Le Rire Vulgaire

nous montrer l’horreur de la guerre en nous montrant comment le héros est surpris par cette atrocité « On ne lui disait donc pas d’en haut qu’il y avait méprise ? Abominable erreur ? Maldonne ? Qu’on s’était trompé ? Que c’était des manœuvres pour rire qu’on avait voulu faire, et pas des assassinats ! », « Ce qu’on faisait à se tirer dessus, comme ça, sans même se voir, n’était pas défendu ! Cela faisait partie des choses qu’on peut faire sans mériter une bonne engueulade. C’était même reconnu, encouragé

l’acte II, sc.4. Les 2 serviteurs de la maison, aux manières et langage plutôt rustres, traitent du sujet très sérieux de la jalousie chez l’homme. Le sérieux du sujet contraste avec la légèreté du langage avec des expressions parfois à la limite du vulgaire par les sous-entendus qu’elles suggèrent !!! La comparaison implicite de la femme au potage au v.430 puis tout à fait explicite au v. 437 « la femme est, en effet, le potage de l’homme » est des plus grotesques. En suivant aux v. 438-439, les propos

réalisme vulgaire, pas de duel, pas de combats ou de suicides. Le sujet doit être emprunté à la légende, l'histoire ou la Bible. Les héros doivent être des personnages d'un rang élevé. La Tragédie se présente en cinq actes et en vers. *La Comédie. La Comédie française du début du XVII° siècle cherche son inspiration dans la Comédie italienne et espagnole. Le public ne demande qu'un divertissement, une série de surprises et de retournements de situation propres à déchaîner le rire. Vers 1660

ces poètes de ne pas savoir écrire, avec des termes tels que « Avant donc que d'écrire apprenez à penser ». De même est fait par Verlaine, avec des accuses à l'ironie et à l'éloquence : « fuis du plus loin la Pointe assassine, l'Esprit cruel et le Rire impur » et « Prends l'éloquence et tords-lui son cou ! ». Il est d'ailleurs en opposition à l'écriture de Boileau : en effet celui-ci accuse la musicalité du poème en faveur de la qualité linguistique (« En vain vous me frappez d'un son mélodieux,/

voûtes azurées? Il te faut, pour gagner ton pain de chaque soir,Comme un enfant de choeur, jouer de l'encensoir,Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère, Ou, saltimbanque à jeun, étaler tes appasEt ton rire trempé de pleurs qu'on ne voit pas,Pour faire épanouir la rate du vulgaire. À une dame créoleAu pays parfumé que le soleil caresse,J'ai connu, sous un dais d'arbres tout empourprésEt de palmiers d'où pleut sur les yeux la paresse,Une dame créole aux charmes ignorés. Son teint est pâle

commença : « il est certes plus fort que nous le sommes toutes les trois réunies et il est capable de nous protéger en cas de nécessité si nous ne le contrarions pas, mais son intelligence égale-t-elle sa force ? » la Chèvre et la Brebis se mirent à rire follement tout en acquiesçant. Après ce moment la Brebis s’élança et dit : « La loi du plus fort, qu’il s’appelle « Lion » ou qu’il soit vaillant ne lui donne en aucun droit la possibilité d’écorcher ce cerf que toi, Chèvre, tu as capturé dans tes

présente Emma comme une femme qui aspire toujours à échapper à sa vie médiocre et montre en même temps tous ses défauts. Par exemple au moment de sa mort, il la décrit avec beaucoup de réalisme et sans aucune pitié pour elle. « Et Emma se mit à rire, d’un rire atroce, frénétique, désespéré, croyant voir la face hideuse du misérable qui se dressait dans les ténèbres éternelles comme un épouvantement ».(Partie3,chapitre8) Emma cherche son idéal romantique pendant toute sa vie, mais à chaque fois ses

de l’argent : payez, fortune, finances, phynances, impôts ; autoritarisme brutal : entre en détruisant la porte , redondances pour exprimer les ordres, refus d’écouter les autres, utilise son armée de Grippe-sous ; personnage grossier, mal élevé, vulgaire qui jure beaucoup, mélange le langage bas du corps (celui de la farce) et les saints (religion) : donc scandaleux et blasphématoire ; appétit d’argent unique moteur de son action, donc aucune grandeur, aucun sens des responsabilités ; analphabète

quand il affirme ses talents pour monter à cheval. " Il monte bien à cheval " (l.2). C'est le comble de la méchanceté. Car dans un portrait moral on décrit tout, sauf le fait que l'on sache correctement monter à cheval... C'est un personnage "vulgaire , puéril, théâtrale et vain " (l.7). Sous ces traits, on ne peut pas dire que cet homme soit de confiance. On ne peut juste affirmer que Napoléon III est quelqu'un qui adore toutes les verroteries du pouvoir, et sa parenté avec le vainqueur de la

ces fables aussi en langues vulgaires – le cas de Marie de France (des isopets). 3. Qu`est – ce que les fabliaux? Les fabliaux sont de courts récits en octosyllabes Origine : ils sont tirés d’un fond commun à la plupart des pays d’Europe et en France, s’y manifestent l’esprit et la civilisation française. Ils apparaissent dans le nord de la France et s’apparentent à la littérature bourgeoise. On peut reconnaître deux catégories : 1. « les contes à rire » Comique parfois leste