Le Horla Le Surnaturel

l’histoire à l’imagination du conteur ; — la nature même des éléments narrés — un passé intemporel (Il était une fois), un lieu imaginaire (le château de Peau d’Âne, par exemple), des événements merveilleux qui sont le fait de puissances surnaturelles comme les génies ou les fées, etc. ■ D description La description nous donne à voir des lieux, des scènes, des personnes. Elle fait partie du récit au même titre que l’histoire racontée et que les paroles des personnages. Sa fonction

moins torturée. Contes et nouvelles Le horla, proposé par Émeric : Sous la forme d'un journal, Maupassant nous rapporte les hallucinations d'un homme obsédé par la mystérieuse présence d'un être surnaturel auquel il donne le nom de « Horla ». Ce Horla serait une sorte d'« incube », qui posséderait toutefois un corps, fait d'une matière invisible et impalpable lui permettant d'échapper à toute investigation des sens. Cet être surnaturel est capable de raisonnement, tout comme les hommes

les deux cas, relèvent du surnaturel. Dans le merveilleux, une cohérence parfaite s'installe entre le personnage et l'univers dans lequel il évolue, alors que dans le fantastique, le personnage est terrifié par l'apparition de phénomènes qu'il perçoit comme étranges. Quand le merveilleux propose au lecteur un monde féerique où rien ne doit l'étonner, le registre fantastique le laisse dans une perpétuelle hésitation : doit-il reconnaître l'évidence du phénomène surnaturel ou se conforter dans son rationalisme

Le Horla Guy de Maupassant Publication: 1887 Source : Livres & Ebooks Chapitre 1 ................................. 8 mai . - Quelle journée admirable ! J’ai passé toute la matinée étendu sur l’herbe, devant ma maison, sous l’énorme platane qui la couvre, l’abrite et l’ombrage tout entière. J’aime ce pays, et j’aime y vivre parce que j’y ai mes racines, ces profondes et délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l’attachent à ce qu’on pense et

Dans un premier temps, nous nous intéresserons aux différents points de vue utilisés par l'auteur dans ce passage, puis nous verrons que la scène ressemble à un jeu. Nous ferons ensuite un portrait de Gavroche et nous étudierons enfin la dimension surnaturelle du passage (...) Gavroche est l'emblème du gamin, à partir duquel Hugo construit une métaphore de Paris où la vie et la mort luttent sur les décombres de la misère. La mort de Gavroche sur la barricade symbolise les forces vives du peuple qui

Le Horla Maupassant, Guy de Publication: 1887 Catégorie(s): Fiction, Horreur, Nouvelles Source: http://www.ebooksgratuits.com 1 A Propos Maupassant: Henri René Albert Guy de Maupassant (5 August 1850 – 6 July 1893) was a popular 19th-century French writer. He is one of the fathers of the modern short story. A protege of Flaubert, Maupassant's short stories are characterized by their economy of style and their efficient effortless dénouement. He also wrote six short novels. A number

les deux cas, relèvent du surnaturel. Dans le merveilleux, une cohérence parfaite s'installe entre le personnage et l'univers dans lequel il évolue, alors que dans le fantastique, le personnage est terrifié par l'apparition de phénomènes qu'il perçoit comme étranges. Quand le merveilleux propose au lecteur un monde féerique où rien ne doit l'étonner, le registre fantastique le laisse dans une perpétuelle hésitation : doit-il reconnaître l'évidence du phénomène surnaturel ou se conforter dans son rationalisme

nécessaire à la dimension artistique de l'œuvre. Par la suite, Zola introduit cette importante notion de tempérament dans la création. 3. Les limites du mouvement Joris-Karl Huysmans (1848-1907), puis Maupassant avec ses nouvelles fantastiques (Le Horla, 1886), s'éloignent du naturalisme. Certains disciples de Zola renient, à leur tour, leur maître en publiant, en 1887, un violent réquisitoire intitulé le Manifeste des Cinq (P. Bonnetain, J. H. Rosny, L. Descaves, P. Margueritte, G. Guiches). Reprenant

Ferdinand Meyer, L’Amulette (1873) – Jules Barbey d’Aurevilly, Les Diaboliques (1874) – Guy de Maupassant, Nouvelles (1875-1893), Boule-de-suif (1880), Mademoiselle Fifi (1882), Farce normande (1882), Les Contes de la bécasse (1883), Yvette (1884), Le Horla (1887) – Arthur de Gobineau, Nouvelles asiatiques (1876) – Gustave Flaubert, Trois contes (1877) – Joris-Karl Huysmans, Sac au dos (1877) – Catulle Mendès, Monstres parisiens (1882) – Anton Tchekhov, Nouvelles (1882-1903), La Steppe (1888) –

tristesse, des souffrances ou le malheur éprouvé. Le registre comique : il explore les situations, les gestes, les paroles, ou les comportements qui provoquent le rire ou l’amusement. Le registre fantastique : on raconte des événements étranges, surnaturels, sans explication logique. Il vise a provoqué la peur et l'incertitude. Le registre tragique : Il est lié à l’émotion que provoque une situation extrême, marquée par le malheur, le sentiment de la fatalité ou le destin cruel. Parmi les procédé utilisés