Le Roi De Prusse Refuse La Couronne Impériale

L’esprit de l’époque de Vienne est également incarné par le Traité de la Sainte-Alliance qui fut signé à Paris le 26 septembre 1815 par trois des grandes puissances victorieuses de la France : la Russie, qui en était à l’initiative, ainsi que la Prusse et l’Autriche. Le Royaume-Uni s’était tenu soigneusement à l’écart de cet accord trop religieux, abstrait et déclamatoire. Les trois souverains chrétiens (respectivement orthodoxe, protestant et catholique) se plaçaient sous la protection divine et

sein d’un même État. Elle apparaît au xviiie siècle lorsque les quelques 300 États nés des traités de Westphalie en 1648 comprennent qu’ils ne peuvent jouer aucun rôle sur l’échiquier européen. L’unité allemande se réalise au xixe siècle autour de la Prusse en excluant les populations germanophones de l’Empire d'Autriche. La défaite allemande de 1918 entraîne des amputations territoriales qui relancent la question allemande. La question allemande est considérée comme résolue le 3 octobre 1990 quand

réprimée à partir de mi mai 1848 A paris un e insurrection des radicaux à la bastille est réprimée par la garde nationale A vienne, les révolutionnaires reprennent les armes. A naples, le roi réprime les manifestations anti-libérale et se rétracte sur certaines des concessions. Face à ces répressions la France refuse d'intervenir et de redevenir l'étendard des révolutionnaire européens. L'Adresse aux puissances de Lamartine est représentative du pacifisme de l'époque. De plus, les pays voisins ne

l'Autriche dans le cadre du Saint-Empire romain germanique (de 962 à 1806) puis de la Confédération germanique (de 1815 à 1866), en 1871, à la fin de la guerre franco-prussienne, les divers États allemands furent réunis dans un État dominé par la Prusse, donnant ainsi naissance à l'Allemagne unifiée moderne, dite également Deuxième Reich ou Reich Wilhelminien. La défaite allemande qui suivit la Première Guerre mondiale provoqua en 1918 l'avènement de la République, puis en 1933 celui du Troisième

engendrent un éveil des Nationalités. Empire : - régime politique autoritaire, dans lequel le pouvoir est détenu par un empereur - territoire qui rassemble des peuples différents et qui est dirigé par un gouvernement unique A. Le césarisme impérial Césarisme : Régime politique autoritaire inspiré de l’Antiquité romaine où le général Jules César partageait le pouvoir avec le Sénat de Rome 1) La restauration de la monarchie Rappel : Les Républicains instaurent un nouveau calendrier

Austriae Est Imperare Orbi Universo (7) en latin (également connu sous le sigle AEIOU dans les deux langues) n’a jamais caché ses ambitions territoriales. En ces temps, la couronne habsbourgeoise se distingue de l’ensemble des couronnes Européennes par la conception que celle- ci donne à l’Etat: Ne prônant ni l’absolutisme du roi soleil (8), ni la militarisation de son royaume à l’instar du « despote éclairé » qu’était Fréderic II (9), l’empire d’Autriche- Hongrie est très différent au concept d’Etat

« après-Mars ») désigne la période qui se situe entre 1830 et 1848 et qui est aussi appelée période de la « Restauration ». Suite à la défaite de l'armée de Napoléon Ier à la bataille de Waterloo contre la Quadruple Alliance composée du Royaume de Prusse, du Royaume-Uni, de l'Empire d'Autriche et de l'Empire Russe, l'abdication de Napoléon aboutira en 1815 au Congrès de Vienne rassemblant les états victorieux qui se donnent alors comme objectif de réorganiser la carte de l'Europe et de replacer les

congressistes n'en connaissent que la fête, car le « congrès s'amuse » dans des réceptions continuelles. Il n'y eut presque pas de séances plénières. Les discussions et les décisions se prennent ailleurs. Les quatre vainqueurs de Napoléon Ier (Autriche, Prusse, Royaume-Uni et Russie) avaient décidé de se réserver les « choses sérieuses ». La France réussit à s'imposer et faire entrer trois autres pays européens (l'Espagne, le Portugal et la Suède). Le congrès rassemble les grands diplomates de l'époque :

majesté et de puissance. Il reçu la couronne civique en vise de son habilité et son courage aux champs de batailles. Celle-ci était pour les Romains la plus grande récompense militaire, l'ornement personnel le plus élevé. Nous pouvons retrouver cette couronne civique symbolique de victoire et de gloire sur plusieurs pièces de monnaie de cette époque. Les pièces de monnaie étaient alors très utiles pour la propagande de victoires, de conquêtes et d’empereurs. Les couronnes ont été représentées sur les monnaies

mouvementé d’Ulysse vers sa patrie. Mais néanmoins l’Europe fait partie de la mythologie grecque et en particulier depuis Hésiode qui est un poète du 8ème s av JC qui justement rapporte l’histoire d’Europe. D’après cet auteur Europe serait la fille d’un roi de Phénicie qui avait pour nom Agenor et c’est une ravissante jeune fille vierge que Zeus aperçoit sur les rivages de la mer alors qu’elle joue avec quelque compagne et qu’elle se baigne nue. Du haut du ciel dès qu’il l’a voit la convoite, il va tenter