Le Poilu Victorieux Monument Aux Morts

d’autres artistes n’auraient pas osés faire Un peu plus d’ordre serait mieux. II- Biographie ?? III- Contexte de ce tableau ?? IV- DESCRIPTION Cadrage : au premier plan on distingue ces soldats morts gisant au sol on voit que la guerre est passée par là, au second plan on voit ces fils de barbelé qui tiennent grâce à des morceaux de bois et en arrière-plan on peut observer ce ciel gris symbole d’orage et d’apocalypse. Les soldats sont étendus au

 L’œuvre que je vais vous présenter est un monument aux morts. C’est le Poilu Victorieux d’Eugène Benet fait en 1920. Le fondeur de cette statue est : la société DURENNE, Haute-Marne .Elle est conservée et exposé à Beaumesnil dans l’Eure. C’est un monument commémoratif, qui rend hommage aux 1 400 000 soldats morts au combat. C’est dans ce contexte que Eugène BENET a été amené à sculpté l'oeuvre pendent la 1ere GM. Cette sculpture rencontrera un grand succès et fut diffusée à plusieurs exemplaires

Sommaire: Monuments au morts P 1-19 Biographie + Analyse P 20-Fin 1) Monuments au morts 1er Monument En 1927, le colonel Rollet veut célébrer avec faste le centenaire de la création de la Légion étrangère. Il décide d'ériger un monument en souvenir de ses morts. La conception artistique du monument est confiée au sculpteur Pourquet, celui-ci travaille sur des esquisses du peintre Mahut. Le 28 janvier 1928, Pourquet présente au colonel Rollet la première maquette du monument: un cénotaphe

l'Allemagne. Les pertes humaines de la Première Guerre mondiale s'élèvent à environ 18,6 millions de morts. Ce nombre inclut 9,7 millions de morts pour les militaires et 8,9 millions pour les civils. Avec 1 700 000 victimes, la France sort moralement terrassée de la Première Guerre mondiale. Le 14 juillet 1919, c'est une armée victorieuse mais éclopée qui défile sur les Champs Elysées. Quant aux morts, on s'interroge sur leur sort: faut-il rendre les corps aux familles? Doit-on plutôt les rassembler

dans la ville Traduction de la guerre dans l’espace urbain 2. La mémoire de la guerre : les monuments aux morts Arts du langage Ressources Avec des ressources locales : ● Palais de justice de Rouen, Tour Jeanne d’Arc ● L’architecture de la reconstruction : gros plan sur celle de Rouen et certains bâtiments emblématiques. ● Statuaire publique et commémorative Récits d’expérience de guerre : Paroles de poilus ; Si c’est un homme ; L’écriture ou la vie ; Inconnu à cette adresse ; Groupement de poèmes

la ville Traduction de la guerre dans l’espace urbain 2. La mémoire de la guerre : les monuments aux morts Arts du langage Avec des ressources locales : ● Palais de justice de Rouen, Tour Jeanne d’Arc ● L’architecture de la reconstruction : gros plan sur celle de Rouen et certains bâtiments emblématiques. ● Statuaire publique et commémorative Récits d’expérience de guerre : Paroles de poilus ; Si c’est un homme ; L’écriture ou la vie ; Inconnu à cette adresse ; Groupement de poèmes

4 champs lexicaux : * Le champ lexical de la pluie et du beau temps : « pluie » ; « il pleut » (fois3) ; « rafales » ; « froid ». * Le champ lexical du soleil : « en rayon d’or » ; « beau soleil victorieux » ; « couronne ». * Le champ lexical de la guerre : « victoire » ; « victorieux » ; « vainqueurs » ; « pluie d’acier » ; « pluie de fer » ; « rafales » ; « éclatez » ; « fanfares ». * Le champ lexical de la souffrance et de la mort : « mon cœur se fend » ; « mes amis qui souffrent

le tome II des Lieux de Mémoire . Elle illustre ce qu'a toujours été la tendance de " l'arrière " , à savoir une volonté d'héroïser les combattants de Verdun et de surévaluer leur élan patriotique. C'est la France de Maurice Barrés : " Debout les Morts ! " Du reste, ce lieu est contesté dès l'origine par les Anciens Combattants eux-mêmes. Un ancien du 137 ème R.I. interrogé à ce sujet en 1930 répond : " la Tranchée des baïonnettes ? Connais pas ! " Président-Fondateur : Maurice Genevoix de l’Académie

séances du Conseil, actuellement mobilisé au camp de Bourg-Lastic. Les membres du Conseil, sensibles à son amabilité, rédigent une lettre collective pour remercier leur jeune collègue et lui envoyer leurs vœux de courageuse santé et leurs souhaits victorieux et prompt retour. » Bourg-Lastic n’est certes pas sur le front des tranchées mais cette lettre, comme d’autres envoyées aux familles, devait participer à ce que les Mozacois s’imprègnent des conditions de guerre et des divers événements militaires

tranchées sont peu à peu creusées. Les hommes n'en sortent que pour des offensives meurtrières qui ne permettent souvent qu'une avancée de quelques kilomètres (300 000 morts lors de la bataille de Verdun entre février et juin 1916 ; 52 000 morts en un mois lors de l'offensive Nivelle en 1917, etc.). L'objectif est alors de faire le maximum de morts chez l'ennemi plutôt que de gagner du terrain. • La vie sur le front devient vite insupportable. Lors des combats, les tranchées sont pilonnées par l'artillerie