Le Miroir Déformant

la damnation. La solennité des ces apparitions pour le public croyant de l’époque, rendent l’incrédulité et l’insolence de Don Juan moins comique. La dynamique comique repose essentiellement sur le couple maître-valet : un jeu comique de miroirs déformants entre l’impie obsédé par l’ordre moral, social et divin qu’il refuse et l’apologiste croyant qui lui renvoie l’image de son refus. Le maître et son valet sont lié par une sorte de fascination mutuelle : Don Juan ne peut se passer de son valet

qu'il réalise une harmonie rare de suggestions et de représentations ordonnées en vue de créer un monde de beauté voluptueuse et calme7 ». Elle suggère, d’ailleurs, l'idée d'une doublure ambiguë, d'un miroir équivoque dans lequel le poème en prose refléterait le poème en vers mais en le déformant. Tout bien considéré, le poème en prose redouble le poème en vers en le développant, ce qui implique une certaine altération, voire un bouleversement du texte, au point qu’il semble s’écarter considérablement

............................................................................... 5 6 7 9 12 17 Résumé du cours ...................................................................................................................... Dioptres et miroirs....................................................................................................................... Lois de Snell-Descartes en milieu homogène. Lois de Kepler ............................................. Principe de Fermat ...

par une plus usée. Vingt-cinq ans plus tard, on trouve une chaîne dans la chambre de chaque enfant, dans celle des parents et même dans la salle à manger. Celle du fils sera relativement compacte, pas trop chère (ce sont les parents qui payent), déformant légèrement les aigus et les graves, tandis que celle des parents sera plus volumineuse et plus chère, devant respecter tout le spectre des ondes musicales : même s’ils le font relativement peu, il leur faut pouvoir écouter Beethoven, Bach et Mozart

est entièrement différente. C'est le rôle fondamental du photographe qui est ici mis en évidence, souvent oublié et mis dans l'ombre par celui du sujet. A partir de 1933 Kertész s'intéresse pleinement aux distorsions, obtenues grâce à des miroirs déformants. La période française de l'exposition prend fin. Un sobre escalier métallique nous amène au deuxième étage et à la partie étasunienne, qui commence en 1936. Des citations de Kertész sont écrites sur les murs, et en plus des photos sont exposés

l’expression « t’achever » prononcé par S. D’ailleurs, p.24, S met en exergue cette ambiguïté en reprochant à Cl d’avoir pris plaisir à l’insulter. D’où haine des 2 sœurs l’une pr l’autre car chacune est le miroir de l’autre (p. 34) : « Je n’en peux plus de notre ressemblance. » ou « Ce miroir effrayant qui me renvoie mon image coe une mauvaise odeur. » Dc haine de l’autre car Cl ne s’aime pas et S ne s’aime pas non plus. « Tu es ma mauvaise odeur » ( la thématique de l’odeur est constante ds l’expo

voici qui monte, et dégonfler qu'un votre triste n' était crever voleur et vous une . . . CLAIRE Je t' interdis ! SOLANGE M' interdire ! Plaisanterie ! Madame est inter­ dite. Son visage se décompose. Vous désirez un miroir ? Elle tend à Claire un miroir à main. CLAIRE, se mirant avec complaisance. Le danger m'auréole, J'y suis plus belle ! Claire, et toi tu n'es que ténèbres . . . Les Bonnes SOLANGE 31 . . . infernales ! Je sais . Je connais la tirade. Je lis

d'immoralité par bon nombre de leurs contemporains, les réalistes défendent avec force leurs romans : « Un roman est un miroir qui se promène sur une grand-route. Tantôt il reflète à vos yeux l'azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers de la route. Et l'homme qui porte le miroir dans sa hotte sera par vous accusé d'être immoral ! Son miroir montre la fange, et vous accusez le miroir ! Accusez bien plutôt le grand chemin où est le bourbier, et plus encore l'inspecteur des routes qui laisse l'eau croupir

au film et comment le public les ressent, puis des différentes sortes de méchants qu'on peut rencontrer dans les films. II-2-1.Le public captivé par le manichéisme Le méchant possède, en fait, une personnalité humaine vue dans un miroir déformant. Les défauts sont toujours exagérés et cela se voit dans le graphisme du personnage. Les figures des méchants sont représentées par un dessin fort, dépourvu de réalisme, épargnant au public toute possibilité d'identification aux personnages.

réellement possibles se font par le biais d’associations de consommateurs ou féministes. Les publicitaires utilisent des représentations apparemment réalistes de situations de vie. C’est pour cette raison que la publicité est parfois qualifiée de « miroir » de la société. Dans les deux publicités de Leroy-Merlin 30 ci-dessous, une situation d’adultère est représentée. Elle reprend un vieux scénario du mari rentrant de son travail et surprenant sa femme en train de le tromper avec le jardinier ou le