Le Passe Muraille

des personnifications « vivaient, halètement », les objets deviennent vivants encore grâce à des personnifications « ventre, auteurs, s’inclinant ». On remarque dans ce texte une orientation fantastique. En effet, la ville s'anime, se réveille. Elle passe d'un état mécanique à un état animal. La ville "murmure", "ronronne", "halète", elle émet des bruits animaux et devient une bête. Le trolleybus, avec "son ventre", "sur son dos, les deux antennes" et « glissaient, longeait » est comparé à un insecte

vêtements. Ruy Blas, seul :C’est fini. Rêve éteint ! Visions disparues !Jusqu’au soir au hasard j’ai marché dans les rues.J’espère en ce moment. Je suis calme. La nuit,on pense mieux, la tête est moins pleine de bruit.Rien de trop effrayant sur ces murailles noires ;les meubles sont rangés ; les clefs sont aux armoires ;les muets sont là-haut qui dorment ; la maisonest vraiment bien tranquille. Oh ! Oui, pas de raisond’alarme. Tout va bien. Mon page est très fidèle.Don Guritan est sûr alors qu’il s’agit

de l’île symbolise le passage de l’état de jeune chevalier à celui de héros. Vocabulaire : 1) les familles de mots Origine du mot cheval : caballus , equus , hippos 2) L’armement du chevalier Grammaire : Les temps du récit au passé Conjugaison: le passé simple de être / avoir et des verbes du 1er groupe 2. Etude comparative entre le texte 1 et la légende de Thésée et le Minotaure, extrait du manuel lettres vives 6ème, Hachette pages 244-245 La comparaison se fait sur 3 plans: les

rêve  apparaît ainsi limité dans le temps, ce que transcrit le choix même de la forme poétique : un poème ici constitué de cinq courts paragraphes, 20 lignes seulement au total. De même l’emploi du passé simple « Ce furent » à trois reprises présente cette expérience comme achevée et relevant du passé. Le dernier paragraphe emploie le plus que parfait, ce qui accentue davantage encore cet aspect disparu. Cette attention ne s’accompagne pas pourtant de signification particulière accordée au rêve:

une impression d’étouffement, la moisissure prolifère à cause de l’humidité « c’est un lieu assez malsain ». Ni l’air ni la lumière ne passe et les boutiques ressemblent à des sombres trous. Le narrateur connaît bien les lieux, il y passe souvent, il le fréquente depuis longtemps « des marchandises oubliées depuis au moins deux ans ». Il revient sur une histoire passé « il y a quelques années une boutique… » 2) Les précisions temporelles : Il n’y a pas de précisions temporelles datées. On peut

extérieure) Balade au Marché de la Soie, Dîner dans un restaurant local Nuit à l’hôtel Jeudi 1/05 : PEKIN Petit déjeuner à l’hôtel Départ pour la Grande Muraille à la passe de MUTIANYU. Vous parcourrez ainsi à pied quelques uns des 6800 km qui composent cet étonnant serpent de pierres. La "Muraille des 10000 Li", élaborée dès le IIIème siècle avant J.C et considérée comme l'une des merveilles du monde, est dit on, la seule construction humaine visible de la lune Montée

d’affrontement entre les « classiques » partisans d’une hiérarchisation stricte des genres théâtraux et la nouvelle génération des « romantiques » aspirant à une révolution de l’art dramatique, regroupée autour de Victor Hugo. Barricades : une muraille désorganisée de pavés, poutres, etc. elles bouchent les rues dans le travers, afin qu’un seul homme puisse passer. Pamphlet : petit écrit en prose ou ton polémique, violent et agressif. Epidémie de Choléra : une vague Sonnet : pièce de poésie

réservée au propriétaire, le reste est loué à des paysans libre, les vilains, ou non libre, les serfs. Ces paysans paient des droits seigneuriaux, cultivent les terres de leur seigneur et s’acquittent de corvées comme l’entretien des fossés et des murailles du château. Si les vilains sont libres d’aller s’installer ailleurs, les serfs sont attachés au fief qu’ils ne peuvent pas quitter. Le seigneur, en échange, doit protection à ses paysans, qui se réfugient à la première alerte du château. LE VILLAGE

corrélée avec une forte croissance de l’urbanisation. On retient ici comme seuil de l’urbain, celui fixé par Paul BAIROCH à 5 000 habitants. Cette période marque le début d’une nouvelle conception de la ville : Avec la destruction des murailles et fortifications, on passe de la ville close à la ville ouverte. S’ajoute à la définition de la ville comme une zone de population agglomérée associée à la présence d’élites locales, l’idée d’un rôle économique prépondérant de la ville. Cette idée est très claire

le Cid, nous le démontrons par : Rodrigue qui combat don Gomès pour sauver l’honneur de son sang ; don Diègue passe par l’honneur pour inciter son fils au devoir ; Chimène va voir le roi, et lui offre une scène sanglante : ‘’ Sire, mon père est mort ; mes yeux ont vu son sang Couler à gros bouillons de son généreux flanc ; Ce sang qui tant de fois garantit vos murailles Ce sang qui tant de fois vous des batailles Ce sang qui tout sorti fume encor du courroux… ‘’