Le Pélican Métaphore Filée

du rôle du poète, Musset utilise tout d’abord une métaphore filée qui se déroule sur différents niveaux. Le premier niveau est le pélican lui-même, dépeint de façon réaliste, retournant fatigué comme l’indiquent les adjectifs « lassé » et « long » de son voyage. Le verbe « retourne » exprime une idée d’habitude, renforcée plus loin par l’adverbe « parfois », traduisant ainsi la normalité de la scène, bien qu’au vu de la suite du poème où le pélican meurt, cela paraît paradoxal. Ses petits qui l’attendaient

rang. L’assimilation du poète et de l’albatros se concrétise par une métaphore qui se trouve dans le dernier quatrain au vers 13 « Le poète est semblable au prince des nuées ». C’est grâce à cette métaphore que l’on redécouvre le sens du poème, cela lui donne une nouvelle perspective et nous permet de comprendre que la douleur que ressent l’albatros est en réalité la douleur du poète. Le poème se révèle être alors une métaphore filée entre le poète et l’albatros et entre les hommes d’équipage et la

parties, vers 1 au vers 2: Comment la condition du poète est elle exprimé/ En quoi ce poème est il allégorique ? Pour cela , nous montrerons que ce poème est un discours argumentatif , ensuite nous traiterons la figure du pélican et pour finir la condition du poète au pélican. D’une part, cette conclusion se présente comme un discours argumentatif. En effet, ici, nous avons a faire à la réplique de la Muse, qui échange avec un locuteur qui est le poète: « Mais, pour en être atteint, ne crois

sur une métaphore filée. Comparé : poète. Comparant : le pin des landes. La composition de ce poème sert à sa signification (3 strophe + 1 qui oblige à relire : lecture récurrente). Cette conception romantique est illustrée par le spleen de Baudelaire et par les Contemplations de Hugo (consacrées à la mort de sa fille). Cette conception se retrouve aussi chez Alfred de Musset « Nuit de Mai » : dialogue entre le poète et sa muse (on y retrouve une métaphore filée du pélican). « Les

il "est semblable" à l'Albatros livré aux railleries des marins grossiers et brutaux. Cela implique une lecture rétrospective du poème : ce qui apparaissait, de prime abord, comme une personnification de l'oiseau se comprend maintenant comme une métaphore animale du poète. Avec "nuées", "tempête", "ailes de géant" situés au-dessus de "sur le sol", "empêchent de marcher", le sentiment de supériorité de cet oiseau pur incompris par le monde d'ici-bas est très perceptible. Il s'agit là d'un traumatisme

il "est semblable" à l'Albatros livré aux railleries des marins grossiers et brutaux. Cela implique une lecture rétrospective du poème : ce qui apparaissait, de prime abord, comme une personnification de l'oiseau se comprend maintenant comme une métaphore animale du poète. Avec "nuées", "tempête", "ailes de géant" situés au-dessus de "sur le sol", "empêchent de marcher", le sentiment de supériorité de cet oiseau pur incompris par le monde d'ici-bas est très perceptible. Il s'agit là d'un traumatisme

il "est semblable" à l'Albatros livré aux railleries des marins grossiers et brutaux. Cela implique une lecture rétrospective du poème : ce qui apparaissait, de prime abord, comme une personnification de l'oiseau se comprend maintenant comme une métaphore animale du poète. Avec "nuées", "tempête", "ailes de géant" situés au-dessus de "sur le sol", "empêchent de marcher", le sentiment de supériorité de cet oiseau pur incompris par le monde d'ici-bas est très perceptible. Il s'agit là d'un traumatisme

"est semblable" à l'Albatros livré aux railleries des marins grossiers et brutaux. Cela implique une lecture rétrospective du poème : ce qui apparaissait, de prime abord, comme une personnification de l'oiseau se comprend maintenant comme une métaphore animale du poète. Avec "nuées", "tempête", "ailes de géant" situés au-dessus de "sur le sol", "empêchent de marcher", le sentiment de supériorité de cet oiseau pur incompris par le monde d'ici-bas est très perceptible. Il s'agit là d'un traumatisme

l’empêchent de marcher », Baudelaire l’Albatros) et bien sûr les figures de substitution comme la comparaison et la métaphore, (de Ronsard et Du Bellay à Jacques Prévert ou Eugène Guillevic en passant par Hugo, Apollinaire, les surréalistes et bien d’autres). L’emploi de l’image est d’ailleurs repéré comme une des marques de l’expression poétique ; un seul exemple emblématique de métaphore filée en rendra compte : « (Ruth se demandait …) Quel Dieu, quel moissonneur de l’éternel été / Avait, en s’en allant

textes poétiques, le recours au vers qui apporte aussi la densité. Mais le poète recherche aussi l'expressivité par le poids accordé aux mots comme par l'utilisation fréquente des figures de styles et au premier chef des images, comparaisons et métaphores, recherchées pour leur force suggestive. L'expression poétique (expression peut-être préférable à « poésie » car plus générale) s'est constamment renouvelée au cours des siècles avec des orientations différentes selon les époques et les individus