Le Philosophe Est Celui Qui Dit En Y Pensant

son corrélatif « inconscience », utilisé autrefois par les philosophes afin de décrire la « non-conscience ». Aujourd’hui, le mot « inconscient » évoque immédiatement la découverte Freudienne de l’inconscient, en tant que substantif. Cet inconscient renvoie lui à une zone psychique étrangère à la conscience. Il introduit alors un aspect conceptuel de l’inconscient. Toutefois, la limite entre la notion d’inconscience évoquée par les philosophes avant Freud et le concept de l’inconscient émis par Freud

Mais, est-ce aussi simple que cela en a l’air? Ce lien logique entre le monde et l’être humain est-il un bon lien à faire? Le monde est-il vraiment facile à connaitre? Et l’être humain alors? C’est un débat qui a longtemps tourmenté plus d’un philosophe. Est-ce que l’être humain est-il plus facile à connaître que le monde extérieur? Certains vont dire que l’Homme est plus facile à connaitre, d’autres vont dire que le monde est plus simple. Certains vont même dire que les deux sont également

pensées d'un philosophe, on peut souvent être marqué par leur pertinence et leur richesse, mais très vite, quand on plonge davantage dans sa théorie, on se rend compte qu'il y a des points sur lesquels on n'est pas d'accord. Et encore, si on commence à s'intéresser aux autres philosophes qui ont énoncé leurs idées à propos d'un même sujet, on s'y perd, parce qu'il nous semble qu'il y a autant de points de vue, qu'il y a de philosophes. Dans nos esprits, il y a cette image des philosophes qui sont en

monde et l’existence humaine. En ce sens, la philosophie opère un questionnement permanent sur les choses visibles et invisibles, sur le réel et l’illusoire, sur la science et l’imaginaire. On observe donc que la philosophie peut être, comme on le dit souvent, la recherche de la vérité et de la sagesse dans l’existence. Cependant, comment accéder à une vérité alors qu’on ne peut la vérifier ? Comment la philosophie peut-elle se dire une discipline alors qu’elle peut réfléchir sur des choses ou des

qui distingue l’humain de l’animal, par l’entremise de deux philosophes. Tout abord, par la pensée de René Descartes, par la suite, celle de Jean-Jacques Rousseau. Nous allons pouvoir enfin faire une comparaison, et ressortir les points de ressemblance. Pour finalement, parvenir à prendre position par rapport à l’un des philosophes. Commençons par René Descartes, selon lui, la propre nature de l’être Humain est qu’il est un être Pensant, il est libre de penser « Je pense, donc je suis »ii. Le fait

l’intelligence artificielle dont le principale initiateur est le philosophe et logicien Alan Turing. Cette discipline est entre l’informatique et la robotique dont l’objectif est de créer des machines qui pourraient exécuter des taches intelligentes et réfléchies. C’est donc ici le questionnement philosophique des conséquences qui peuvent résulter de ces progrès techniques et de ces avancées dans la connaissance du cerveau. Une grande partie des philosophes contemporains et pour un grand nombre de neurophysiologies

sa pensée, de sa conscience, voire de sa volonté. Le philosophe René Descartes est l’un des premiers philosophe à s’être intéressé à l’existence du sujet . La philosophie moderne, représentée par Kant, a progressivement spécialisé l’usage du mot, en y supposant la présence d’une âme voire d’une subjectivité caractérisant chaque individu. Plus communément, être un sujet c’est pouvoir se considérer comme un être libre et responsable. Autrement dit le sujet libre est censé pouvoir choisir de lui-même

dans ce cas les bourgeois. Cette classe sociale est aussi contrôlé et cette emprise mène parfois à des révolutions. Pour le premier philosophe, nous allons parler de Descartes. René Descartes est un philosophe Français née en 1596 et décédé en 1650, il a vécu pendant l’époque Moderne, au 17e siècle et il est considéré comme étant un philosophe de la Renaissance. Pour Descartes, l’une de ces conceptions est celle du Cogito, ergo sum qui signifie “Je pense donc je suis” en Latin. Pour comprendre

opposition est né un Dualisme, c'est à dire qu'il y a deux principes, substances ou mondes distincts et irréductibles, qui ici sont la matérialisme d'un coté et le spiritualisme et l'idéalisme de l'autre. On peut donc se demander si l'esprit peut-être dit immatériel ? Dans une première partie nous verrons que l'esprit est matière, avec la thèse d'Épicure. Ensuite dans une seconde partie nous verrons que en contre exemple que l'esprit n'est pas matière, mais qu'il est spirituelle. Enfin dans une

l'âme" pourrait être compris dans le sens du bonheur (ou de la félicité) et donc de la philosophie. Personne n'est "trop jeune ou trop vieux pour acquérir la santé de l'âme" L.5. Autrement dit, la philosophie pourrait être ici utilisée comme un remède de médecine, du moins pour l'âme de la personne. Un philosophe aurait donc indéniablement une santé d'âme quasiment irréprochable. Epicure conclura d'ailleurs sur le fait que les principes de la philosophie sont essentiels pour vivre "comme il faut" L