Le Paradoxe du temps

l’œuvre III. Ménon 1. Qu’est-ce que la vertu 2. Model de définition 3. Le paradoxe de Ménon IIII. Les procédés de Ménon 1. La vertu s’enseigne t’elle ? 2. La réminiscence Introduction Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s'enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l'essence de la vertu. Néanmoins

Travail social et religion, le fait laique en institutionTRAVAIL SOCIAL ET RELIGION, LE FAIT LAÏQUE EN INSTITUTION La laïcité comme composante identitaire pour les professionnels Nacime Chellig Érès | « Vie sociale » 2018/1 n° 21 | pages 111 à 124 ISSN 0042-5605 ISBN 9782749258836 DOI 10.3917/vsoc.181.0111 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-vie-sociale-2018-1-page-111

La temporalité tragique : - le temps du mythe : - la nuit : - le sang qui s'écoule, image de la fatalité B Une mise en scène théâtrale - un espace intermédiaire et symbolique - la position des personnages ------------------------------------------------- II Un dilemme entre deux systèmes de valeur A Le rapport au temps : - Tsongor inscrit dans le passé : - Katabolonga inscrit dans le présent : B L'assassin et l'ami - le paradoxe du don de la mort, structure du

aux faits stylistiques que les personnages ont pu fixer leur univers référentiel, dire leur être au monde. Notre étude s’articulera autour de quatre principaux réseaux de stylèmes1 : les propos modalisés, le système appellatif, la figuration et les temps verbaux. 1. LE DISCOURS DE LA CONFRONTATION Le racisme tel qu’il se définit écartèle les partenaires sociaux entre deux pôles. Chez les uns se révèle une volonté de puissance et chez les autres l’urgence de se défendre. Avec La Croix du Sud qui est

avec sa chambrière »/ « cuidant que ce fût son mari »). ◊ Le paradoxe de la situation finale. Il est exprimé dans la formule qui conclut le récit : « et l’appelait-on cocu sans honte de sa femme ». Il y a en apparence contradiction entre l’adj « cocu » et son complément « sans honte » ; mais l’ignorance de la femme explique cette contradiction (« sans que ma femme en sût  rien», « sans son su ») : l’adultère est ici involontaire. Ce paradoxe est mis en valeur d’abord par sa formulation à la fin du récit

commentaire de texte, Claude Bernard 1 « Il faut croire à la science, c'est-à-dire au déterminisme, au rapport absolu et nécessaire des choses, aussi bien dans les phénomènes propres aux êtres vivants que dans tous les autres ; mais il faut en même temps être bien convaincu que 5 nous n'avons ce rapport que d'une manière plus ou moins approximative, et que les théories que nous possédons sont loin de représenter des vérités immuables. Quand nous faisons une théorie, générale dans nos sciences

partie de sa réponse au fait que le travail soit aliéné lorsqu’il n’appartient pas à l’essence de l’ouvrier. Dès la première phrase, nous pouvons remarquer l’existence d’un paradoxe par l’expression « le travail est extérieur à l’ouvrier », or, par définition, un ouvrier est une personne qui exécute un travail. Un nouveau paradoxe apparaît dès l’expression suivante « il (le travail) n’appartient pas à son essence (celle de l’ouvrier) », en effet, d’après cette expression, le travail ne serai pas l’existence

énergie se transpose en une énergie guerrière nobles * Valeurs chevaleresques valeurs nobles que DJ va détourner II) Autoportrait paradoxal Le paradoxe met en valeur la dimension contestataire et ambigüe de DJ a) DJ justifie un H paradoxal * Va contre la morale religieuse de l’époque. * Se présente comme l’homme du paradoxe (morale commune) b) DJ justifie son libertinage * Pour DJ l’inconstance est une forme de justice pour les F et que cela ne les choque pas

violente 2. Une critique de la servitude du peuple II. Critiquer François Iº 1. La figure d’un grand voleur 2. La figure d’un débouché violant III. La dénonciation d’un paradoxe 1. La disparition des forces 2. L’appe à la révolte I.1. -Discours/serment : -émetteur “je” -temps: -présent de l’indicatif + imperative -destinataires “vous” + groupes nominaux au pluriel  Individu s’adresse à un groupe = discours -Stratégies:-

lien entre la consommation et le « bonheur », depuis une quinzaine d’années, est l’objet de travaux scientifiques, de la part de psychologues mais aussi d’économistes, qui parviennent à des résultats étonnants… Le constat Au départ, il y a ce "paradoxe du bonheur" mis en évidence de façon empirique pour la première fois, par l’économiste Richard Easterlin au milieu des années 1970 : l'accroissement de la richesse n'entraîne pas nécessairement celui du bonheur des populations. Le constat d'Easterlin