Le Porte Glaive Et Le Porte Flambeau

de profil. Le premier, au tout premier plan, revêtu d’une tunique jaune, plaque au sol de son bras gauche et de son genou droit, prêt à l’égorger de son sabre ensanglanté, un vieil homme chenu. Ce vieillard est le seul protestant, d’ailleurs, qui porte une épée, dressée dans l’angle inférieur droit du tableau. Au-dessus, un deuxième soldat à la tunique rouge saisit par les cheveux un vieillard qui lui tourne le dos et s’apprête à le frapper de son sabre. Derrière lui, un autre soldat dont on n’aperçoit

représentant la République Française . La Marianne porte le bonnet phrygien , symbole de liberté , mais rappelant aussi la Révolution de 1789 . Elle est éclairé par la lumière de la connaissance , symbolisée par le flambeau tenu par l'ange . On peut voir que la Marianne marche sur une courronne royale et un sceptre , renvoyant à la victoire des Républicains sur les monarchistes . Elle tient dans sa main la drapeau républicain et dans l'autre , un glaive , synonyme de justice et d'impartialité . Les

couronne et le sceptre qui sont des symboles de régimes monarchiques. Elle porte aussi fièrement le drapeau tricolore et un glaive dans sa main droite qui représente la revanche sur les régimes précédents. Nous pouvons donc dire que Marianne s'impose comme la IIIe République. Axe II :La IIIe République s’est imposée en défendant des valeurs et des principes tel que le suffrage universel qui est ici représenté sur une étoffe rose, porté par un chérubin (symbole d’innocence et de pureté), c’est un droit acquis

Aussi, seront placé sur la table un flambeau a sept étoiles devant le vénérable maitre , a cinq étoiles devant le premier surveillant et a trois étoiles devant les second surveillant. Les officiers conservent leur sautoirs et les Maitres leur cordons de maitre en revanche il n’y a pas de gants et de tabliers. Dans cette continuité de la représentation du temple, un vocabulaire bien distinctif est utilise en voici quelques exemples : Assiette= tuile, couteau=glaive, verre= canon, bougies allumes= étoiles

encore ! Faut-il protéger l’humble, écraser Attila, Relever qui succombe, abaisser qui s’élève, Vaincre et civiliser par le livre ou le glaive, Vaillant soldat du droit, la France est toujours là ! La France est toujours là ! Même au jour des naufrages, Comme un phare sublime aux rayons éclatants, Elle se dresse au bord des abîmes du temps, De son flambeau superbe illuminant les âges. La France est toujours là ! Semeur des jours nouveaux, Elle va prodiguant la divine semence, Laissant

fond se retrouve sur l'habit du musicien, le nœud papillon et le rebord du chapeau haut de forme. Le reste est noir : le costume, la peau de l'homme, ses cheveux crépus et le pavillon du saxophone. Sa chemise est blanche comme ses doigts gantés. Il porte une énorme insigne à la boutonnière : une étoile. Dans le quart inférieur de l'affiche se détache en blanc le nom de l'exposition : « Entartete » comme écrit rapidement avec un large pinceau et en dessous : « Musik » en lettres capitales. Le sous-titre

mort ! Libérateur céleste,Tu ne m'apparais point sous cet aspect funesteQue t'a prêté longtemps l'épouvante ou l'erreur ;Ton bras n'est point armé d'un glaive destructeur,Ton front n'est point cruel, ton oeil n'est point perfide,Au secours des douleurs un Dieu clément te guide ;Tu n'anéantis pas, tu délivres! ta main,Céleste messager, porte un flambeau divin ;Quand mon oeil fatigué se ferme à la lumière,Tu viens d'un jour plus pur inonder ma paupière ;Et l'espoir près de toi, rêvant sur un tombeau,Appuyé

du Temple Le Temple est disposé comme toute autre Loge maçonnique. Derrière le Vénérable, un Tableau peint représente une Porte d’Ivoire et d’Or, fermée, sans serrure apparente, encadrée de deux Colonnes de style égyptien, se terminant tel le Djed, ou « pilier occulte d’Osiris ». Entre les Colonnes est tendu un Voile transparent bleu turquoise, masquant une partie de la Porte. Au-dessus est le Delta, avec un Point en son centre. Au centre de la Salle, est un rectangle dallé de noir et de blanc, de

..........................................................................................7 II LA SORTIE DE L'OMBRE ..............................................................................................................11 LIVRE PREMIER. LE GLAIVE ..........................................................................................................14 STROPHE PREMIERE. NEMROD .....................................................................................................14 STROPHE DEUXIEME

en ce silence sombre, Ses ulcères de feu sous une lèpre d'ombre. Charbon d'un monde éteint! flambeau soufflé par Dieu! Ses crevasses montraient encore un peu de feu Comme si par les trous du crâne on voyait l'âme. Au centre palpitait et rampait une flamme Qui par instants léchait les bords extérieurs, Et de chaque cratère, il sortait des lueurs Qui frissonnaient ainsi que de flamboyants glaives, Et s'évanouissaient sans bruit comme des rêves. L'astre était presque noir. L'archange était