Le Passant La Passante Victor Hugo

(1590/1626) -XVIIème siècle le classicisme Nicolas Boileau (1636/1711) Pierre Corneille (1606/1684) Jean Racine (1639/1699) Jean de la Fontaine (1621/1695) -XIXème siècle le romantisme Chateaubriand (1768/1848) Lamartine (1790/1869) Victor Hugo (1802/1885) Alfred De Vigny (1797/1863) Alfred De Musset (1810/1857) Gérard De Nerval (1805/1855) George Sand (1804/1876) -XIXème siècle le parnasse Leconte de Lisle (1818/1894) Théophile Gautier (1811/1872) Catulle Mendès (1841-1909)

Cromwell» de Victor Hugo en 1827, ensuite un extrait de «Chatterton» d’Alfred de Vigny datant de 1834 et pour terminer Alfred de Musset rédige «De la tragédie» ( à propos des débuts de Mademoiselle Rachel ) qu’il publie dans La Revue des Deux Mondes en 1838. Ces trois textes mènent à la réflexion à propos de certaines pratiques de la représentation théâtrale, mais aussi sur l’importance de l’espace théâtral. Les reproches de Voltaires repris et cité par Musset et Hugo s’adressent

Voyez venir à vous un mort libre et joyeux ; Philosophes viveurs, fils de la pourriture, A travers ma ruine allez donc sans remords, Et dites-moi s'il est encor quelque torture Pour ce vieux corps sans âme et mort parmi les morts ! Victor HUGO (1802-1885) Hymne Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie. Entre les plus beaux noms leur nom est le plus beau. Toute gloire près d'eux passe et tombe éphémère ; Et, comme ferait

Victor-Marie Hugo, né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22  mai 1885 à Paris, est un écrivain, dramaturge, poète, homme politique, académicien et intellectuel engagé français, considéré comme l'un des plus importants écrivains romantiques de langue française. Victor Hugo occupe une place importante dans l'histoire des lettres françaises et celle du dix-neuvième siècle par la diversité de ses créations littéraires[1],[2]. Il est à la fois poète lyrique avec des recueils comme Odes et Ballades

Châtiments, Victor Hugo va critiquer Napoléon III, c’est le cas dans Fable ou Histoire ou encore Napoléon le Petit. Dans Fable ou Histoire, Victor Hugo dénonce la façon dont s’est comporté Napoléon III pour réussir son coup d’état de décembre 1851. Il est comparé à un singe se déguisant en tigre. Ce singe s’investit d’un rôle en se comportant comme un tigre. Napoléon III « entassa l’horreur, les meurtres, les rapines, Egorgea les passants, dévasta les forêts ». Dans ce poème, Victor Hugo dénonce aussi

1. Contexte historique : La révolution de 1848 marqua un tournant dans la vie de Victor Hugo, qui commença alors une carrière politique. Le 2 décembre 1851, le poète tenta d’organiser la résistance au coup d’Etat. Puis il dut partir et se réfugia à Bruxelles. Son opposition féroce à Napoléon III, qu’il appelait « Napoléon le Petit », le rendit très populaire. Rayé en 1859 de la liste des proscrits, il refusa de rentrer en France avant la chute du Second Empire. Installé à Jersey, puis à Guernesey

Brousse et Bertrand de Montaigne. Il eut trois soeurs: Jane, épouse du seigneur de Lestona, Léonor de Mötaigne dont il fut le parrain, ayant lui-même alors 19 ans, et Marie de Montaigne. Il fut éduqué en latin et garda toute sa vie l'amour des Lettres, passant toutefois progressivement de la poésie à l'histoire. On sait qu'il s'intéressa aussi aux récits de voyages et rencontra un Sauvage des Amériques, ce dont il fit le magnifique chapitre XXXI du livre I des Essais: Des cannibales, où éclate avec efficacité

mon pays… », Victor Hugo, les Châtiments, II, 5), les figures d’opposition comme le chiasme ou l’oxymore (« le soleil noir de la Mélancolie » Gérard de Nerval), les ruptures de construction comme l’ellipse ou l’anacoluthe (« Exilé sur le sol au milieu des huées, /Ses ailes de géant l’empêchent de marcher », Baudelaire l’Albatros) et bien sûr les figures de substitution comme la comparaison et la métaphore, (de Ronsard et Du Bellay à Jacques Prévert ou Eugène Guillevic en passant par Hugo, Apollinaire

en chinois…Devenues des piliers de l’initiation à la langue française, ses poésies sont enseignées dans les pays francophones et étrangers. Il fait d’ailleurs partie des sept poètes les plus étudiés dans les écoles, avec des écrivains tels que Victor Hugo, avec qui il partage un intérêt tout particulier pour les enfants. Mise en musique par plusieurs centaines de compositeurs dont Darius Milhaud, son œuvre est souvent résumée à des poèmes pour enfants. Son style simple et imagé traverse les générations

personnages. Il y a également plusieurs poèmes de Victor Hugo, qui lui aussi, décrit les situations et les événements de façons remarquables. J'ai choisis d'ajouter le poème de Boris Vian, Le Déserteur, car cet acte était présent pendant la guerre, mais il était durement punis, souvent le déserteur était fusillé. Les fusillés, titre d'un poème de Victor Hugo, est présent dans cette anthologie, il suit le poème de Boris Vian. Pour finir, on retrouve un poème de Hugo, Bêtises de la guerre, qui résume parfaitement