Le Pont Mirabeau Strophes

couchant XVII.  Mugitusque Boum XVIII.  Apparition XIX.  Au poëte qui m’envoie une plume d’aigle XX.  Cérigo XXI.  À Paul M. XXII. XXIII.  Pasteurs et troupeaux XXIV. XXV. XXVI.  Les malheureux LIVRE SIXIÈME  AU BORD DE L’INFINI I.  Le pont II.  Ibo III. IV. V.  Croire, mais pas en nous VI.  Pleurs dans la nuit VII. VIII.  Claire IX.  À la fenêtre pendant la nuit X.  Éclaircie XI. XII.  Aux anges qui nous voient XIII.  Cadaver XIV. XV.  À celle qui est voilée XVI.  Horror

...................................................................................336 XXVI. Les malheureux ...........................................................338 LIVRE SIXIÈME AU BORD DE L’INFINI..............................350 I. Le pont..................................................................................351 II. Ibo ...................................................................................... 352 III. ..........................................................

sont notés par l’allitération en « p » des vers 1 à 3 « pré », « paissant », « s’empoisonnent » / +/ emploi du participe présent « paissant » qui trouve un écho sonore avec l’adverbe de manière « lentement » Irruption brutale des enfants à la strophe 2 qui crée un effet de surprise et marque l’irruption de la vie, du mouvement et de la musique. Donc l’alexandrin du ver 8 perturbe le rythme du poème, l’expression « avec fracas » accentue par son sens et par ses sonorités cette rupture. Reprise

comparaison et la métaphore. « Il pleure dans mon cœur comme il pleut sur la ville » (Paul Verlaine) : pour exprimer la ressemblance entre son chagrin et la pluie qui tombe, le poète a recours à un outil grammatical, le mot comme, qui établit une sorte de pont entre les deux éléments. Il fait une comparaison. Celle-ci peut être introduite par d’autres outils grammaticaux : ainsi, tel, en forme de, à l’égal de... 23 Le cours Très souvent, cependant, l’image n’est pas annoncée aussi clairement. C’est

chacun ressent. On peut comparer cette image à celles de Sganarelle et Dom Juan (p. 119-121) : quand Lassalle imagine que Sganarelle rase Dom Juan (p. 121), il fait en effet une référence implicite à Figaro, barbier de Séville. Il établit donc un pont entre le valet soumis du XVIIe siècle et le valet frondeur du XVIIIe siècle. 6 Mettre en scène la variété du comique | Litterature.indb 111 111 06/09/11 11:52 VERS LE BAC Question sur un corpus Les ressemblances : le maître domine

chacun ressent. On peut comparer cette image à celles de Sganarelle et Dom Juan (p. 119-121) : quand Lassalle imagine que Sganarelle rase Dom Juan (p. 121), il fait en effet une référence implicite à Figaro, barbier de Séville. Il établit donc un pont entre le valet soumis du XVIIe siècle et le valet frondeur du XVIIIe siècle. 6 Mettre en scène la variété du comique | Litterature.indb 111 111 06/09/11 11:52 VERS LE BAC Question sur un corpus Les ressemblances : le maître domine

trouvailles de la création en train de se faire. Retrouver la présence des écrivains dans l’élan suspendu de leur travail. Mesurer le cheminement du travail créatif entre les premiers brouillons et les œuvres achevées. Supports : - Apollinaire, Le Pont Mirabeau (brouillon et version définitive) (manuel Expression, Magnard) - Matisse, Le Nu rose, esquisse et état final (manuel Hatier) - Balzac, La Maison du Chat-qui-pelote, trois ébauches d’incipit (Méthodes et techniques) - Flaubert, 1ère et 4ème rédaction

ce « tu » ?), et nous n’en aurons la clé (« Et c’est pour cela […] ») qu’à la toute dernière strophe. Sa construction est à la fois rhétorique (les parallélismes, l’explication finale) et poétique (expansions métaphoriques de plus en plus amples). Si l’on se fie aux longueurs respectives des différentes strophes, la courbe d’un schéma déceptif est repérable : expansion croissante jusqu’à la troisième strophe, puis retombée de l’exaltation. Le récit commence comme un conte empreint de merveilleux, se

s. av. J.-C. comprend, outre la Grèce d’Europe, la Grèce des îles de la mer Égée et la Grèce d’Asie, la Grande Grèce (Italie) et d’autres colonies établies autour de la Méditerranée ( sauf en Phénicie, terre sémite, et en Afrique du Nord) et du Pont-Euxin. La colonisation met en scène une villemère (métropole) qui envoie des colons fonder une nouvelle cité (la colonie), pour des raisons commerciales (faire du commerce), agraires (trouver de nouvelles terres pour accueillir un excédent de population)

voici ce que dit l'homme de trahison : « Cette nuit vont surgir mes projets invisibles. Les Saint-Barthélemy sont encore possibles. Paris dort, comme aux temps de Charles de Valois. Vous allez dans un sac mettre toutes les lois, Et par-dessus le pont les jeter dans la Seine. » Ô ruffians ! bâtards de la fortune obscène, Nés du honteux coït de l'intrigue et du sort ! Rien qu'en songeant à vous mon vers indigné sort, Et mon coeur orageux dans ma poitrine gronde. Comme le chêne au vent dans la forêt