Le Paupérisme

également des lieux d'internement de même nature. Cette politique d'enfermement systématique apparaît maintenant inhumaine et dangereuse au plan sanitaire. Elle fut contestée par les philosophes des Lumières et finalement abandonnée. C. FAIRE FACE AU PAUPERISME En France, la Révolution enclenche une évolution dans la conception de la pauvreté. La pauvreté devient l'expression de dysfonctionnements dans la société. À partir du moment où le principal facteur de la pauvreté est un facteur économique, bien

matérielle pour les citoyens. 3 Dans son roman L’Assommoir, Emile Zola dépeint l’existence misérable de Coupaud, dont l’histoire est emblématique des conditions de vie ouvrières en France au début du XIXème siècle, au moment où surgit la question du paupérisme. L’historien Pierre Rosanvallon, dans L’Etat en France de 1789 à nos jours, a montré l’affirmation de cet Etat « instituteur du social », puis « Providence », qui s’empare des enjeux nouveaux soulevés par l’industrialisation. Si le bonheur des

tombée dans le chômage. Leur situation va passer sur le devant de la scène, on s'inquiète : c'est une question sociale. a) le paupérisme et la question sociale Jusqu'en 1848, monarchie censitaire avec le Roi Louis-Philippe. Le régime paraît solide, néanmoins les idées républicaines progressent, et les individus vont s'intéresser à la question sociale du paupérisme. Ce dernier est un système générant la pauvreté. On travaille et on s'appauvrit. Le salaire réel tend à baisser. L. R. VILLERMÉ

III lorsqu’il était Prince Président de la II République. Ce sont des valeurs républicaines. Tout le monde peut et doit y adhérer comme le fait V.H. Ce sont des valeurs reconnues par V.H. D’autant plus que Nap.III avait rédigé un essai sur le paupérisme (moyen pr lutter contre la misère). Cet essai a donné à penser que le Prince Président avait des idées libérales et sociales. Or dès le poème NOX, Hugo découvre que ce programme était mensongé et que Nap.III a confisqué le pouvoir républicain pour

amplifie ce phénomène de tension. De plus, les multiples tentatives dʼassassinat de Louis-Philippe dont celui de Fieschi, homme de main des républicains, en 1835 prouvent le mécontentement de la rue. Un nouveau phénomène social éclôt, baptisé paupérisme, il est directement lié a lʼindustrialisation et à la concentration ouvrière. Les ouvriers sont confrontés à une pauvreté massive et durable et leur niveau de vie ne sʼaméliore pas. ils touchent 0,20 franc par jour, travaillent 14 heures et nʼont

semble à la fois trop petite, économiquement, et trop vaste, politiquement, pour que l’on puisse se passer de la recherche d’une cohésion internationale. De plus, la principale menace qui pèse sur la cohésion sociale est l’apparition d’un nouveau paupérisme. En France, il se traduit par un chômage de masse, mais surtout de longue durée, qui concerne essentiellement les travailleurs les moins qualifiés. Ceux-ci sont sans cesse distancés par les exigences des recruteurs, qui utilisent les études moins

hugo Napoléon a établit un immense quiprocos. Il a sus tirer proft de son nom synonime d'odre et de grandeur et il est vu par le peuple comme l'homme du moment. Sa campagne s'appuiait sur un article qu'il avait écrit qui s'intitulais l'extection du paupérisme. La fin des pauvres. Il a donc un soutient populaire totale . Les vainceur de fevrier et de juin sont donc écrasé par le parti de l'ordre qui adopte comme devise ordre propriété et religion représenté par Louis Napoléon Bonaparte . La victoire de

pays dans lequel se déploie et grandit en couleurs luxuriantes notre culture soviétique.   Conséquences de la victoire du régime socialiste, la liquidation des   classes   parasitaires,   la   liquidation   du   chômage,   la liquidation   du   paupérisme   à   la  campagne,  la   liquidation  des taudis   urbains   ont   été   réalisées.   La   physionomie   du   pays soviétique s'est complètement modifiée. Et la conscience des gens s'est également modifiée de manière radicale.  Les   «   grands

Dès le début des années 1840, l’idée de changer le fonctionnement de la société humaine émerge. Comme le souligne l’auteur, « la question sociale [envahit] la presse et la littérature » (p. 10). La paysannerie vit de sombres moments et réagit : « paupérisme et archaïsme ruraux sont à peine atténués, tandis que les sujets de plainte sont nombreux et d’autant plus irritants qu’ils visent des personnages proches : le grand propriétaire, le garde, le percepteur » (p. 12). La misère des prolétaires semble

celle du travailleur lui-même et celle de la famille nécessaire à la production de nouveaux travailleurs. Cette forme particulière d'existence de la classe ouvrière est directement liée à un grand aspect de la question sociale du 19ème siècle = le paupérisme (la pauvreté) Les pauvres ce sont toutes ces masses d'hommes, de femmes et d'enfants que le progrès et les transformations de l'agriculture « libèrent » de la campagne et qui se retrouvent sans rien posséder. Ce phénomène s'observe principalement