critique du Roi. - Le roi est décrit comme un manipulateur. Montesquieu critique le pouvoir royal de l’époque : l’absolutisme. " il exerce son emprise sur l’esprit même de ses sujets " Ligne 25, " Il les

Henri IV et Louis XIII, pp 79) Un officier est une personne désigné par le roi par lettre de provision. L’officier est titulaire d’un office, il sert la « chose publique » dont il possède par là même l’usage. Pour accéder à cette fonction, il faut être âgé de vingt-cinq ans, être catholique et pratiquant, sans condamnation, et être au moins licencié en droit. Un officier paye au roi son office moyennant quoi le roi lui paye chaque année des gages. L’officier ne peut être révoqué sauf faute

symbolise cette brutalité. -Le roi et son pouvoir : " ce roi est un grande magicien " Ligne 25 " prodige " Ligne 23 champ lexical de la magie, du miracle : "la force et la puissance qu’il a sur les esprits "Ligne 30, " il n’a qu’à "Ligne 27, " il va même jusqu'à leur faire croire " Ligne 29 -Le pape et son pouvoir : " encore plus fort "Ligne 31, " pas moins maître de son esprit " Ligne 32, " magicien " Lignes 31 et 32 montre que le pape est encore plus puissant que le Roi. Ses pouvoirs : " il lui fait

c’est un bon livre, plutôt romanesque. Aborder la vie du grand François Ier dans le contexte de la Renaissance (qui a entièrement marqué son règne) est une approche intéressante et courageuse. Gonzague Saint-Bris nous fait découvrir les qualités du roi et de l’homme François Ier – bon cavalier, expert aux armes, chasseur passionné, fin observateur des arts, protecteurs des architectes et des artistes qui sont invités à embellir les résidences royales. Côté politique, François a le goût pour écouter

j'avais fait cent lieues » Dans le second paragraphe la critique se centre sur le pouvoir royal, le Roi y est décrit implicitement comme un manipulateur et ses sujets ressemblent à d'imbéciles agneaux (« le Roi de France est le plus puissant des princes [...] parce qu'il tire de la vanité de ses sujets la plus inépuisable des mines », « il exerce son empire sur l'esprit même de ses sujets »). Il y est comparé ironiquement à un magicien ce qui fait ressortir le ridicule de la Cour qui l'entoure

fonctions importantes et menaient une vie luxueuse et oisive à la cour. Les Membres du Tiers État, eux, composant 98% de la population sont en parti des paysans et gagne très peu leur vie, pourtant, ce sont eux qui sont chargé de payé des impôts au Roi, ou encore au paroisse de leur village. Le bourgeoisie, qui forme l'autre partie du Tiers État, est une population qui fait son bénéfice par le biais du commerce et de l'artisanat. Certain bourgeois, plutôt aisé, on pu disposer d'une bonne éducation