Le Passeur Lowry

jouer d'instruments harmonieux... » Ici je ne vois pas une société complexe et intéressant, ou tous les gens ont les talents divers, mais plus un monde où on n'a pas d'individualité et même pas d'inspiration. Ce me fait penser du livre Le passeur, écrit par Lois Lowry en 1994. Dans cette histoire, un jeune garçon habite dans une société utopique qui a éliminé la douleur et les difficultés par la conversion à "similitude", une conversion qui a également éliminé émotion de leur vie. Le garçon est sélectionné

sur un monde meilleur : il veut nous faire rêver. Encore aujourd’hui, de nombreux écrivains du monde entier nous font rêver, nous décrivent des mondes imaginaires, en utilisant la science-fiction, mais de plus en plus l’utopie , comme Le Passeur de Lois Lowry, premier roman d’une tétralogie, dans laquelle l'histoire se déroule dans une société futuriste, tout d'abord présentée comme utopique, où les individus sont formatés pour ne plus ressentir d'émotions et se comporter de façon préétablie, puis

dans un futur proche. Ce type de roman procède d’une sorte de réalisme prospectif. Citons : Le Meilleur des Mondes d’Aldous Huxley (1932), Ravage de René Barjavel (1943), 1984 de George Orwell (1948), Fahrenheit 451 de Ray Bradbury (1953), Le Passeur de Lois Lowry (1992). Ces romans portent haut et fort les valeurs d’une société matérialiste et démocratique qui se sent menacée dans ses fondements. Ces œuvres portent un regard lucide sur l’évolution de la science dans nos sociétés modernes et manifestent

les mêmes films, mettraient les mêmes vêtements, se nourriraient des mêmes choses, bref, vivraient de la même façon. Cela fait référence au phénomène de mondialisation du mode de vie américain. Cette idéologie est décrite dans le livre Le Passeur de Lois Lowry. Ce livre est une description ainsi qu'une critique de la tendance unificatrice américaine. Définitions: - 30 Glorieuses : L'expression « Trente Glorieuses » vient de l'économiste français Jean Fourastié. Elle désigne , en France, les

d’opportunité et le modèle attirance-répulsion Le modèle d’opportunité utilise une autre rationalité, celle des avantages escomptés par le migrant. Il insiste soit sur les possibilités d’améliorer son sort (Stouffer), soit sur les débouchés professionnels (Lowry), soit sur les coûts et les bénéfices (Sjaastad). Pour Samuel A. Stouffer : « Le nombre de personnes qui se déplacent sur une distance donnée est directement proportionnel au nombre de possibilités qui s’offrent au lieu de destination ». Mais il n’est