Le Reboisement

foresterie, et des déchets, s’insèrent dans le cadre de la stratégie du gouvernement en matière de développement économique et social durable. Le développement des ressources géothermiques du pays, la réglementation dans le secteur du transport, le reboisement et la conservation de la biomasse, ainsi que les techniques du compostage et de la valorisation énergétique des déchets, composent les principaux éléments du programme d’action que se propose de réaliser la République de Djibouti. En matière d’énergie

Mograne et Sidi Allal Tazi, affectées par la salinité. Les forêts de la région s’étalent sur 125.000 ha ; les essences dominantes sont formées par le chêne liège et l’eucalyptus, représentant 1,4% par rapport au niveau national. Les travaux de reboisement régional, participent à hauteur de 8%, de la superficie nationale replantée annuellement (1900ha en 1996). Dans ce contexte forestier, on dénombre des réserves naturelles et biologiques importantes comme le lac de Sidi Boughaba, la Maâmora

solutions qui ne sont pas forcément efficaces. 3) Restauration des écosystèmes L’homme restaure aussi les écosystèmes qu’il a abîmé par exemple une zone de culture devenu zone de culture intensive peut être réhabilité en utilisant le reboisement la restauration de l’écosystème des rivières l’aménagement écologique des rives et l’abandon de pratique de culture intensive pour une pratique écologique. 4) Quelles actions supplémentaires pourraient être menées Une sylviculture (culture

visant à le protéger : - Le code de l’environnement doit être respecté pour réduire la pollution industrielle - L’exploitation des ressources halieutiques doit être réglementée et bien définie afin que tout le monde puisse s’y conformer. - Le reboisement doit être une priorité pour compenser la surexploitation forestière - Des digues de protection doivent être érigées en certains endroits pour parer à l’avancement de la mer - Des mesures coercitives doivent être prises à l’endroit de ceux qui

démographique et le développement économique des pays en développement où se trouvent les forêts. A ces phénomènes s’ajoute l’augmentation de la demande des pays occidentaux en produits alimentaires et en bois à utiliser comme source d’énergie. Le reboisement constitué de monocultures d’arbres à croissance rapide, comme les palmiers à huile en Indonésie et Malaisie. La production d’huile de palme, étant très utilisée par les fabricants d’agro-carburants et par les grands groupes de l’industrie agro-alimentaire

acteurs des filières agricoles, ➢ consolider et créer des emplois dans un domaine de compétence local (l’agriculture), à contribuer à la sécurité alimentaire de la zone notamment durant la période de sécheresse (avril et mai), de permettre le reboisement car le bois est surexploité pour produire du charbon (la couverture végétale n’est plus que de 2%) en développant une activité économique pérenne tournée vers l’exportation

la lutte contre l'ensablement est de lutter contre la pauvreté rurale. Ce projet a permis de freiner l'exode rurale, pour une occupation régénératrice, et un revenu sur place. On peut également compter, différentes solutions envisageables : Le reboisement. En effet, les arbres jouent plusieurs rôles. Ils contribuent à fixer les sols et font office de coupe-vent et renforcent la fertilité des sols. Ils aident aussi les sols à absorber l'eau lorsque les précipitations sont fortes. Certains font également

service public, administratif ou industriel et commercial. * Certains contrats passés avec les usagers permettent d’assurer les prestations du service public administratif. L’administration contracte avec des particuliers. (ex : contrats de reboisement) * Contrats qui entrainent une participation à l’exécution du service public. Le cocontractant de l’administration fournit à celle-ci les moyens nécessaires au bon accomplissement du service (ex : contrat de transport de troupes). * Les

INRA,et la direction des eaux et forets des expériences sont menés pour aboutir à une préservation de l’Ecosystème. Pour sécuriser les fronts , il a fallu procéder au remodelage et au talutage à 45 degrés d’une surface totale de 4 Hectares . Le reboisement de 40Hectares a nécessité la mise en place de 80 000 tonnes de terre végétale récupérées des zones déjà exploitées et la plantation de 80 000arbres et arbustes . Pour favoriser l’émergence d’un écosystème Lafarge Maroc a procédé avec ses partenaires

doit les informer sur les types de produits qu’ils peuvent prélever. Ils on également le droit d’usage, moyennant une participation active à la lutte contre les feux de végétations en cas de feux de brousse, et une participation aux travaux de reboisement collectif. 4. Les suivis et les résultats du transfert de gestion : Le suivi internet est assuré par une équipe technique (personnes ressources accrédités par le COBA). Elle est tenue de faire un rapport détaillé des activités effectuées sur terrain