Le Pont Mirabeau Strophes

Qu'est ce qu'elles symbolisent? Telle est la question que chacun de nous devrait se poser en abordant ce texte poétique. Un autre indice, serait le champ lexical . On voit par exemple l'évocation de la mort présente dans presque toutes les strophes. Et à la strophe qui évoque la septième épée, Guillaume Apollinaire fait un parallélisme entre la femme et une fleur morte. Publiée en 1913, Alcools de Guillaume Apollinaire est un recueil de poèmes fortement influencés par le surréalisme. Par ce recueil

puis poète, il s'engage en aout 1914 à l'armée, il se fait touché par un éclat d'obus, et meurt de la grippe espagnole.Le Pont Mirabeau« Réciter la Poésie »Donc à la première vue, on voit qu'il y a 1 décasyllabe, 1 tétrasyllabe, 1 hexasyllabe, 1 autre décasyllabe, ce qui forme un quatrain, puis 2 heptasyllabes, donc un distique. Les rimes sont hétérométriques.Dans la première strophe, on voit des allitérations avec le s de Sous et Seine ; le le ; le m ; le ou ; le il ; le aine ; et le la. Les vers 2

les romantiques (comme Musset). La diérèse de "délicieux" insiste sur le plaisir trouvé dans la douleur. Son incertitude et son inquiétude se devinent dans les questions sur le souvenir du corps de Marie (quatrième quintil). Dans la dernière strophe son chagrin d'amour devient une peine infinie et un mal de vivre. L'idée exprimée ici est plus complexe, elle concerne la pérennité des sentiments, la peine en particulier qui passe et qui demeure entière : c'est très paradoxal. Cela se termine

vue de la dissertation 1. L’amour malheureux et le chagrin « La Chanson du Mal-Aimé », « Le Pont Mirabeau », « Marie », « La tzigane », « Les Cloches » La Chanson du Mal-Aimé , p.29, v66-69 : « Et moi j’ai le cœur aussi gros / Qu’un cul de dame damascène / O mon amour je t’aimais trop / Et maintenant j’ai trop de peine » Le pont Mirabeau , v13-14 : « L’amour s’en va comme cette eau courante / L’amour s’en va »

Qu'en avez-vous fait ? Issu du recueil Elégies écrit en 1818-1819 et qui appartient au romantisme. Ce qui m’a plu dans ce poème est le fait que le poète répète dans chaque « strophe » le premier vers. Les lecteurs ont l’impression d’écouter une chanson. Nous finissons avec le poème d’Apollinaire qui s’intitule Le pont Mirabeau et qui a été écrit en 1913. Il est extrait du recueil Alcools. C’est une forme de lyrisme moderne. J’ai une fois de plus choisit ce poème car en le lisant j’ai eu l’impression

l’automne afin d’évoquer sa rupture avec Annie Playden. Cependant, il s’éloigne, au fil des vers, de la tradition poétique en me�ant en scène des nymphes issues de légendes germaniques et en proposant un poème à la structure originale dont la dernière strophe annonce ses calligrammes. Ce poème, très musical, sera repris par Léo Ferré qui l’adaptera en chanson en 1990. Ainsi, nous nous demanderons en quoi ce�e célébration de l’automne permet à Apollinaire d’évoquer sa tristesse. / En quoi ce poème associe

narratif de 59 quintils octosyllabiques/ « mal-aimé » : néologisme ; complainte, récit d’un amour malheureux • Comment Apo renouvelle-t-il le motif de la plainte amoureuse dans ce début de poème ? 3 parties : 1. Un poète dans la ville (strophes 1 et 2) • Strophe 1 : un poète errant ➔ Rimes « croisées » + octosyllabes + rimes féminines >> rythme rapide et doux ; mais surtout effets de surprise et de suspens avec les enjambements (v2-3 et v3-4) et les rimes libres (londres-rencontre- honte)>>

« Automne ». Ce recueil sera le résultat de son travail poétique de 1898 à 1913, sa date de parution. Mon corpus est composé de 10 poèmes, classés dans l'ordre suivant : « La chanson du mal-aimé » « Les colchiques » « Le pont Mirabeau » « Mai » « Marie » « Annie » « Clotilde » « Zone » « La blanche neige » « L'adieu » J'ai choisi ces 10 poèmes car il révèlent tous un même thème : Les amours perdus d'Apollinaire. La chanson

déroulement de la ballade, de la vie.La variété des paysages = cycle des saisons qui montre le temps qui passe + « pétales tombés des cerisiers de mai » et « flétris » => idée de dégradation de la beauté et de la jeunesse jusqu’à la mort.La 3ème strophe : lente = un quintil et une coupe différente des alexandrins : 4-5-3 ou 2-2-2-6 => impression de lenteur.Evocation du vent et de l’eau qui entraînent tout, montrant le cours de la vie=> Fuite du temps.B. Idée de permanencePlace du souvenir :

qui était poète à la manière de Mallarmé. Il est certain qu’Apollinaire joue avec les mots et présente au lecteur son texte comme une énigme. Énigme dont la résolution est dans le texte même du recueil, puisque Lul de Faltenin se trouve dans la 3e strophe des « Sept épées » :« Le troisième bleu fémininN’en est pas moins un ChibriapeAppelé Lul de FalteninEt que porte sur une nappeL’Hermes Ernest devenu nain »On notera au passage la ressemblance avec « Crépuscule ».Chibriape est un néologisme composé