Le Paupérisme

avait contribué à l’amener au pouvoir, l’ordre bonapartiste n’entend pas rester dans la même ligne politique. Contrairement aux bourgeois satisfaits de l’ordre existant, Bonaparte avait jadis envisagé de plus vastes initiatives pour « éteindre le paupérisme » et afin d’atteindre ses objectifs seul tandis que le Parti de l’Ordre entendait guider le Président dans l’ombre, celui-ci annonça le 31 octobre 1849 par un message à l’Assemblée qu’il formait un ministère selon ses vues, responsable devant lui

développement d’un acteur étatique, social, jusqu’à 1945 où l’état providence émerge. Avant 1880 il n’y a pas de législation et ce qui existe relève d’initiatives individuelles. I) Les interventions protectrices de l’Etat : la lutte contre le paupérisme En 1970, fermement attachés au principe au principe de non-intervention de l’État dans la vie économique et surtout dans la relation de travail, les libéraux français estimaient, à cet égard, que l’État n’avait pas le droit d’outrepasser ses

questions qu'une société se pose à elle-même au moment où le bouleversement de ces structures ou de ces organisations mettent en péril ou en difficultés certains de ces groupes sociaux (définition de la question sociale). Ex : au XIXème siècle : le paupérisme La notion d'exclusion a été vue très différemment auparavant et aujourd'hui. Au départ, groupes sociaux en marge du progrès économique ex : les inadaptés sociaux. Aujourd'hui, l'exclusion set à désigner les processus économiques et

* La première guerre mondiale (1914-1918) * La crise économique en 1929 * La seconde guerre mondiale (1939-1945) Pendant cette époque le concept de l’exclusion n’était pas encore connu, il était question de vagabondage, désœuvrement, paupérisme, précarité, pauvreté … Les théories de l’exclusion sont nées aux USA pour comprendre la situation sociale des grandes villes : criminalité, délinquance... THOMAS William et ZNANIECKI Florian, ont enquêté sur les migrants et constaté que le changement

charité prenait en charge les plus nécessiteux. L’Ancien Régime mettait en avant le devoir de solidarité et la mise sous tutelle des pauvres. A partir du 16ème siècle, l'Etat agissant déjà pour lutter contre la pauvreté, la principale lutte conte le paupérisme consistait à procurer du travail à ceux qui n'en avaient pas.Progressivement apparaît la dimension économique du traitement par le travail. Au 18ème siècle, pour traiter la pauvreté , les autorités avaient recours aux travaux publics. Ainsi ,en

pour tous -éducation publique et gratuite de tous les enfants Le mot socialisme est apparu dans les années 1830. Révoltés par la misère ouvrière et les excès du libéralisme, des hommes et des femmes (come Flora Tristan) se battent contre le paupérisme et veulent réorganiser la société sur des bases plus juste où l’homme ne serait plus exploité par l’homme. On a donné le nom de socialisme aux doctrines qu’ils ont alors élaborées. -Une première génération de socialiste, qualifiés d’ « utopistes »

à nouvel arbitrage : égalité/efficacité  trop d’égalité nuit à l’efficacité: si on veut que le système soit efficace il lui faut des inégalités. Polanyi : marché défaillant, l’Etat doit réduire les inégalités (surtout 19eme, la « q° sociale », paupérisme) L’Etat soc commence à la fin 19eme appelé par les inégalités++ du dvt du Kisme qui suit 1RI au 18eme auj « la nouvelle pauvreté »  même défi. Kennedy: « La marée montante élève tous les bateaux » (trickle down hypothesis) Peu importe les inégalités

sous tutelle et asphyxié, il devient alors sous contrat, il peut s'épanouir. Travailler n'est plus un devoir, c'est la source de toute richesse. Mais ce principe ouvre une nouvelle ère de conflits et de turbulences. L'industrialisation engendre le paupérisme. La condition ouvrière se fragilise. Il faut trouver un compromis entre le marché et le travail pour assurer une paix sociale et résorber la désaffiliation de masse créée par l'industrialisation. C'est la question de l'intégration de la classe ouvrière

cessent de s’accroître. Ainsi peut-on conclure en affirmant que la lutte contre la pauvreté et contre l’exclusion reste une priorité dans la politique française et européenne mais que ces dernières ne parviennent plus à freine la progression du paupérisme et des inégalités économiques que l’on peut observer depuis une dizaine d’années. La situation est en effet préoccupante puisque le nombre de pauvres est important et que dans les circonstances économiques actuelles de l’après crise, cela ne va

eux seuls jusqu’à douze livre par jour… mais s’ils les avaient forgées indépendamment l’un de l’autre, aucun n’aurait pu en fabriquer vingt et peut-être même pas une par jour ».Adam Smith, La Richesse des nations, 1776. | A une époque ou le paupérisme est une préoccupation majeure de l’opinion publique, Smith livre un message profondément optimiste. En effet, en 1920 l’Angleterre comptait un million et demi de miséreux, chiffre complètement hallucinant si on prend en compte que la population