Le Penseur

Pourquoi, selon Taylor, le débat sur la modernité est-il mal engagé? Dans le cadre du cours Enjeux philosophiques contemporains, nous avons été amenés à étudier l’œuvre Grandeur et misère de la modernité, du penseur Charles Taylor, afin de déterminer en quoi, selon cet auteur, le débat sur la modernité est-il mal engagé? Dans la première partie de cet ouvrage, Taylor expose trois « malaises » de la modernité qui tendent à prouver que, en effet, le débat sur la modernité est mal engagé soit l’individualisme

catastrophique de l`agriculture poussent le pays vers la révolution française (1789). Ainsi, le XVIII ème siècle s`achève dans la frayeur de cette dernière. Cette transformation ahurissante, on la doit en grande partie à une nouvelle génération de penseurs et d`écrivains. Ceux-ci sont surnommés «les lumières». Le siècle des lumières est un mouvement philosophique, culturel et scientifique d’intellectuels dans les pays de culture européenne au XVIIIe siècle. De plus, son but est de réformer la société

que certains des grands penseurs de notre passé ont une opinion sur des événements divers propres à leur époque. Mais ces pensées restent gravées dans l’histoire puisque celle-ci ne fait que se répéter en seulement changeant de contexte, les intérêts des populations ont été toujours les mêmes en fonction des répressions exercées pour un individu possédant le droit de gouverner un pays. Dans cette analyse, les pensées que j’utiliserai sont celles de Nicolas Machiavel, penseur italien du XVème siècle

l'ex-pr�sident de la R�serve f�d�rale am�ricaine (Fed) Alan Greenspan a fait son mea culpa, admettant avoir "fait une erreur en croyant que le sens de leur propre int�r�t, notamment (celui) des banquiers, �tait la meilleure protection". Comment les penseurs lib�raux vivent-ils cette remise en question ? Certains disent s'opposer en r�alit� � la toute-puissance du march�, comme Nicolas Baverez, avocat, historien, �conomiste (chroniqueur au "Monde Economie"), et partisan d'un "lib�ralisme politique �

de comptes mais il estime que chaque individu doit avoir droit à une base vitale d'avoirs et que chaque individu peut trouver une occupation correspondante a ses désirs pour faire avancer la société. Proudhon est le plus « récent » des quatre penseurs susmentionnés. Dans son manifeste, Marx cite la pensée de Proudhon comme étant une philosophie et fera (à une autre occasion) une critique acerbe de la pensée de Proudhon. Celle-ci se veut être une troisième voie au capitalisme et au socialisme.

richesse. Mieux vaut vivre heureux et pauvres, plutôt que d'être malheureux et riches.  Nietzsche nous indique ensuite qui sont partie cette « rare catégorie humaine », ce sont les artistes et les contemplatifs de toutes espèce, comprenant par là les penseurs... Il y a aussi ces gens qui s'ennuient de tout, ces « oisifs », qui changent d'activités tout au long de leur vie. C'est ce Nietzsche dit dans cette phrase «  ils passent leur existence à chasser, ou voyager, à s'occuper de galants commerces ou

Montesquieu. Effectivement le principe de séparation des pouvoirs est l'un des principes fondamentaux du constitutionnalisme moderne et de l’État de droit, et indissociable du nom de Montesquieu. Charles Montesquieu qui était un moraliste et surtout un penseur politique, faisant partie des Lumières, né en 1689 et décédé en 1755. Le principe de la séparation des pouvoirs est un principe de répartitions des différentes fonctions de l’État, qui sont confiées à différentes composantes de ce dernier qui à pris

d’opposition préconçues des 3 écoles de pensée existantes : • L’objectif de l’action, • La prévisibilité des conduites humaines • L’orientation normative. Au sein d’une même école de pensée, les points de vue divergent selon la vision du travail des penseurs. Certains définissent le facteur humain, comme la relation existante entre le comportement d’un humain et son environnement, ainsi que les différentes réactions -conscientes ou inconscientes- dû au paradoxe existant entre ce qui existante dans

le courant libertin annonce les Lumières. Des limites n’ont toujours pas été trouvées quant au libertinage, par conséquent aucune définition exacte n’existe. Ce courant idéologique part de la philosophie de Gassendi, penseur du XVIIème siècle. Les libertins (libres penseurs) se détachent de la religion officielle, le christianisme, se moquent des pratiques religieuses, manifestent leur indépendance de la pensée et tendent à donner à l’existence humaine un sens uniquement terrestre. Il assure

Voltaire ajoute aussi de l’humour et de la legèreté à son ouvrage. Personnage : -L’ingénu ou le Huron Fil rouge. Appelé Ingénu car il dit tout ce qu’il pense. D’abord défini comme un fou, sauvage et sans religion. Devenant ensuite intellectuel, penseur et philosophe. Jeune Iroquois capturé par les anglais, embarqué sur un bateau pour la France. - Mlle de Saint-Yves Marraine et amante de l’Ingénu. Personnage mis en avant comme une victime de la religion et de la structure de la société. Jésuite