Le Quadrivium

étaient éduqués, et l’influence, chez les gens scolarisés, de l’enseignement de la rhétorique. Dès le moyen-âge, les sept arts libéraux lui réservent une place importante. Le trivium se concentre sur la parole: Grammaire- Rhétorique - Dialectique. Le quadrivium se concentre sur la nature : Musique - Arithmétique - Géométrie - Astronomie.18 Tout au début du XVIIIe siècle, J.S. Bach a pu travailler à la Michael Schule de Lüneburg la rhétorique aristotélicienne dans le traité publié en 1680 par Heinrich Tolle

dégagent : niveau élémentaire (lecture, écriture, le chant et le calendrier ecclésiastique des fêtes), niveau moyen (enseignement des 7 arts libéraux, 7 disciplines dispensées en 2 temps : le Trivium= grammaire, la rhétorique, la dialectique et le Quadrivium= arithmétique, géométrie, astronomie et musique) et enfin dernier niveau (à cet enseignement général on ajoute des cours spécialisés en théologie, médecine et droit). Enseignement du droit dans ces écoles portent sur le droit romain (étude du Digeste)

ses règles -- d'un discours comme la poésie (à ne pas confondre avec le poème, puisqu'on la retrouve autant dans la tragédie et l'épopée). Au Moyen-âge, la dialectique et la rhétorique font partie du trivium, avec la grammaire; le trivium et le quadrivium (arithmétique, géométrie, astronomie et musique) constituent les sept arts libéraux enseignés dans les facultés des arts. Au XVIIe siècle, la rhétorique commence à être dissociée de la logique (l'art de penser) et de la grammaire (l'art de parler

Apprentissage cléricale: Écoles monastiques - Scriptorium (scriptoria pl.) Écoles abbatiales et épiscopales (XIe s.)  Université (XIIIe s.) - Ville Programme d'Études: Scolastique - 'Auctoritas' Trivium: grammaire, rhétorique, et dialectique Quadrivium: arithmétique, géométrie, musique et astronomie "Clerici vaganti" o Goliards - expulsés de la hiérarchie ecclésiastique (Paradoxe: A cette période, l'Eglise prône parfois la pauvreté intellectuelle:  "Un ignorant au cœur pur, va plus vite

Grégoire VII demandera à chaque évêque d’entretenir une école dans laquelle serait enseigné les arts littéraires. Les programmes concilient culture antique et christianisme : 7 arts libéraux. Le trivium [grammaire, rhétorique et dialectique] et le quadrivium [ Arithmétique, Géométrie, Astronomie, et musique]. Au XII, la tradition scolaire s’enrichit. C’est l’époque où l’économie subit un grand changement en France et en Europe. La démographie augmente, la production agricole augmente et une plus

de ses offices, l’enseignement musical connu est religieux et se dispense dans ces écoles, ancêtres des maîtrises et des écoles monastiques. À cette époque la jeune Université intègre, dans l’enseignement des sciences, la musique au sein de son Quadrivium qui réunit donc l’Arithmétique, la Géométrie, l’Astronomie et la Musique. L’enseignement de la musique profane n’est pas connu mais existe sans doute également grâce aux corporations de Ménétriers qui apparaissent dans toutes les villes du royaume

P Si l’on ne sait pas quelle fut son instruction, on peut se douter, d’après ses œuvres et son parcours que son père, avocat, a dû lui fournir l’éducation qui avait cours à l’époque : le trivium (grammaire, rhétorique, dialectique) et le quadrivium (arithmétique, géométrie, musique, astronomie), enseignés au Moyen Âge. Il entre dans les ordres comme novice vers 1510. Dans les différents monastères qu’il a fréquentés, Rabelais acquiert une culture humaniste qui n’est pas toujours bien vue

monastère de disposer d’une école qui enseignerait les arts littéraires libéraux. Ces arts se décomposent en 7 arts libéraux : il y a le trivium soit la grammaire, la rhétorique et la dialectique (ce sont les disciplines plutôt littéraires) et le quadrivium soit les sciences telles que l’arithmétique, la géométrie, l’astronomie et la musique. Voila ce qui constitue les enseignements fondamentaux du jeune du bas moyen âge. Et puis on a les enseignements religieux, l’étude des écritures saintes etc.

par le carthaginois Martianus Capella, puis entrés dans l’éducation des médiévaux. Les disciplines n’ont d’importance que dans la formation du « bon architecte ». On ne trouve jamais ici le corpus canonique connu sous la double forme trivium et quadrivium. Les arts de Vitruve sont techniques et n’ont qu’un but pratique car, même « pour ce qui est de la Musique, il [l’architecte] doit y être consommé afin qu’il sache la Proportion Canonique et Mathématique pour bander comme il faut les machines de

facultés, ils se compensent de cycle et de sept disciplines : premier cycle c'est le trivium et ce cycle regroupait l'étude de la rhétorique, la dialectique et la grammaire, (actuellement pourrait être la philosophie) ; le second cycle c'est le quadrivium, il regroupe ce que l'on appellerait aujourd'hui les matière scientifique, l'arithmétique, la géométrie, l'astronomie, et puis la musique. Ces facultés des arts correspondaient à un enseignement préparatoire à un enseignement supérieur, à l'époque