Le Rire Vulgaire

les coulisses. Le spectateur l’apprend par les récits qu’en font les personnages. La tragédie doit aussi respecter la bienséance, le language sera noble, le style soutenu. Toute familiarité et tout comiques est exclu. On ne montre pas de réalisme vulgaire, pas de duel, pas de combats ou de suicides. Le sujet doit être emprunté à la légende, l’histoire ou la bible. Les héros doivent être des personnages d’un rang élevé. La tragédie doit se présenter en 5 actes et en vers. La comédie est le style

à moelle qui ont pour point commun des contenants risibles qui renferment des trésors cachés.Problématique : En quoi ce prologue, qui est une véritable leçon de savoir-lire humaniste, donne-t-il le ton de l’œuvre en associant d’emblée rire et savoir ? Plan : I] *l1à17 : il ne faut pas se fier aux apparences avec la double nature des silènes et de Socrate. II] *l17à29 : l’analogie de l’œuvre avec le fait qu’il faut chercher le sens caché derrière

en austère personne ; Mais l’âge dans son âme a mis ce zèle ardent ») Ajouter de la stylistique !! Madame Pernelle semble être le personnage central et moteur de cette scène. Tout tourne autour de cette vieille femme qui ne cesse de provoquer le rire dans son entourage. Nous savons que cette femme appartient tout d’abord au peuple et que son langage le laisse particulièrement transparaître. En effet nous nous apercevons qu’elle utilise un vocabulaire appartenant à la campagne (V 164 « Voilà-t-il

Lorenzaccio, le modèle du drame romantique Idées en vrac Idée | caractéristiques | Exemple(s) | Le langage comme moyen de réalisme + le rire et les larmesDisparition des unités de lieux et de temps ; pour réalismeUne intrigue plus complexe : 3 intrigues Des personnages représentant toute la société | Langage vulgaire, florentin : couleur locale+ prose= réalismeTout en restant « beau » Langage soutenuMultiplications des lieuxL’action se déroule en facette successive, + de mvt dans la pièceLe

en direction de Candide, qui ne fut pas plus troublé que ca de voir apparaitre un jeune garçon d'un container à ordure, naviguant sur une ville inondée et en décombres. Ce qui l'inquiétait c'était de voir la voiture de ses rêves écrasée comme une vulgaire cannette, et elle lui rappelait que depuis qu'il avait perdu sa fortune, il avait remarqué que sa gentille Cunégonde ne l'aimait plus tellement, d'ailleurs elle semblait flirter parfois avec Blerim le voisin qui, lui, était riche, bronzé, musclé

familier est le moins riche au niveau du vocabulaire. Il est généralement employé avec des intimes, des proches. Les règles de grammaire ne sont pas forcement respectés. 1.1.2) Le registre littéraire : 1.1.2.1) Le registre comique : Il suscite le rire ou le sourire. On distingue le comique de caractère, de situation, de geste et de mots. Les principaux procèdes du comique sont : * Les effets de surprise. * La répétition de mots, de phrases, de situations. * L’accumulation. * Les

didascalies donnent des indications sur les lieux : «  une maison de paysans dans les environs de Varsovie » (texte A), les déplacements : « Elle s’approche de lui » (texte B), les sentiments : « la gorge serrée » (texte C), les actions «  pris d’un rire irrésistible » (texte C), ou leur absence : « pause » (texte D). De même, ils sont similaires quant à l’organisation de la forme du discours dramatique : ils sont construits sur des échanges de répliques entre plusieurs personnages qui s’opposent.

Cervantes joue avec les sentiments du lecteur: ceui-ci est partagé entre rire du personnage ou bien le plaindre. Dans le roman, Don Quichotte se fabrique un casque avec "sa visière de carton" . Ce "casque contrefait attaché avec des rubans verts" est décrit de manière à ce que l'objet et les attitudes du personnage avec celui-ci soient rendus ridicule. Les expressions telles que "éclater de rire", ou encore "crever de rire" sont reprises tout le long du roman. Ici Cervantes jongle avec les mots mais

moments de farce et un happy-ending. - Louis XIV, dit le roi soleil, mort en 1715 , régnait lors de la publication du livre. Il adore Molière car il adore les arts et le défend. - Livre au cœur de la satire, son but est de faire rire. Mais faire rire c’est faire peur. Fait peur à qui ? A l’église. - Cette œuvre raconte l’histoire d’un personnage qui fait semblant d’être un dévot (va à l’église, etc..). Molière le répète plusieurs fois que c’est un faux dévot. Grâce à ce

« elle s’appelle Peggy », plus loin, et le burlesque de sa présentation), et le lieu d’habitation. Sur le repas, les considérations sur le poisson sont rectifiées, comme si cela avait de l’importance. Ce sont des considérations triviales, voire vulgaires avec la mention des cabinets. Il est donc question de manger, de boire et d’ « aller aux cabinets ». On est bien loin des exigences de bienséance. Cela pourrait se rapporter à la veine corporelle de la comédie, mais le ton n’est même pas assez comique