Le Poete Mourant

l’âne. C'est la loi générale du monde : la raison du plus fort. C'est bien des humains qu'il s'agit, et pourtant la fiction animale reste présente à nos esprits, tant le choix des personnages s'accorde avec le rôle et le langage que leur prête le poète dans cette petite pièce de théâtre en plusieurs actes où alternent récit et paroles : - premier acte : les ravages de la peste (vers 1-14) ; - deuxième acte : le raisonnement du lion et sa confession (vers 15-33) ; - troisième acte : le plaidoyer

le sentiment de l’impuissance. D’où la mélancolie qu’inspire la nature, d’où le goût des ruines, des cimetières, l’attrait du suicide. Exemple Lamartine dans Les Méditations ou Sainte-Beuve dans Joseph Delorme qui reprennent le thème du poète mourant. Le poète veut mourir, vaincu dans l’obscurité et la solitude. Au niveau de la religion. Christianisme : révélation, faute originelle, chute, expiation, rédemption, sont remaniés dans un sens élargi et optimiste, avec la perspective d’un total rachat

devions choisir, le sonnet, (ici, un poème d’Arthur Rimbaud), m’a paru un choix évident parce qu’il illustre l’une des formes de la poésie classique; la prose, (un poème de Paul Eluard), était un choix intéressant pour la liberté qu’elle offre au poète ; le calligramme, (emblème de la poésie de Guillaume Apollinaire), quant à lui, allie la forme et le fond. Le premier poème de cette anthologie est d’Arthur Rimbaud, et s’intitule Le Mal. Dans ce poème, le thème de la mort est explicite : il parle

du monarque comparé à un « fantôme » (v20) – Du vers 19 à 26 : image grotesque et risible (« L'Europe [...] vous regarde en riant ») d'une Espagne en proie à l'hostilité, au mépris et à l'avidité des voisins européens qui lorgnent sur cette proie mourante. Se dessine en filigrane l'image de la curée à venir des pays voisins personnifiés (verbes généralement construits avec un sujet humain : « hait », « regarde », « riant », « partagent », « vous trompe », « attend », « vous guette », ...) . Faiblesse

médecin (Alcon ou Amynos). Il exerçait aussi des fonctions politiques. Ses dernière années furent attristées par des querelles familiales, en particulier entre son fils légitime Iophon (lui-même poète tragique) et son petit fils, Sophocle le jeune, né d'un fils illégitime, Ariston, qui était le préféré du vieux poète. Il fut même emmené devant un tribunal par ses propre enfants qui l'accusaient de démence et de sénilité, il sens serait sorti en lisant des vers d’œdipe a la colonne, qu'il venait de composer

Clément MAROT, Épître au Roy, 1527 Texte B : VOLTAIRE, Traité sur la tolérance, 1763 Texte C : Albert CAMUS, L'Étranger, 1942.   Texte A : Clément MAROT, Épître au Roy, 152. [Encore une fois emprisonné pour avoir tenté de délivrer un prisonnier, Marot, poète de la cour, s'adresse au roi François 1er; son protecteur, afin d'obtenir sa libération.] Au roi, « pour le délivrer de prison ». Roi des Français, plein de toutes bontés, Quinze jours a1, je les ai bien comptés, Et dès demain seront justement seize

pays pluvieux, Riche, mais impuissant, jeune et pourtant très vieux, Qui, de ses précepteurs méprisant les courbettes, S'ennuie avec ses chiens comme avec d'autres bêtes. Rien ne peut l'égayer, ni gibier, ni faucon, Ni son peuple mourant en face du balcon. Du bouffon favori la grotesque ballade Ne distrait plus le front de ce cruel malade ; Son lit fleurdelisé se transforme en tombeau, Et les dames d'atour, pour qui tout prince est beau, Ne savent plus trouver

publication, le 1er juin 1855, dans La Revue des Deux Mondes de dix-huit poèmes. Le premier tirage du livre est effectué à 1 300 exemplaires et mis en vente le 25 juin 1857. Ces « fleurs maladives » sont dédiées au poète Théophile Gautier, sacré « parfait magicien des lettres françaises » et « poète impeccable », comme l'écrivit Baudelaire au début du recueil. Le 7 juillet, la direction de la Sûreté publique saisit le parquet du délit d’« outrage à la morale publique » et pour « outrage à la morale religieuse

décrit la beauté des cloches (le comparant)l. 9 à 14 : Baudelaire compare son âme (le comparé) à une cloche fêléeConclu :À travers la métaphore de la cloche Baudelaire met en valeur la fêlure de son âme, le spleen paralyse la création du poète (comparaison du mourant)Ouverture sur 4e spleen: évoque des cloches avec la métaphore des cloches en comparant v.13 «  des cloches tout à coup saute avec furie »Texte 8 : Comment Baudelaire parvient-il à métamorphoser le réel par la création ? Intro : 6e section

littéraire romantique. Ce poème est extrait du recueil les Contemplations, du livre troisième "Les luttes et les rêves" qui est le livre où Victor Hugo dénonce le plus la misère et les conditions de vie pitoyable de certaines personnes. Victor Hugo est un poète, écrivain, dramaturge et journaliste ayant vécu au XIXème siècle. Il fait partie des grands auteurs du romantisme et se battra tout au long de sa vie contre le travail des enfants, contre la peine de mort, contre l'enseignement catholique, pour le