Le Quadrivium

mécanique », de la musique entendue comme savoir (théoria) qui seule sera reconnue comme vraie musique, et enseignée comme un des 7 arts libéraux, parmi les 4 disciplines scientifiques du second degré de cet enseignement, et que Boèce nomma le « quadrivium ». La musique (théorique) a alors le même statut que l'arithmétique, la géométrie et l'astronomie. La musique est l'une des pratiques culturelles les plus anciennes et comporte le plus souvent une dimension artistique. La musique s'inspire toujours

insignes royaux (épée, couronne, sceptre, main de justice), écrouelles . Bailli, sénéchal, légiste, ordonnance, édit, Parlement, Conseil du Roi, Chambre des Comptes . Université, collège, Arts libéraux, trivium (grammaire, rhétorique, dialectique), quadrivium (astronomie, géométrie, arithmétique, musique) . Jacquerie, Armagnacs, Bourguignons, compagnie . Etat, nation . Empire, monarchie, royaume, royauté . Administration . Guerre civile, guerre étrangère Jean CAPILLON IUFM MELUN 2002-2003 Termes repris

l’ascendant sur les maitres, tandis que c’est le contraire à Paris. A l’université de Paris, on peut utiliser la médecine, le droit (civil et canon), la théologie, et la faculté des arts (libéraux) : Trivium : Dialectique, rhétorique, grammaire. Quadrivium : géométrie, arithmétique, astronomie, musique. Cette distinction des savoirs et sa hiérarchisation constitue une différence entre ces pratiques d’enseignements et celles qui s’étaient développés au XIIe siècle. L’université de Paris n’a aucune

totale. C’est pourquoi Gargantua durant ces études à Paris, rencontre une diversité de matières : « religion, activités sportives, culture générale, l'héritage de la scolastique (enseignement médiéval dispensé dans les universités): « trivium » et « quadrivium » (grammaire dialectique* rhétorique / arithmétique (branche mathématique) astronomie musique géométrie), instruments de musique, chant, botanique, agriculture (il battait le blé, sciait le bois), l'art de tous les métiers de l’époque, la poésie

distinction prégnante existait entre arts libéraux et arts mécaniques. Les arts libéraux étaient les disciplines essentiellement enseignées en Europe occidentale en Europe. Ils étaient séparés entre trivium (grammaire, dialectique et rhétorique) et quadrivium (arithmétique, musique, géométrie et astronomie). Alors que les arts libéraux étaient théoriques et intellectuels, les arts mécaniques regroupaient toutes les disciplines industrieuses et manuelles. La Renaissance va flouter cette distinction

pensée de Saint-Augustin, les arts libéraux constituaient un programme d'enseignement. Hérités de l'Antiquité, ils étaient au nombre de sept, distribués en deux cycles : le trivium, grammaire, rhétorique et dialectique (les sciences du langage), le quadrivium : arithmétique, géométrie, musique (équilibre physique des choses) et astronomie (les disciplines scientifiques). u Premières expositions universelles : la prise de conscience de l'impact des arts dans le poids emblématique des nations et

français à la cour d’Angleterre et la visite que lui fait son ami à cette occasion. Les deux hommes, qui regardent le spectateur, sont accoudés à un meuble comportant deux étagères et sur lequel sont disposés plusieurs objets qui se rattachent au Quadrivium, les quatre sciences mathématiques parmi les Sept arts libéraux, soient l'arithmétique, la géométrie, la musique et l'astronomie. Sur l'étagère supérieure, on voit une sphère céleste, des objets de mesure du temps et un livre, disposés sur un tapis

quatre facultés : Théologie, Droit, Médecine, Arts, prétendaient embrasser tout ce qu'il y avait d'utile et de licite en fait d'études et de savoir. Le latin était la seule langue dont on fît usage. Les sciences, sauf la médecine, se réduisaient au quadrivium du moyen âge : l'arithmétique, la géométrie, la musique et l'astronomie. L'esprit étroit de la scolastique décadente y régnait universellement : les écoles de Paris étaient surtout des foyers de dispute. On y argumentait assidûment, mais on y

droit et la théologie * La faculté des arts est une préparation à l’accession aux facultés supérieures et va se baser sur deux enseignements différents * Le « Trivium » comprenant la grammaire, la rhétorique et la philo * Le « Quadrivium » comprenant la géométrie, l’arithmétique, l’astronomie, la musique * L’enseignement au sein des universités est différent par rapport à la forme scolaire classique. * Il n’y a pas de programme scolaire prédéfini et la durée des cours

sont les 2 faces d’un mouvement car tout les deux se fondent sur la bible, tout les deux acceptent les arts libéraux (l’organisation de l’enseignement heritée de l’antiquité romaine avec le trivium – grammaire latin, rhétorique, la dialectique - et quadrivium – arithmetrique, geometrie, astronomie) . Leur opposition concerne la forme plutot que le fond. Le XIIème  siecle dynamique et conquerant. Neanmoins, des auteurs pensaient que l’on approchait une fi. Hugues de Saint –victor, auteur, dit :